La relation que je vais avoir avec la montagne ne relève pas d’un dialogue mais de mon propre ressenti. Quand je me connecte à la montagne, la montagne ne me parle pas, j’accueille ce qu’elle dégage. C’est le contact avec le vent, le contact avec la pierre, avec la lumière, l’odorat. C’est l’ensemble des sens. Mais c’est aussi un calme intérieur, c’est-à-dire l’absence de commentaire, et du coup un détachement conceptuel immense, le plus grand possible.