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3,96

sur 6190 notes
Un livre que j'ai bien aimé, même si selon moi le dénouement était déjà tout traçé..
Tout de même, ce fut mon premier Sherlock Holmes, j'ai bien aimé ce classique de la littérature anglaise ! :)
Je le conseille !
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Un énorme chien noir qui semble venir tout droit des enfers rôde sur la lande et aboie de façon sinistre et lugubre : telle est la terrible malédiction qui poursuit les Baskerville. Légende ou réalité ? le docteur Mortimer ne sait plus trop quoi penser. Il va alors demander secours au célèbre Sherlock Holmes, un détective au flair infaillible. Pour traquer un chien diabolique, ce sera sans doute bien utile…

J'ai pu découvrir ce bel album de littérature de jeunesse grâce à l'opération « Masse critique » organisée par Babelio. Mon choix s'est porté sur cette oeuvre puisque j'avais déjà lu le roman d'Arthur Conan Doyle : « le Chien des Baskerville » : ayant bien apprécié ma lecture, j'avais envie de relire l'histoire dans une version un peu différente : l'adaptation par les éditions Itak pour des enfants à partir de 8 ans, dans la collection « Destination Classiques ». L'objectif de cette dernière est de permettre à des enfants de faire un premier voyage dans l'univers de la littérature, de manière à la fois ludique et pédagogique.

Pari réussi, à mon avis, en témoigne ce livre. le roman d'Arthur Conan Doyle me semble bien retransmis par les auteurs. Les illustrations d'Agnès Perruchon s'accordent bien au texte, lui font écho, le complètent et parfois même aident le lecteur à anticiper... Pour que les enfants comprennent encore mieux l'intrigue, peut-être faudrait-il commencer par la présentation de la carte d'identité des personnages (à la fin du livre). le texte est bien pensé, puisque certaines parties de phrases sont mises en valeur sur le plan typographique, ce qui peut guider l'enfant dans sa lecture. Ainsi, est bien mis en avant le célèbre : « Elémentaire, mon cher Watson ! ».
Une oeuvre ludique, donc, grâce notamment aux illustrations, mais aussi pédagogique. Ainsi, on peut lire que le texte a été réalisé avec la participation de quatre professeurs des écoles. A la fin de l'histoire, figure une double page, intitulée : « A retenir de cette histoire ». Elle présente la carte d'identité des personnages ainsi qu'un bref résumé concernant leur rôle dans l'intrigue. Puis on peut lire une petite « morale » de l'histoire, ainsi que quelques mots à retenir. Une fiche simple présente l'auteur : Arthur Conan Doyle « le génie de l'énigme ».

Une belle oeuvre, qui donnera sans nul doute le goût aux enfants de partir à l'aventure aux côtés du célèbre Sherlock Holmes pour l'aider à résoudre ses énigmes.
Un grand merci à Babelio et aux Editions Itak pour ce beau voyage, ludique et pédagogique, dans l'univers de la littérature !
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Ce tout petit album (16x16) à couverture souple fait partie de la collection Destination Classiques de Itak editions, que je ne connaissais pas du tout. Je précise que je l'ai découvert via Masse Critique.

Je commence donc par le format, parce que finalement c'est mon principal bémol pour ce titre; ceci dit la collection existe aussi en albums plus grands, qui comptent 5 titres chacun.
J'ai lu cette aventure de Sherlock Holmes avec plaisir (d'autant que je ne m'en rappelais plus la fin). le texte est clair et accessible, mais il me semble que l'accent n'est pas assez mis sur l'aspect terrifiant du chien maudit... Enfin, les dessins sont agréables (sauf Watson à moitié chauve).
A noter : deux pages complètent l'ouvrage, qui récapitulent les principaux personnages, les mots difficiles, et quelques notions sur l'auteur.
Pour moi qui travaille en bibliothèque, ce petit livre a sa place toute trouvée au rayon des "Premières lectures" ! Belle initiative, donc, qui permet d'approcher les classiques dès le plus jeune âge.
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J'ai reçu ce livre dans le cadre de l'opération Masse Critique, merci donc !
Mon impression globale est mitigée, j'ai été à la fois charmée et un peu déçue par ce livre. Je n'oublie pas qu'il s'adresse aux enfants mais ça tombe bien puisque j'apprécie la littérature jeunesse ! Et puis j'étais curieuse de voir comment ce classique avait été adapté pour les jeunes lecteurs.

Ce qui m'a plu :
- Un livre petit format (qui devrait rassurer les petits lecteurs), agréable à regarder, coloré, qui donne envie de l'ouvrir ! (ça commence bien !)
- Les éléments récapitulatifs et explicatifs à la fin du livre, sous forme de carte d'identité des personnages principaux et de l'auteur, avec aussi un mini lexique de quelques mots potentiellement nouveaux pour le jeune lecteur.

Ce que j'ai un peu moins apprécié :
- L'aspect extérieur du livre : certes, j'ai dit précédemment qu'il m'avait plu... mais cela ne m'empêche pas de lui trouver un défaut : je trouve qu'il ne fait pas assez "livre", ça me donne davantage l'impression d'une (belle) brochure publicitaire, ce qui est renforcé par sa fine épaisseur.
- La façon dont l'histoire a été résumée... je suis un peu déçue car j'ai trouvé que ce n'était pas très clair et un peu expéditif : le dénouement tombe trop rapidement sans que j'aie eu le temps de comprendre ce qui s'était passé dans l'intervalle entre le début et la fin... Je trouve que cela manque de liens pour comprendre mais également de suspense (je précise que j'ai lu l'original, un peu flou dans mon esprit mais que ce résumé m'a permis de rafraîchir... voilà un autre élément positif !).

Quant aux dessins, je suis partagée. J'ai apprécié les couleurs mais j'ai un peu moins accroché aux dessins en eux-mêmes, j'ai trouvé qu'il ne me faisaient pas assez rêver... Reste que c'est un avis d'adulte, or c'est bien l'avis des enfants qui prime en l'espèce ! À (faire) découvrir, donc, pour se faire sa propre idée !
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Un matin à Londres, le docteur Mortimer rend visite au célèbre détective Sherlock Holmes pour l'informer d'une bien étrange malédiction qui frappe la famille Baskerville, en Ecosse. En effet, les membres de cette famille meurent les uns après les autres après avoir vu « un énorme chien noir aux yeux de feu venu des enferts »... Holmes et son acolyte le docteur Watson s'emparent immédiatement de l'affaire.
L'illustre détective percera à jour le mystère entourant le manoir des Baskerville grâce à de petites déductions...

Ce petit album donne bougrement envie de relire l'original ! L'histoire est adaptée ici pour des enfants à partir de huit ans. L'intrigue est donc fortement résumée, le nombre de personnages réduit, la résolution de l'enquête simplifiée, mais le fond est là, et l'atmosphère étrange et mystérieuse est parfaitement bien rendue par les illustrations d'Agnès Perruchon.

Cet album fait partie de la collection Destination Classiques. A la fin de chaque histoire, l'enfant trouve un petit dossier comprenant une galerie des personnages, une présentation de l'auteur, un petit lexique pour les mots difficiles ainsi qu'une petite réflexion sur l'histoire. J'ajoute que le format 16 cm x16 cm est très pratique pour les petites mains.

Je voulais saluer Itak éditions pour cette sublime idée de faire découvrir aux enfants de grandes oeuvres de la littérature française et étrangère comme La peau de chagrin, le malade imaginaire, Carmen, le grand Meaulnes, La case de l'oncle Tom...
Lien : http://lesmotsdelafin.wordpr..
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Premièrement, commençons par résumer ce beau récit. Comme cette histoire est passionnante ! C'est l'histoire d'une jeune femme de dix-huit ans qui vivait dans un couvent dont elle essayait constamment de s'éloigner après la mort de son grand-père Honoré. C'est alors qu'elle devint fille du Roy. Lors de sa traversée en mer vers ces nouvelles terres et lors de son arrivée en Nouvelle-France, elle déclenchera les péripéties du roman en prenant la place de Marie pour le mariage au Sieur de Rouville afin que sa meilleure amie puisse vivre sa vie heureuse avec son marin. Comme on admire cette femme forte dont les exploits (péripéties) sont si époustouflants et courageux! À la fin, elle vivra avec son «prince charmant» et aura beaucoup d'enfants tout en vivant la vie de princesse dont la fille rêvait lors de son enfance. Que c'est mignon ! Dans cette histoire touchante, l'écrivaine parvient à nous faire connaître une âme dont la pureté et la brillance en est extraordinaire, celle de Jeanne Chatel.

Deuxièmement, Jeanne Chatel, le personnage principal, est un personnage attachant et admirable. Comme Suzanne Martel a bien joué son rôle d'écrivaine et bien écrit le roman! En effet, elle nous donne continuellement l'envie de savoir ce qu'il adviendra du sort de Jeanne et le résultat de ses péripéties. Suzanne parvient à nous rapprocher du personnage de plus en plus au cours du roman surtout à cause de sa personnalité hors du commun pour l'époque, ses exploits courageux et son sens de l'humour, sans oublier son intelligence coquine. On peut bien voir le courage de Jeanne lors de cet exploit, à l'aide de cet extrait : « Avec un cri de terreur Jeanne simulant la panique, tourne sur elle-même, imitant la ruse de la mère perdrix.» (p.215) pour sauver les enfants pour ne pas qu'ils se fassent repérer par les Iroquois. Bref, Jeanne Chatel est un personnage attachant puisqu'elle est admirable pour son courage, ses exploits et sa personnalité. Tout en prenant en note qu'elle est ainsi à cause des talents d'écriture de Suzanne Martel.
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Ce n'est pas que je n'aime pas Arthur Conan Doyle, car je sais apprécier son style d'écriture, fin, soigné, joli, concis et juste. Seulement je n'aime pas le héros, eh oui, chers lecteurs je parle bien de notre détective Sherlock Holmes. Avec sa platitude, son humour bourru de british, son arrogance et ses extravagances il n'a rien à voir avec mes autres enquêteurs favoris (Miss Marple, Hercule Poirot, les flics de Vargas, etc.)

Sherlock est ennuyant. Je m'ennuie à suivre sa réflexion linéaire et pourtant l'intrigue est là, elle est bien présente, bien écrite, à couper le souffler (sans trop exagérer quand même) ,un bon polar avec des méthodes archaïques mais révolutionnaires à l'époque.

Bien loin des enquêtes banales et fréquentes de ces temps anciens, le chien de Baskerville nous plonge encore dans la noirceur du temps des Jack l'éventreur et comparses;

Malheureusement je n'accroche pas.

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Le chien de Baskerville est un grand classique (Je regrette d'ailleurs qu'il ne fut pas partie de mes livres à étudier au collège).

C'est un roman presque épistolaire, le début de l'enquête étant narré au travers des lettres envoyées par Watson à Holmes ou d'extraits de son journal. Dans ses écrits, le docteur détaille ses pistes, les suspects potentiels , ses découvertes et conclusions.

Hélas pour lui, il y a fort peu de suspects, les révélations apparaissent à dose homéopathique et le mobile du crime reste impénétrable.

Le docteur est donc entrainé dans un jeu de piste, de faux indices menant à de faux coupables (dont Holmes faisait involontairement partit), où vielles légendes et lourds secrets s'entremêlent.

Bien qu'ayant assez vieillit, la plume du chevalier est très fluide tout en restant élégante. le rythme, malgré quelques petites longueurs, est entrainant et on se prend facilement au jeu de l'enquête en entrant dans la peau de Watson.

Les personnages sont tous magnifiquement rendus mais je préfère nettement Watson à Holmes qui est "trop parfait"

L'ambiance est à la limite de celles des anciens films d'horreur (ceux qui effrayait en créant une tension palpable et non à coup d'hectolitres d'hémoglobine).

Seul point négatif que je trouverai à relever : l'absence d'Holmes sur une grande partie du livre. En effet, dès le début du livre, Holmes se livre à une analyse d'une canne oubliée par un visiteur afin d'en découvrir son identité.

Je m'attendais à ce que tout le livre soit de cet acabit. Seulement, le héros, retenu à Londres pour une autre affaire, délègue ses pouvoirs à son acolyte.

Certes, il le rejoindra plus tard, mais ce sera juste pour dénouer presque tout les mystères en bloc, sans laisser le temps au lecteur d'échafauder ses propres hypothèses.

­Malgré ce petit détail, cette lecture m'a beaucoup plu et elle m'a donné envie de lire d'autres livres de cet auteur.

Lire mon article complet :
Lien : http://lombredeskarnsha.blog..
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L'intrigue se déroule dans le Denonshire et Sherlock Holmes et son fidèle acolyte le Dr watson se voient confier une étrange et passionnante affaire. En effet, depuis plusieurs mois un énorme chien aux origines diaboliques serait le meurtrier de Sir Charles Baskerville. le plus étrange dans cette affaire, et c'est ce qui va pousser Sherlock Holmes à s'y intéresser sérieusement, est que l'un de ses ancêtres,
Sir Hugo Baskerville avait trouvé la mort dans des conditions tout aussi étranges.
Aussi, la mission de Holmes et de Watson est non seulement de résoudre cet énigme mais aussi de protéger Sir Henry qui est le dernier descendant de la lignée des Baskerville.
Arthur Conan Doyle nous entraîne ici dans un polar passionnant où mysticisme se mêle à des faites bien plus terre à terre, à savoir la vengeance, le pouvoir que l'on peut avoir sur un individu en provoquant chez lui la peur...
Conan Doyle nous régalera également avec toutes les autres aventures du célèbre personnage de Sherlock Holmes qui est connu internationalement et dont personne n'ignore le nom. A lire !
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Quoi de plus intéressant que de lire et de découvrir l'un des plus célèbres romans de Sir Arthur Conan Doyle, mettant en scène son non-moins notoire détective – j'ai nommé Mr. Sherlock Holmes, alors campé (et avec brio il faut le dire) par Robert Downey Jr. dans les salles obscures. Et oui : c'est le Chien des Baskerville qui, par ses hurlements angoissants, a occupé mes nuits … Tout à coup, une masse sombre se déplace devant moi, en vitesse. Angoisse. Peur. Voilà qu'une truffe humide vient se coller dans ma nuque. Et cette respiration qui n'a rien d'humain. le souffle chaud me glace le sang. Je me retourne … : plus rien. Évidemment, ce n'était qu'un rêve. Ou peut-être pas…

Malédiction. Voici le maître mot de l'histoire. Elle marque la famille Baskerville depuis un terrible évènement. Il semblerait qu'une bête en veuille aux membres malheureux de cette famille, qui osent fouler la lande désolée du Devonshire. Quelle est cette chose démoniaque ? Les témoignages se rejoignent : c'est un monstre. Un chien énorme, tout droit sorti des Enfers. Cerbère a défait ses chaînes … Des flammes, des hurlements horribles, des empreintes inconnues. La Raison n'est plus raisonnable dans cette affaire. Avant que le dernier Baskerville, Henry, propose à Sherlock Holmes de la résoudre. Avec des méthodes plus ou moins originales…

C'est en effet au travers des mémoires de son assistant, le cher docteur Watson, que nous suivons l'enquête et ses mystères – le détective est retenu à Londres, clientèle oblige – Il discute, cherche, s'interroge. Les personnages s'entremêlent, leurs relations sont plus proches qu'il n'y paraît. Les domestiques, les voisins, les femmes aimantes, le Chien … Tout s'enchaîne sans aucune compréhension. Et par-dessus le marché, un criminel s'est échappé de prison et son ombre plane sur le Bourbier. Certaines défont leurs chaînes tandis que d'autres les forgent, impuissants, formant un noeud que seul Holmes peut briser. Mais il est à des centaines de kilomètres, et il ne répond plus aux missives de Watson. A moins que …

Une très bonne lecture. Un sentiment que la figure sympathique du détective m'empêche de nuancer, par peut-être, la découverte du coupable un peu trop tôt. Mais le roman (et son intrigue) est comme le Bourbier. Impénétrable, à moins qu'on en connaisse les ficelles. Et dangereux : on s'y aventure, on peut difficilement le quitter avant que la dernière page nous tende sa main salvatrice. Sauvé d'une noyade plaisante, du début à la fin. Boire la tasse n'a jamais paru aussi agréable… Si ce n'est cette bête qui rôde depuis dans ma maison. Et voilà que je la sens de nouveau : … elle s'approche, et … Soulagement. Ce n'était rien finalement. Ce n'était que mon chien. A moins que…
Lien : http://bookkingdom.wordpress..
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