La cheminée était pleine de braises ensoleillées qui se miraient dans les fenêtres vides de leur ciel.
On annonça la bonne nouvelle à Madame Laizy seulement au mois de mars. Tout semblait changé. Les enfants prenaient des poignées de la grèle tombée sur la route. Cependant le départ était lointain, peut-être impossible.
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Elle retire les légumes de la soupe. Le chien et le chat de chaque côté d'elle assis sont comme deux anges.
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Un jour il lui apporta des livres.
Elle se mit pour les lire tout près de son épaule où ses cheveux tombèrent.
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Ainsi furent les yeux de certains trouvères très humbles, qui n'ont composé de chant que pour une fiancée impossible à atteindre, mais promise au cœur par delà les peines de la vie.
Le champ s'arrêtait de frémir, quand un orage venait, accueillant les bruits humains, la cloche et l'enclume, les pas sur la route.
Est-il possible que la vie soit ainsi ? Jacques et Jeanne travaillaient au jardin et leur tristesse était grande.
Autour de la rivière des marais s'étendent, dans lesquels ont voit une barque noyée dont la proue est au-dessus de l'eau. Les mouches à tête rouge viennent s'y poser. Un oiseau de proie a traversé, volant bas, près de son image reflétée dans l'eau, et vers les troncs échoués, des rats se sont élancés à la nage.
Entre la rivière et le village, des peupliers sont dressés. Lorsque l'orage approche, arrêtant le vent, l'essaim de leurs feuilles qui est le plus élevé résonne, car il perçoit encore une brise.
Les nuages se croisent. Le ciel de l'été devient plus grand.
Quelle détresse ou quelle joie familière ce peut être de regarder cette vieille femme chargée de sa hotte et qui rentre au village par un chemin.
Puis nous nous souviendrons aussi de ce chien abandonné que nous avons vu boire dans l'ornière, après la pluie, et dont un rayon de soleil oblique éclairait les yeux.
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Il restait quelques billets de dix francs entre les feuilles d'un livre, mais,
sous les draps pliés dans l'armoire, où l'on range les sommes considérables, il n'y avait rien.
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Dans la chambre haute elle se déchaussa, elle dénoua ses cheveux et elle se dévêtit.
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Jacques aimait à dessiner, car son père, qui collectionnait les vieilles estampes, lui avait en appris l'art.
Il faisait les herses renversées, les chars et les oiseaux de proie qu'il tuait à la chasse et donc les yeux savent saisir les étendues de terre.
En ces jours, il aurait voulu pouvoir dessiner le visage de Jeanne.
Elle écoutait Jacques et vous savez que la voix de Jacques était âpre.
Dans la nuit grave, elle comprit qu'elle l'aimait.
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