Blacksad, tome 4 : L'enfer, le silence

Le livre Blacksad l'enfer le silence scénariser par (Diaz Canales Juan) et magnifiquement illustré par (Guarnido) est le tome 4 d'une série de 5 BD.
Dans un monde ou les humains sont remplacer par des animaux, l'enquêteur dénommé Blacksad est missionné par Faust un producteur de musique de partir a la recherche d'un musicien dénommé Sébastian Fletcher ayant disparue depuis des mois qui menace de ce suicidé. Sans suit une aventure a la recherche de Sébastian dans le but de le retrouver.

J'ai apprécier ce livre car les dessin de cette BD sont bien réaliser et détailler avec beaucoup de couleur qui apporte de la luminosité a ce livre qui est assez sombre dans l'esprit .
L'illustration est la représentation parfaite de l'histoire .

Deuxièmement le scénario qui nous entrain jusqu'à la fin de l'histoire est génial avec l'idée de savoir si Sébastian va être sauver. Avec une intrigue bien réaliser nous avons du mal a sortir du livre comme avec la révélation de fin qui est bien amener tout au long de l'histoire.

Enfin ce livre ma plu car les personnages représenter par des animaux ont la même mentalité que les humains ce qui est parfois différent dans d'autre même type de livre ou le coté animal est trop accentué .


Je conseille ce livre a tout les fans de BD et de dessin bien détaille et qui aime les intrigues.
Yanis.
3ème5 en 2019-2020

Encore une fois, je suis fière de m'être lancée dans cette série, dont le talent des auteurs me laisse sans voix. Et ce dernier tome (à ce jour, car je sais bien que d'autres sont sortis) fut vraiment, vraiment une lecture agréable.
Lien : http://leschroniquesdeffy.bl..

Rolalala Blacksad!quel bonheur à lire. Quelle qualité pour les dessins, sans pour autant oublier le scénario, un pur bonheur!

Encore une fois, Blacksad ne déçoit pas. le scénario est un véritable polar. Guardino dessine un "film" noir. Les plans, les angles de vue de cette BD (et des précédentes) la rendent très cinématographique. Blacksad est la version féline de Bogarth.

Dans cette série, on retrouve l'ambiance des vieux polars des années 50 et on s'imagine très bien des acteurs comme Humphrey Bogard évoluer dans ces pages. Cette impression est renforcée par la voix-off de Blacksad qui nous conte l'histoire.

En refermant la dernière page de ce 4ème tome, je me dis que cette série est une vraie petite merveille à découvrir absolument.

Nouvelle Orléan, dans un night club Jazzy. Weekly et Blacksad attendent leur rendez-vous, un certain Junior Harper. Mais celui-ci est en retard.
Weekly en profite pour se rincer l'oeil, il faut dire que le spectacle est tout à fait inconvenant. Mais Blacksad s'inquiète : cela fait longtemps que leur rencard, un ancien détenu, aurait dû arriver. Il décide alors de faire un saut à l'Ebony Lounge pour leur poser des questions, et envoie son compère journaliste du côté de chez Junior pour voir ce qui le retient...

Le détective privé John Blacksad reprend du service, avec son désormais inséparable Weekly (pour mon plus grand plaisir, j'adore ce personnage).
Cette fois, c'est lui qui a décroché ce boulot, mais l'affaire est loin d'être une partie de plaisir, contrairement aux apparences premières. le patron d'une grande maison de disque, Faust Lachapelle, s'inquiète pour l'un de ses musiciens : Sebastian Fletcher. Ce dernier, accroc à la drogue, est introuvable. Et il se fait un sang d'ancre pour lui.
Évidemment, rien ne se passe comme prévu et l'histoire est plus plus complexe qu'il n'y paraît.

La suite à lire sur BenDis...
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le chat détective est en plein affaire. On l'a chargé de retrouver une star montante du jazz. Sébastian "Little Hand" Fletcher est un de ces génies de la musique qui attire autant le public que les emmerdes. Et le problème aujourd'hui est tout simple: personne ne sait ce qu'il est devenu ces derniers jours. John lui-même se demande ce qu'il fait là.
Il a eu vent de cette affaire par l'entremise de Weekly, son ami fouineur. Et, en amoureux du Jazz, il reconnaît le talent du disparu. Il est parti à sa recherche à la demande du directeur de la célèbre maison de disque. Agonisant, il traine dans les milieux vaudous et souhaite que ses artistes lui survivent. Seulement, son fils est persuadé que le vieux jette l'argent par la fenêtre. Il ignore seulement que son objectif est la survie de la lignée. Lignée menacée par un secret héréditaire.

Il est de retour! Enfin!!!!
Quand j'ai vu que le dernier tome des aventures de Blacksad était sorti, je me suis jeté dessus. Pour ceux qui sortent d'une hibernation médiatique et littéraire, Blacksad est la dernière sensation du petit monde de la bande-dessinée des dernières années. Petits chefs d'oeuvre, les tomes amènent à chaque fois un éclairage sur des sujets qui touchent de près les USA dans leurs travers et leurs bon côtés.
Après le racisme, l'ère atomique et le maccarthysme, les auteurs nous plongent au sein de la Nouvelle Orléans et du jazz. A travers une histoire de disparition, nous suivons John Blacksad dans un dédale de révélations. Il croise à nouveau des êtres atypiques, et la détresse. Il plonge tête baissée dans cette nouvelle affaire sans se douter un instant que sa vision des choses va sûrement s'en trouver légèrement modifiée. de plus, les auteurs jouent avec la narration et le temps. En effet, l'action démarre in médias res, et court de part et d'autre de cet évènement. du coup, on connaît l'avant et l'après sans que l'action soit ralentie une seule seconde. Et puis, le dessin sublime le texte. Chaque case est un tableau qui n'oublie l'idée de mouvement. Les images sont d'une beauté à couper le souffle mais n'immobilise pas le storytelling.
Alors, ne passez à côté de cette oeuvre.


Lien : http://artdelire.blogspot.co..

Excellent. le récit est captivant. L'ambiance également. Et les planches, extra. J'ai beaucoup apprécié ce tome. Petit clin d'oeil au coq de Disney de Robin des bois. Sa mélodie est déjà dans ma tête...
Ça transpire d'émotions et la tension est palpable.
Un régal.

Toujours aussi bon, grande série...

Enfin un nouveau tome! Sitôt vu en librairie sitôt lu, J'ai pourtant pris mon temps mais ça vous prends et ça ne vous lâche plus un Blacksad, comme un bon polar avec la pureté du dessin et la beauté des images en plus...