La dernière sorcière aux yeux d'or, tome 2 : Saëcerin

C'est difficile d'écrire cet avis parce que, si j'avais bien apprécié le premier tome, le second a été un véritable calvaire à lire ! Je pense que j'ai facilement pardonné ses erreurs au tome 1 parce que j'ai été véritablement prise dans l'histoire que je trouvais bien construite, dans les mystères de cet univers qui donnait tellement envie d'en savoir plus ! Mais ici, la magie ne prend plus. Cela fait longtemps que je n'avais pas si peu aimé une lecture. Alors bien-sûr, il s'agit uniquement de mon propre avis, qui vaut ce qu'il vaut ! D'autres ont eu des lectures totalement différentes, aussi je vous conseille d'aller vous faire votre propre avis en lisant le livre.

On retrouve donc Elena à peu près trois semaines après les événements du premier tome. Son père est mal en point et il décide de l'envoyer dans le royaume de Victoire, où il pense qu'elle sera protégée. Mais la jeune sorcière ne va pas y rester très longtemps puisque Calliste, la Saëcerin, l'appelle. Elle devra donc entreprendre une quête difficile à travers les royaumes d'Alatar pour aller délivrer Calliste, obtenir de nouveaux pouvoirs et, peut-être, apprendre comment tuer définitivement Barran.

Le plus gros problème que j'ai eu avec cette lecture, c'est le sexisme ambiant qui règne dans tout le roman. Déjà, Elena ne peut rien faire sans l'aval d'un homme (son père, son mec, son meilleur ami). Il y a des scènes ahurissantes où, alors qu'ils sont entourés d'ennemis, Elena doit argumenter pour avoir le droit de faire ce qu'elle veut. Ce n'est pas comme si elle était destinée à sauver le monde… Personne ne lui fait confiance, ils estiment au mieux qu'elle doit absolument être accompagnée d'hommes pour qu'ils se sentent mieux. Et quand elle prend des initiatives pour leur sauver la vie, on le lui reproche souvent parce qu'elle « prend des risques ». Vraiment, c'est insupportablement frustrant ! J'avais l'impression d'assister à une réunion d'une grande entreprise avec Elena, la seule femme de la boîte, qui essaie de se faire entendre au milieu de tous ces hommes qui pensent être plus compétents qu'elle… belle représentation du patriarcat ! Sans parler des remarques sexistes qui ont fait rugir mon féminisme, comme les « viens te battre contre un homme, mauviette » (ou fillette, ou les deux, je sais plus), vanter le fait qu'une femme n'ait eu qu'un partenaire, celui qu'elle aime, alors que pour les hommes on flatte ceux qui ont couché avec toutes les servantes du château. Un classique me direz-vous, mais ce serait bien qu'aujourd'hui on écrive plus ce genre de clichés !

Mais le plus gros problème, c'est Even. Vraiment, je pense qu'à côté de la définition de masculinité toxique, il y a son nom ! Il est si insupportable, j'ai rarement autant détesté un personnage ! En plus de harceler Elena en permanence, il est lunatique, il ne supporte pas qu'elle prenne des décisions, ou même qu'elle fasse quoi que ce soit sans son accord. Il est méchant, violent, têtu, lourd, jaloux. Et le pire, c'est qu'à chaque fois il met Elena en danger ! Il se justifie en disant que s'il n'est pas sympa avec elle c'est parce qu'une prophétie lui a dit qu'il mourrait en protégeant la femme qu'il aime (ce qui ne l'empêche pas de coucher avec), mais je trouve que ce n'est pas une excuse pour se comporter de cette façon. Voici une réplique édifiante d'Even : « Après le risque que tu as pris face à ces monstres et la peur que tu nous as faite, je suis partagé entre l'envie de te serrer contre moi pour ne plus jamais te lâcher et celle de te punir si durement que l'idée de recommencer ne te traversera plus jamais l'esprit ». Perso, ce genre de comportement, ça ne passe pas du tout. Les beaux gosses ténébreux, qui souffrent profondément à cause de leur passé tout ça, y a pas de soucis même si c'est cliché. Mais le mec toxique qui menace celle qu'il est censé aimer, c'est NON. Pourrait-on ne plus lire ça ?

Si on oublie ce sexisme qui, à mon sens, gangrène le récit, je n'ai pas réussi à accrocher au reste de l'histoire non plus. Elena ne fait que pleurer. Toutes les trois pages, elle est en larmes. Alors, ok c'est dur, mais il y a un moment il faut se secouer ! Surtout que tout lui est facilité, notamment parce que l'ennemi est stupide. Tout ses états d'âme continuels et ses larmoiements alourdissent énormément le récit, aussi j'avais du mal à y croire. La voir se plaindre pour la millième fois me rendait impossible la compassion, du coup quand il y a des (rares) morts (que des PNJ), je n'y croyais pas ! Et c'est loooong, je croyais que le livre faisait au moins 500 pages (je l'ai lu sur liseuse), mais en réalité il en fait 370 !

De même, il y a beaucoup d'événements expliqués par facilité, genre deus ex machina. Dans le genre « Ah, mon arrière-grand-père dont personne avait entendu parlé, ni même évoqué, en deux tomes, a facilité les choses » ou « ah, elle me l'a dit avant de mourir, mais je te l'ai pas dit parce que j'y ai pas pensé avant maintenant »… Je vais éviter de spoiler, mais c'est insupportable ! de même, il y a plein de moments confus où je n'ai pas compris pourquoi c'était comme ça, et des scènes avec de longs dialogues qui devraient avoir des répercussions pour la suite mais même pas… Bref, ça ne m'a pas plu !

Au-delà du déroulement de l'histoire et des décisions des personnages, ce qui m'a vraiment dérangé c'est le sexisme et la masculinité toxique. J'aimerais vraiment ne plus lire ce genre de clichés du couple hétéro et de genre. On est déjà assez pourri par le patriarcat et le sexisme dans la vie, ce serait bien de montrer autre chose dans les livres, genre une relation saine par exemple, peu importe le genre… Aussi, je ne peux recommander cette lecture, bien que je vous invite à lire d'autres avis que le mien, et surtout à vous faire votre propre avis !

Ce deuxième tome a été une très agréable découverte. Je l'ai globalement beaucoup mieux apprécié que la première partie. Les personnages gagnent en maturité, la tension monte et on se laisse très rapidement happé par le fil de l'histoire. Je suis globalement très contente d'avoir terminé cette duologie ! Je pense qu'on s'arrête pile au bon moment, ce qui évite peut-être de tourner un peu en rond et d'essouffler l'intrigue, qui, on le sent, arrivait un peu à ses limites sur la fin.

L'univers est toujours aussi chouette et enchanteur. On sort un peu des sentiers civilisés pour embrasser pleinement les terres sauvages, avec de nouvelles créatures très intéressantes et aux nuances de gris très intéressant. J'ai beaucoup aimé que l'autrice explique pourquoi il y a des créatures mauvaises et des créatures bonnes, parfois dans la même espèce de « monstre », ce qui permet d'apporter une vraie touche d'originalité et un renouveau dans cet univers qui touche à la fantasy classique, avec des créatures que l'on connait forcément plus ou moins. J'aimerais cependant souligner à quel point les épreuves de la tour sont bien pensées. C'est vraiment pour moi le meilleur passage de ce roman, avec un jeu sur la notion de réalité qui était super intéressant et retourne un peu les certitudes du lecteur. L'intrigue en est déstabilisée, et c'est bien ! C'est exactement ce que je recherchais !

On en apprend également beaucoup sur les Sorcières aux yeux d'or et Barral dans ce tome. J'avais un peu peur que l'explication pour Barral soit trop facile et soit trop dramatique, mais il faut se méfier, comme pour tout dans ce texte, la première impression que l'on a de quelqu'un n'est pas forcément la bonne. J'ai été très agréablement surprise de ce côté-là. Bon, après, ça reste un méchant mage qui fait des trucs de méchants, et j'avoue que son combat final m'a laissé un goût assez indifférent en bouche. Je m'attendais un peu à ce dénouement. C'est bien écrit cela dit et il y a plusieurs retournements qui rendent la fin super rythmée et haletante, mais je n'ai pas eu le soupçon de surprise que je voulais. L'accent dramatique est bon, mais pas assez poussé sur la fin, ce qui m'a sans doute un peu frustrée.

J'ai un peu l'impression de savoir où l'on allait déjà au début du roman, mais j'ai aussi sans doute déjà lu beaucoup de romans Young Adult de fantasy qui font que ma vision est toujours un peu biaisé. C'est en revanche assurément un roman qui peut plaire à un adolescent qui veut se lancer dans de la lecture fantasy, aucun doute dessus, c'est un super point d'entrée !

Les personnages sont bien mieux travaillés que dans le précédent opus. J'ai trouvé leurs réactions moins forcées, même s'il y a toujours deux ou trois scènes qui m'ont fait grincer des dents, en particulier entre Even, qui ne sait définitivement pas ce qu'il veut, et Elena, qui sait ce qu'elle veut, mais se retient de le faire parce qu'il y a Even. Il y a des moments où tu as juste envie d'attacher Even à un arbre à la Abraracourcix et lui hurler de laisser faire la madame. Néanmoins, plus sérieusement, j'ai beaucoup aimé l'évolution d'Elena, qui gagne en sagesse et en expérience. J'ai encore un peu du mal à cerner le message du personnage, qui veut à la fois tout faire par soi-même mais a quand même besoin de l'approbation des autres, même si ça tend à se renverser (enfin !) à la fin du texte (ou presque, parce que Even, comme d'habitude :') ). Even prend aussi une tournure intéressante, même si j'aurais beaucoup aimé que ce soit plus poussé. On en apprend toujours plus sur lui, mais on reste toujours assez en surface dans l'interprétation de son personnage, et du coup, c'est frustrant, parce qu'on a vraiment envie de le voir réagir en conséquence. Il y a des moments où il évolue vraiment, mais c'est presque toujours contrebalancé par un retour en arrière qui est, certes, justifié, mais aussi tellement brutal qu'on ne comprends plus vraiment le personnage. Cette fluctuation m'a vraiment perturbée.

À côté de ça, en revanche, il y a de bien meilleures surprises dans les personnages secondaires. J'ai vraiment aimé le développement du personnage d'Astian, même si on le voit assez peu. J'ai eu plus l'impression d'un arc complet avec lui, où il s'assagit et prend des décisions qui ont du poids. Il en va de même pour la Saëcerin, qui est un personnage très complexe et extrêmement bien travaillé. J'ai beaucoup aimé comment elle est développée et jusqu'où son arc est allé. C'est cette originalité que j'aurais aimé voir plus dans le roman, et globalement plus de scènes mettant en lumière les sorcières aux yeux d'or. Même si on a fini par avoir l'histoire complète, beaucoup de choses auraient encore pu être développées à ce niveau-là, et je trouve que ça aurait sans doute été plus pertinent que certaines rencontres avec des créatures magiques qui sont assez habituelles en fantasy.

Le style d'écriture est toujours aussi bon en revanche. L'écriture des dialogues est excellentes et contrebalance beaucoup certains petits défauts de la narration. J'ai trouvé que le début du roman allait beaucoup trop vite, comme un fastforward de ce qui se passe pour arriver au plus vite aux éléments de lore. Après ce passage, il n'y a plus aucun souci ! le texte redevient bien rythmé, avec une tension qui monte de plus en plus et des moments où l'on a vraiment peur pour les personnages. Les dialogues du combat final sont excellents en revanche et montrent bien toute l'évolution d'Elena et comment elle en est arrivée là, ce qui est un excellent point !

En bref, c'est une lecture un peu mitigée cette fois-ci. D'un côté, c'est franchement meilleur que le tome 1 au niveau du développement de l'univers et des personnages, avec toujours quelques interactions étranges mais rapidement effacées par l'intrigue. le début est un peu rapide, mais est rattrapé par le développement de la tour de la Saëcerin, qui est un passage plein de créativité comme je les aime, et un combat final haletant et complexe, même si un peu trop prévisible. C'est un bon roman à recommander principalement à un public jeune et qui n'a pas encore lu beaucoup de fantasy, qui se laissera sans doute davantage surprendre et entraîner dans l'intrigue que moi. Toujours une bonne découverte, cela dit, que j'ai bien apprécié !
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Le moment d'affronter Barral n'est plus très loin, pourtant Elena sait qu'elle n'est pas prête, elle doit encore apprendre. Sur les conseils de la Recousue, elle part à la tour d'Odréon, dans l'espoir de libérer la Saëcerin et d'obtenir des réponses quant à ses doutes et ses interrogations. Dans cette ultime quête, la jeune sorcière ne sera pas seule car ses compagnons d'hier seront encore du voyage mais pourront-ils faire la différence pour l'aider à triompher du mal ?

Avec Saëcerin, Lily Davinni conclut magistralement sa duologie. La fin étant proche, les événements s'accélèrent à un rythme effréné nous faisant perdre toute notion du temps qui passe, tellement on est captivé par l'évolution de l'histoire.

Si dans son premier tome, l'autrice conservait une certaine légèreté de ton, notamment à travers les chamailleries perpétuelles entre Elena et Even, le second volet, lui, adopte immédiatement une note plus grave. En effet, parasitée par ses visions mortifères qui lui montrent en permanence une fin tragique pour Even et elle, Elena est découragée et surtout obnubilée par l'idée d'empêcher que le pire advienne à son amant. D'ailleurs, pour y réussir, elle est prête à toutes les folies, quitte à se sacrifier elle-même. Or, cette angoisse diffuse accompagne notre propre lecture et nous fait même trembler à chaque page tournée de peur d'y voir disparaître nos personnages chouchous.

Parmi tous les éléments que j'ai appréciés dans La Dernière Sorcière aux Yeux d'Or, il y a surtout la manière dont Lily Davinni a traité la figure féminine dans son texte, notamment à travers Elena. Bien loin de l'héroïne dure à cuire, l'autrice nous décrit ici une femme crédible dans ses doutes, ses peurs et ses erreurs. du fait qu'elle soit une gamine harcelée, elle débarque dans cette aventure avec un gros manque de confiance en elle qui la pousse, dans un premier temps, à rejeter sa quête puis dans un second temps, à remettre en question sa légitimité quant à sa fonction. Or, avec cet état de fait, on peut s'attendre à tout quant à la finalité du récit. Elena est finalement un protagoniste qui redonne de l'espoir, celui d'être reconnu à sa juste valeur auprès des personnes qui comptent vraiment, mais aussi celui de trouver sa place dans la société.

L'ennui n'est donc jamais de mise avec la plume de Lily Davinni qui nous entraîne ici à cent à l'heure dans les pérégrinations de sa dernière sorcière aux yeux d'or. Lecteurs d'Imaginaire, lisez cette saga !

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☆ Bonjour ! Ca va ? Aujourd'hui parlons de la duologie de la Sorcière aux yeux d'or. J'ai terminée le tome deux et j'ai était aussi convaincu que le tome un!!!
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☆ J'ai adoré cette duologie qui remplie tout ses promesses. du rythme, des batailles, de l'amour ! Il y a tout dans ce livre. Une plume magnifique et entraînante, que du plus. du bonheur pour s'évader tout simplement.
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☆ Ce que j'ai beaucoup apprécier dans ce livre c'est le mélange entre humains et creatures surnaturelle. Des simples humain qui cohabite avec des être peuplé de magie. C'est un petit plus unique du livre.
J'avais jamais lu ça. Et réussir à faire de la nouveauté avec un roman qui parle magie, c'est fort!

La plume est vraiment très agreble, j'ai beaucoup apprécier, c'est fluide, rapide a lire et additif.

Ce tome deux est aussi bien que le premier. Ça monte, crescendo et la fin m'a fait peur !

L'histoire a un fil conducteur bien mené. Y a pas un seul écart, cest tout fluide comme si l'auteure avait écrit son roman à l'envers en commençant par la fin.

On ne s'ennuie pas, et surtout c'est pas une heroine qui n'est pas toujours emballée ou toujours heureuse de ce qu'elle découvre. C'est une héroïne simple mais elle fonctionne avec son histoire.

La duologie est très bonne, ça m'a vraiment plus du début à la fin. Je l'ai dévoré et adoré !

Ce monde magique est une petite merveille qui m'a vraiment plus, entre simplicité et extravagance.

Bref ! Une duologie que je conseillerais à tout ceux qui on envie de découvrir un clans de sorciere hors du commun.
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☆ Alors ça vous tente ?😊
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☆ Bonne journée et bonne lecture! ♡
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J'ai trouvé ce second tome encore meilleur que le premier. J'ai eu moins le sentiment de clichés que j'avais eu dans le tome 1, mais il faut dire que le premier tome avait la charge de nous présenter tout un univers tandis que ce second tome poursuit une histoire dans un environnement qui nous est à présent familier.
Elena est maintenant pleinement engagée dans le combat et elle sait que l'affrontement avec Barral approche. Elle sait également qu'elle n'a pas assez de puissance pour le combattre et qu'il faut absolument qu'elle retrouve la Saecerin pour que celle-ci lui transmette sa puissance.
Elle sait également que les humains ne peuvent pas se battre seuls contre Barral et ses créatures et il va donc lui falloir convaincre les créatures de s'allier à eux.
Comme souvent, on a affaire à des centaures hautains, qui n'ont aucune intention de se mêler de cette bataille sans vouloir admettre qu'ils ne sont pas au-dessus du lot et qu'ils tout autant concernés par les agissements de Barral que le reste d'Alatar.
C'est quelque chose d'assez courant dans les univers fantastique et fantasy que de voir des centaures qui s'étouffent presque avec leur arrogance.
Forcément avec l'approche de la bataille, on a beaucoup plus d'action que dans le premier tome. Les personnages n'ont pas le temps de souffler et du coup nous non plus. A chaque fois qu'Elena et son groupe se sortent d'un mauvais pas, un autre pépin leur tombe sur le coin du museau.
Elena n'est pas une héroïne qui se sacrifie de gaite de coeur, comme on peut souvent voir. Elle se bat, elle fera ce qu'il faut, mais ça lui reste un peu en travers de la gorge de risquer sa vie pour un monde qui n'est pas complètement le sien. On voit qu'elle se sent toujours attachée a son village et à son monde et que, si elle accepte les responsabilités que lui confèrent sa naissance et ses pouvoirs, elle n'aspire qu'à rentrer chez elle.
La romance est présente mais sans prendre le pas sur le reste de l'histoire et ça c'est un truc que j'ai beaucoup apprécié.
J'ai vraiment adoré cette duologie avec une préférence pour le tome 2 (mais sans renier le tome 1 pour autant).