Il ne s'agit de faire détester la Révolution ni par les sentiments d'horreur que son histoire excite chez ceux qui la connaissent, ni par les réactions généreuses d'un attachement pieux au passé, ni par dévotion à celle qui se nomme elle-même, et que tous les Français conscients nomment avec amour et respect son ennemie irréductible, l'Église catholique. Toutes ces choses, belles en soi, précieuses dans leurs effets, étroitement solidaires de l'œuvre que l'Action Française poursuit, ne sont pas l'objet de ce que je nomme enseignement. Dans des sphères d'action différentes, ce sont autant de principes amis, dont le triomphe avec celui que l'on poursuit ici ne fait qu'un.