Supposons une plaine qui s’étend, très grande, avec au-dessus un ciel encore plus grand. Supposons que cette image est une immense toile que le peintre s’est promis de recouvrir. La plaine, le ciel sont le vivant, la pensée.
Roger Des Roches s’attaque, dans Faire crier les nuages, à ce paysage large et profond. Après l’intime et le personnel (dixhuitjuilletdeuxmillequatre, Le corps encaisse), l’auteur s’est donné le défi de détourner l’objectif de lui... >Voir plus