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3,76

sur 7241 notes

Critiques filtrées sur 1 étoiles  
Moi qui avais beaucoup de difficultés à incarner la notion de vacuité par la voie de la méditation chère aux bouddhistes, je viens de la toucher du doigt par la lecture de ce livre. Merci Joel.
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Je n'ai rien appris avec cette lecture, une déception 😞 je suis habituée qui adore cet auteur mais cette fois ci... Je n'ai pas aimé. Il me semble un écrit de quelqu'un d'autre... Je ne l'ai pas reconnu à travers ces lignes.
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Trop désolée d'avoir été déçue par ce roman, plutôt mal écrit (je ne parle pas des coquilles) , et à l'intrigue compliquée. Pourtant tous les ingrédients étaient réunis pour un bon roman, même si l'intrigue n'est pas très originale. Lassée, j'ai abandonné la lecture... peut-être est- ce un tort ?
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Une demi étoile pour dire que la hauteur de ma déception est inversement proportionnelle au nombre d'étoiles accordé à ce roman. Que dire : invraisemblable, alambiqué, inutile, pauvre. Où est le Joël Dicker du "livre des Baltimore" ? Dicker a t-il cédé au pouvoir mercantile d'éditeurs de romans de gare ? Joël, reviens-nous avec de bons romans, des trucs qui nous fait rêver, mais pas cet alignement de mots et de faits tous plus invraisemblables les uns que les autres. Quel dommage.
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Déception... ni le style catastrophique ni l'intrigue à la fois trop complexe pour accrocher le lecteur et trop simpliste dans son déroulement linéaire (malgré le « truc » des allers retours passé présent) ne convainquent. À oublier très vite, en espérant que J. Dicker retrouvera un jour le souffle des Derniers Jours de nos pères...
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Comme disait mon prof de maths à l'époque, 0,5 pour l'encre ! (oui j'étais à ce point mauvaise). C'est en peu de mots mon avis sur ce roman sans queue ni tête. Au vrai, il me faudrait faire un schéma pour vous résumer l'histoire (ce qui n'est déjà pas bon signe), mais surtout ce serait une grand perte, comme la lecture de ces 600 pages dont au moins 300 ne servent à rien si ce n'est embrouiller le lecteur. de ce point de vue, c'est réussi.

Joël Dicker avait un objectif en écrivant ce livre : qu'il soit « page-turning » comme on dit outre-Atlantique pour le vendre à des millions d'exemplaires, et pour cela semble-t-il, plus l'histoire est rocambolesque, plus ça fonctionne. Il doit avoir un peu raison car j'ai tout de même fini le livre, mais ce sera le dernier en ce qui me concerne de l'auteur.

Le livre fonctionne en alternant flashback et temps présent, un personnage par chapitre. Deux flics, du genre Arme fatale 4, ont arrêté l'auteur d'un quadruple meurtrier il y à 20 ans. A l'aube de sa retraite anticipée (histoire que le héros principal soit encore jeune et attrayant pour une éventuelle adaptation cinématographique), un des flics se fait approcher par une journaliste qui lui révèle qu'il y a 20 ans il s'est trompé de coupable, sans toutefois révéler ce qu'elle sait. Quelques jours plus tard, cette journaliste disparait. Son corps sera retrouvé dans le lac de la région. le duo se reforme pour élucider son meurtre, dont on peut soupçonner qu'il est l'oeuvre du même assassin (celui qui est toujours en liberté depuis 20 ans). Bien évidemment, une jeune flic nouvelle dans la région s'en mêle. Bien évidemment, le héros à l'aube de sa retraite a perdu son grand amour il y a 20 ans et ne s'en est jamais remis. Bien évidemment, il est morose et séduisant. Bien évidemment, c'est un mauvais polar aux allures de futur mauvais film hollywoodien.

Si j'avais plutôt apprécié Harry Québert sans penser toutefois qu'il s'agissait d'une grande oeuvre, je n'ai rien de bon à formuler sur ce pavé insipide…
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Jusqu'à présent, de Joël Dicker, je ne connaissais rien ou plutôt pas grand chose, c'est-à-dire le nom de son premier roman "La vérité sur l'affaire Harry Quebert". Depuis cette parution "successfull", j'ai tellement entendu tout et son contraire sur ce jeune auteur suisse que je savais qu'un jour, je devrais m'y coller et me forger ma propre opinion. C'est désormais chose faite après la lecture plus que laborieuse de "La disparition de Stephanie Mailer", roman dans lequel, je tiens à le préciser, je me suis pourtant plongée sans aucun préjugé négatif, en véritable poussin né de la veille.

Alors, ce qui m'a le plus frappée pour commencer, c'est le style, ou l'absence de style devrais-je dire. Comment vous dire ? J'ai d'abord cru à des erreurs éditoriales comme si l'éditeur avait oublié des mots ou une partie de la ponctuation, mais en fait, non, après cent pages, j'ai bien dû me rendre à l'évidence : c'était vraiment la plume de l'auteur et là, petit moment de solitude dans mon canapé, j'ai quand même flippé au regard du bloc de pages qui me restait entre les mains. Une digestion longue et inconfortable se profilait à l'horizon...

En fait, c'est tellement mal écrit qu'on en vient à douter de sa propre vue et de son propre jugement. Les phrases que je lis sont-elle bien écrites ? Ces adjectifs déjà lus cinquante fois en cinquante pages sont-ils vraiment imprimés ? A ce moment là, parvenue tant bien que mal au premier tiers du roman, je ne vous cache pas qu'il m'a fallu actionner un nouveau levier de motivation parce que franchement, à la sortie d'un polar de Lehane, tout ça me semblait juste impossible à avaler sans un petit coup de pouce. Délaissant le recours à l'alcool fort, j'ai plutôt opté pour une petite pause, le temps de me renseigner un peu sur l'auteur dont je n'avais jamais écouté d'interview, à peine savais-je à quoi il ressemblait. Hélas, première info que je récolte : Joël Dicker n'a pas voulu écrire un polar avec "La disparition de Stephanie Mailer". Alors, là, pas de bol, Mr Dicker, sincèrement désolée mais je fais partie des lecteurs qui aiment appeler un chat un chat et qui apprécient quand un auteur ne se fout pas de leur gueule avec des effets de manche à la con. Si "La disparition de Stephanie Mailer" n'est pas un polar, alors qu'est-ce que cela peut bien être ? Menons l'enquête...

Ok, ok, je veux bien respecter vos assertions, Mr Dicker, après tout, vous êtes censé mieux vous connaître que moi. Donc, je reprends ma lecture avec la ferme décision de ne pas voir dans ce roman un polar. En cela je respecte exactement ce que vous affirmez. Mais alors, que me reste-t-il comme carburant pour persévérer dans cette "enquête" qui n'en est pas une ? Dieu merci, une illumination bienvenue m'a soudain éclairée : j'ai réalisé que vous écriviez une parodie de roman policier, doublée d'une parodie de littérature facile à succès.

D'un seul coup, j'avais résolu votre énigme et tout le puzzle s'est mis en place naturellement : la pauvreté du style, les stéréotypes à gogo, l'action située à New York, les fausses pistes, l'absence abyssale de descriptions, la vulgarité dans la bouche des policiers (qui n'en sont peut-être pas ?), les retournements de situation gros comme des camions, tout cela tendait évidemment à parodier le genre du polar, genre de plus en plus galvaudé depuis qu'un chromosome "thriller" a été découvert sur le caryotype des Scandinaves.

A partir de là, la lecture de votre roman "La disparition de Stephanie Mailer" fut une vraie partie de plaisir, un festival du rire (à défaut de théâtre) haut en couleurs où j'ai retrouvé tous mes repères. Très subtil et bien dosé, cet équilibre entre "La cité de la peur" et "OSS117", je me suis tellement divertie à prendre place dans la tête de vos enquêteurs (qui n'en sont peut-être pas ?) que je ne résiste pas à l'envie de partager ici quelques beaux morceaux de cogitation policière :

"- [...] Et puis ces valises pleines de vêtements qu'on a trouvées dans la voiture. Je crois qu'ils étaient sur le point de partir."

"Anna et moi avions la conviction que l'argent retrouvé chez Stephanie était une des pistes de notre enquête. D'où provenaient ces 10 000 dollars en liquide retrouvés chez elle ? Stephanie gagnait 1 500 dollars par mois : une fois payés son loyer, sa voiture, ses courses et ses assurances, il ne devait pas rester grand-chose. S'il s'agissait d'économies personnelles, cette somme aurait plutôt été sur un compte en banque." #auteursuisse

"Pour découvrir qui avait tué le maire et sa famille, nous avions besoin de savoir qui avait une bonne raison de le faire."

"La personne qui avait mis le feu à l'appartement n'avait qu'un but : tout faire brûler."

"- Eh bien, tout laisse à penser que ce que cette personne cherchait ne se trouvait pas dans l'ordinateur de la rédaction [...]."

"[...] les mains liées par un collier de serrage en plastique de type Serflex." {tut tut pas de marque !}

Et encore, Mr Dicker je me rends compte que ces maigres extraits ne rendent pas suffisamment justice, et à votre ingéniosité d'auteur, et à la sagacité de vos enquêteurs au charisme véritablement poignant...

Ah... attendez... on me susurre dans l'oreillette que je fais fausse route, que contrairement à toutes les apparences, il ne s'agit pas ici d'une parodie mais bien d'un vrai et inédit polar-qui-n'en-est-pas-un ! Oh, alors, toutes mes excuses, Mr Dicker, j'ai dû m'embrouiller dans mes fiches car, oui, je vois là, sous mon buvard, ma note sur ma seconde hypothèse qui va à un scénario pré-mâché pour HBO ; c'est les abonnés de Netflix qui vont être contents ! J'ai déjoué votre fausse piste, c'est bien vers ce succès programmé qu'on se dirige. Vous aviez pourtant laissé derrière vous bien des indices, à commencer par ces effets "roulement de tambour" ou "haleine retenue avant une catastrophe" au début et à la fin de chaque court chapitre ? séquence ? épisode ? Effets qui doivent bien avoir un joli petit nom anglophone que je ne connais pas hélas, n'étant pas abonnée à Netflix, sorry.

Allez, Mr Dicker, je m'arrête là, car il n'y a vraiment pas grand chose à sauver dans tout ça et on ne va pas y passer la journée non plus. Laissons le mot de la fin à Meta Ostrovski, le "critique littéraire" de votre roman, qui affirme : "Ce qui n'a pas de succès est forcément très bon". L'inverse serait-il tout aussi vrai ?


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Quelle déception ! Les lecteurs de Joël Dicker méritent tellement mieux que cet indigeste gloubi-boulga !
le début est prometteur, mais au fil des pages, le lecteur se perd, il est baladé, ballotté, malmené par la multitude de protagonistes (hautement burlesques pour certains), les nombreuses fausses pistes et maints rebondissements, qui, loin de le tenir en haleine, le découragent et l'épuisent. Venir à bout de ce pavé de plus de 600 pages demande beaucoup de ténacité.
Bon courage à tous !!!
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Une étoile pour l'enthousiasme qui a précédé ma lecture... Cela ressemblait à du roman policier dans les quartiers chics américains des Hamptons ... Une interview sympathique de l'auteur quelques jours avant et je m'apprêtais à m'enfoncer dans de longues heures de lecture pleines de promesses ...
Eh bin non, que nenni ... Personnellement, je n'ai rien apprécié: l'histoire, l'intrigue, les personnages , les rebondissements à tout-va... Bref, j'ai eu l'impression de perdre mon temps . Une question me turlupinait tout au long de la lecture ( je donne jusqu'au bout sa chance au bouquin) " Suis je tombée sur le scénario d'un mauvais film?" Dommage.
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Un navet! Ca résume pas mal ce livre que je n'ai même pas terminé. J'avais adoré "la vérité sur l'affaire harry Québert" et "le livre des Baltimore" mais là, je me demande où est passé Joël Dicker. Ce style que même un collégien pourrait avoir, un vocabulaire plus que pauvre, des dialogues mièvres, une histoire complètement farfelue etc. Je ne vais pas résumer le livre ici car c'est déjà très bien fait dans d'autres critiques mais en gros les enquêteurs qui ont résolu une affaire de meurtre 20 ans plus tôt reprennent l'enquête car finalement grâce à Mailer( qui a donc disparu, ce n'est pas un secret), ils se rendent compte qu'ils se sont trompés de coupable (qui est mort entre-temps). Dicker nous donne une histoire à dormir debout, les témoins de l'époque ont oublié de donner des détails sur les meurtres qu'ils donnent donc aujourd'hui. C'est sûr que ça arrange bien l'auteur. Les personnages ont tous un secret mais qu'ils gardent bien au chaud pendant disons au moins 300 pages, ça aussi ça l'arrange bien le Dicker, au moins son lecteur ne referme pas le livre définitivement au bout de 100 pages se disant que peut-être à un moment donné il va se passer quelque chose d'intéressant. Et bien, moi je n'ai pas pu. Au bout de 300 pages, j'ai abandonné. Dicker sort un bouquin tous les 3 ans, on pourrait s'attendre à bien mieux. Evidemment, on ne peut pas faire un best-seller à tous les coups mais là, la chute est vertigineuse... Bref, à fuir!!!
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