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sur 38 notes
Il y a 29 jours je recevais "La saveur de nos vies" dans ma boîte aux lettres reçues dans le cadre de la masse critique de septembre. Je remercie Babelio et l'Archipel pour l'envoi de celui-ci. On est loin ici des genres de l'imaginaire que je lis en grande majorité et je dois bien avouer que jamais je n'aurais lu "la saveur de nos vies" sans l'opération masse critique. Je n'aurais pour dire vrai sans doute même pas pris la peine d'en lire la quatrième de couverture. C'est un tort car c'est à la lecture de cette dernière que j'ai décidé de cocher ce titre lors de cette masse critique et non grâce sa couverture que je trouve assez sobre et ne me donnant pas particulièrement envie de découvrir ce roman.


S'il est habituel pour moi de mettre ma critique dans les dernières heures du temps impartie pour le faire, j'ai bien souvent fini ma lecture plusieurs jours avant, ce n'est pas le cas pour cette lecture que je viens de finir à l'instant un peu pressé par le temps. Cela fait pourtant maintenant plus d'une semaine que j'ai lu les premières pages de ce dernier et j'avoue avoir lu plus de la moitié de ce dernier aujourd'hui pour écrire ce petit avis dans les temps.


Heureusement ce roman se laisse lire tout seul ou presque, j'ai trouvé le style de l'auteur très simple, sans doute peut-être même trop tandis que l'intrigue en elle-même n'a pas réussi à totalement m'embarquer sans que je puisse pour autant dire m'être ennuyé. En effets les chapitres assez courts et les très nombreux dialogues qui composent ce roman lui donnent assez de rythme pour que mon intérêt ne se soit pas étiolé pas au fil de ma lecture sans que l'intrigue n'arrive pour autant à devenir assez prenante pour que j'ai réellement envie de finir ce roman rapidement afin d'en connaître le dénouement qui d'ailleurs n'est je trouve au final pas d'une très grande surprise.

On suit ici Éva, une galeriste célibataire ayant 2 enfants étant épanouie professionnellement, malheureusement pour elle sur le plan familial les choses sont plus difficiles notamment la relation qu'elle entretient depuis sa jeunesse avec son père. Ce père justement grand chef multi étoilé va être accusé d'une grande opération de blanchiment ce qui va le conduire en prison venant bousculer tout l'équilibre de sa famille où nombreux sont les secrets et les non-dits. Autant de chose que devra surpasser Éva face à cette étape compliquée de sa vie afin de faire sortir son père de prison. J'ai sans doute manqué d'empathie durant ma lecture mais j'avoue ne pas avoir particulièrement été touché par les personnages ni les grands bouleversements que va déclencher l'arrestation de ce père dans cette famille remplie de lourd secret et de non-dit.

Ainsi "la saveur de nos vies" fait partie de ces lectures assez « neutres » où je ne peux pas dire avoir aimé sans pour autant pouvoir dire avoir passé un désagréable moment à la lecture de ce dernier. Cela étant il ne s'agit que du premier roman de l'auteure et je serais tout de même assez curieux de lire à l'occasion s'il y en a les prochaines publications de l'auteure.
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En août dernier, j'ai eu la chance de pouvoir découvrir Preuve d'amitié de Chantal Milman, le premier roman de la toute nouvelle collection Écriture éditée par les éditions L'Archipel. J'étais particulièrement enthousiaste de découvrir cette collection, qui met le point sur l'écriture, la stylistique, les sens des termes. Malheureusement, bien que très respectueuse du travail de Chantal Milman, je n'avais pas été sensible à la plume de l'auteure et à son style sans doute trop brutal. Je re-tente vaillamment ma chance avec La saveur de nos vies, un roman écrit par Deborah Elmalek.

Dans celui-ci, nous faisons la rencontre d'Eva, une jeune galeriste parisienne, maman de deux jeunes enfants, qui vit une vie heureuse, entourée de sa turbulente famille. Vanessa, sa soeur cadette, Jeff, son très proche cousin, Catherine, la maman de ce dernier, sa meilleure amie Sophie, mais aussi son ami et collègue Rudy, sa belle-mère Estelle… tout ce petit monde gravite autour d'Eva, pour le plus grand bonheur de cette dernière. Seule ombre au tableau : son père, le célèbre restaurateur Jacques Kahn, chef multi-étoilé, au talent reconnu dans la France entière. Une aigreur secrète transpire entre Eva et son père, sans jamais que l'abcès soit crevé. Jusqu'au jour où Jacques est arrêté par la police pour cause de blanchiment d'argent. L'ensemble de la famille est chamboulée : c'est leur quotidien a tous qui est renversé, leurs réputations, leurs entreprises qui sont en péril… mais pis encore, c'est leur confiance en Jacques qui s'effrite. L'avocat Jeff tente désespérément de prendre la défense de Jacques ; mais entre secrets et faux-semblants, la famille Kahn est loin d'être simple à gérer !

Nous sommes projetés au coeur des tourments subis par cette famille nombreuse : relations parents-enfants complexes, histoires d'amour passionnées, auto-suffisance, mensonges et trahisons, déceptions et déconvenues… autant de thématiques fortes qui jalonnent l'ensemble du récit. Justement, ces thématiques, sans doute trop nombreuses, alourdissent le récit, empêchent l'ancrage, l'adhérence, l'engouement particulier pour un sujet.

Malgré tout l'entrain que j'ai eu à découvrir cette histoire, il m'a manqué un je-ne-sais-quoi qui aurait pu rendre cette lecture encore meilleure. Je n'ai malheureusement pas été touchée comme j'aurais aimé l'être, je n'ai pas compati au sort des personnages, à leurs nombreux malheurs, je n'ai pas ressenti d'attachement particulier pour l'un ou l'autre, bien au contraire, j'ai ressenti de l'aversion pour Eva, Jeff et Jacques en particulier, que j'ai trouvé trop auto-centrés, égoïstes, archétypes parfaits des personnages imbus d'eux-mêmes que j'exècre. Ajoutez à cela des longueurs quelque peu futiles, où l'on ressent clairement que l'auteure tente de combler les pages en descriptions creuses. Finalement, je reproche à La saveur de nos vies la même chose qu'à Preuve d'amitié, de la même collection : une écriture trop incisive et brutale qui ne laisse pas la place à l'émotion. Comme le dit l'adage, « jamais deux sans trois » : je laisserais sa chance à un troisième ouvrage de la collection Écriture édité par L'Archipel, avant de me décider à poursuivre ou non ma découverte de cette famille littéraire.

Une lecture laborieuse, qui manque de profondeur et d'émotions véritables. le fond de l'histoire est bon, mais l'ensemble du récit, personnages y compris, mériteraient d'être plus travaillés et affinés.
Lien : https://analire.wordpress.co..
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J'admets être assez exigeante dans mes attentes au niveau écriture, que je ne suis pas fan des phrases courtes, (à la mode, semble-t-il), ni des styles scolaires, ni de l'emploi excessif du verbe être et avoir. Eh bien, ici, j'étais servie. Cela commençait plutôt mal. Et quand le "petit boulet" en la matière, que je suis ( j'accepte ce petit nom gentillet de ma pote) est à même de voir que la ponctuation fait défaut à l'auteure, franchement , c'est le pompon.
Rédhibitoire, direz-vous ?
Non, comme je le dis toujours, je parviens à occulter le style dans les histoires prenantes. Malheureusement, j'ai beugué dans le premier tiers. J'ai peiné à entrer dans l'histoire, à m'attacher aux personnages. Cahin caha, j'ai péniblement avancé jusqu'à ce que le récit devienne intéressant et m'intrigue. Intrigue et secrets de famille qui ne m'ont pas plus touchée que çà, et une fois dévoilés, l'histoire redevient monocorde. La petite romance en parallèle ne m'a guère passionnée non plus. Ce roman aborde tout et rien.
Roman qui, à mon goût, manque de peps. le résumé était tentant et prometteur, cependant je n'ai pas trouvé dans les descriptif des personnages ce qui était annoncé. le déséquilibre entre dialogues et récit ne permet pas de prendre la mesure de la psychologie des protagonistes, bien trop centrés sur échanges factuels et les héros bien peu brossés. Quant à l'intrigue, l'on s'attend à des révélations bouleversantes et pour terminer l'on se retrouve avec un pétard mouillé. En bout de course on ne connaitra pas vraiment les motivations de Myriam.
À mon sens l'auteure ne s'est pas assez détachée de l'histoire vraie de départ pour la rendre passionnante en jouant davantage sur le coté fiction. Au final l'on se retrouve avec une aventure tristement banale qui suscite bien peu d'émotion et d'intérêt. Bien évidement ceci n'est que mon ressenti et n'engage que moi.
Je remercie les Editions l'Archipel et Masse Critique Babelio, et regrette de ne pouvoir donner un avis positif pour ce premier roman de Elmalek Deborah.
De ce fait, je devrais, peut-être, me montrer plus indulgente, mais cela ne serait pas très équitable, ni honnête de ma part.
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Jacques KAHN, chef multi étoilé, fait l'admiration de sa famille, ses filles et ses petits-enfants. Mais il rêve d'un hôtel au bord de la mer à Marseille, il est prêt a conclure cette affaire qui lui tant envie, mais tout va tourner au drame ? Va-t-il s'en sortir ? Sa famille va-t-elle exploser ?

Cela commence doucement, tant que l'autrice installe l'univers et ses personnages, donc Jacques KAYN et sa petite famille, ses deux filles : Eva et Vanessa et sa soeur, avocate qui gère le côté juridique de son groupe.

Et après un évènement tragique, le quotidien au sein de cette famille qui semble au premier regard assez banal va se transformer en calvaire.

Il faut sortir le patriarche de cette famille, de cette mauvaise passe, mais tout n'est pas aussi simple, le côté juridique est assez présent dans ce livre, et moi j'aime particulièrement ce thème, ou le milieu judiciaire est parfois assez complexe, et cela est très bien décrit, vraiment on se sent très vite imprégnée dans le contexte.

De plus, le côté secret familles et aussi bien exploiter et le mélange des deux, fait d'une lecture addictive, avec lequel j'ai passé un agréable moment.

L'écriture est incisive, j'ai vraiment apprécié le rythme, quand tout s'enchaine, j'ai trouvé cela percutant et intéressant.

J'ai beaucoup aimé le personnage d'Eva, qui se retrouve plonger dans cette histoire, pour laquelle elle n'a rien demander, c'est le moins qu'on puisse dire, on ne comprend pas tout de suite, la distance qu'elle prend avec son père, mais au fil des pages, on apprend le pourquoi de cette indifférence, et surtout cela va lui permettre de tout révéler, et de mettre les cartes sur table, et du coup, les rapports avec son père, vont être complétement chamboulée.

Il y a aussi un petit côté romance, dans le récit qui allège les tensions que subis les protagonistes, cela permet de voir les choses d'un autre angle, j'ai apprécié cela également.

Tout au long du récit, on rencontre des rebondissements, et à ce moment on se demande mais qui est vraiment cet homme ?

Pour conclure, j'ai aimé cette lecture, ou les histoires de familles se mélangent pour faire face à un problème assez grave.

Je remercie Babelio et les éditions l'Archipel de m'avoir permis de lire cette publication.

Lien : https://www.nathlivres.fr/l/..
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Bon, commençons par le commencement, je n'ai rien apprécié dans ce roman. Ni l'histoire, ni les personnages et encore moins l'écriture. Je vous explique tout ça de suite:

L'histoire: Jacques, le célèbre cuisinier autocentré est mis en prison pour une sombre histoire de financement occulte ce qui a un impact sur sa famille et sur les secrets qui la composent. En soi, ça pouvait être sympa surtout si les secrets avaient été grandiose et si Jacques avait subi, ce qui est bien loin finalement de ce que j'ai lu. Ce n'est ni intéressant, ni attractif et on ne ressent rien pour ce triste cuisinier déchu qui continu à être très imbu de lui même et imbuvable pour le lecteur. La romance, partie intégrante de notre roman est elle aussi assez fade et sans intérêt.

Les personnages: Aïe aïe aïe! Je ne les ai pas apprécié, ni les uns ni les autres. Entre enfants gâtées, précieuses, insipides fragiles et né avec une cuillère en argent dans la bouche et qui bien sûr réussissent tout et les avocats, nanti et célèbres, rien ne peut les rendre sympathiques. Vous me pensez jalouse de ces états de fait? Loin de là, je fais juste partie de ces lecteurs qui aiment les gens simples, les « vrais » personnes, je vais peut être froisser quelques susceptibilités mais le personnage fat à qui tout souri, (argent, réussite…) ne me fait pas rêver. Ici, je pense que c'est Eva, notre personnage principale qui me débecte le plus, hautaine, ridicule, autosatisfaite et autocentrée elle aussi, bref le genre de personne qui me révulse, aucune chance que j'éprouve quelque chose pour elle. Même les noms de famille des personnages ne m'ont pas plu, faut le faire quand même!! Je pense que c'est la première fois que ça m'arrive!! Khan pour symboliser le pouvoir mouais, bon pourquoi pas mais Courpied pour l'avocat?? et Soulemoidon pour la juge?? Soulé moi donc oui, comment ça se passe? Non, vraiment même là, je tique.

L'écriture: Vous avez combien de temps devant vous pour me lire? J'ai le temps de me lancer dans un argumentaire avec intro, thèse anti-thèse et conclusion ou pas? Parce que le thème que je vais aborder est « le présent de l'indicatif dans l'intégralité du roman. Bonne ou très très mauvaise idée. » Tout le roman, des dialogues aux paragraphes sont au présent de l'indicatif, et c'est d'un lourd!! Il faut arrêter de tout mettre au présent, NON, ça ne met pas en valeur votre texte, ça le dessert dans 95% des cas et ça m'énerve!!!! (voix de crécelle complètement hystérique). J'ai lu une rédaction d'un peu plus de 250 pages et c'était atroce!! aucune fluidité, c'est haché, c'est brouillon, ça épuise le lecteur!! En tout cas, moi, ça m'a épuisée!!

Je vais conclure comme ça parce que très franchement, il y aurait bien plus à dire, répétitions, longueurs (je vous laisse jeter un coup d'oeil à l'extrait noté plus haut)… Ce livre qui s'annonçait savoureux et est finalement, fait fade et sans saveur, ou c'est le roman ou j'ai la COVID, à vous de voir…
Lien : https://loeildesauron1900819..
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J'ai beaucoup aimé le style d'écriture de l'auteure qui a fait que j'avais envie de connaître la suite de l'histoire.
J'ai bien accroché à la première moitié du livre et à la découverte des personnages et un peu moins à la deuxième car j'ai trouvé que tout arrivait trop vite et que certains passages manquaient de réalisme.
J'aurais aimé que certains aspects de l'histoire soient plus développés !
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Sans intérêt pour moi...
Le seul point positif cest la plume fluide et agréable. le reste... les personnages sont tous plus antipathiques les uns que les autres. Eva est une peste, le père est une caricature... il n'y a absolument aucune profondeur, rien n'est développé, ni les sentiments ni les pensées, tout est survolé et nous laisse avec un goût de rien. Pour un livre qui s'appelle "les saveurs de nos vies" cest assez comique ! C'est clairement dommage. Ca pourrait faire un bon téléfilm de 14h sur tf1, mais cest trop insipide en roman... désolée !
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Je trouve toujours difficile de terminer un roman et d'en rédiger une chronique lorsque l'on a eu, en parallèle, la chance de découvrir l'auteure et d'avoir pu échanger quelques mots, certes virtuels, mais en direct tout de même avec elle, car on sait déjà que notre chronique va être lue avec attention et chaque mot écrit est, en tout cas pour moi, pesé plus précisément que lorsque je me sens plus détachée.
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Mais venons-en au fait : ce roman dépeint l'histoire d'une famille parisienne qui gravite autour d'un chef étoilé qui, soupçonné de blanchiment d'argent se retrouve en prison.
À partir de là, vont se nouer et se dénouer les intrigues familiales, les histoires d'amour, les secrets inavoués voire inavouables jusqu'à un happy end que l'on sentait venir.
Si j'ai beaucoup apprécié la première moitié du livre, la description des personnages, l'intrigue qui prend place à un rythme qui m'empêchait de lâcher le livre (d'ailleurs on est allées plus vite que prévu dans notre lecture commune !), j'ai été un tantinet déçue par la seconde moitié du livre. J'aurais aimé que certains passages aient plus de corps ou que cela se termine moins en happy ending pour tout le monde (mon côté noir certainement 😅).
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Mais quoiqu'il en soit, j'ai passé un très bon moment et j'ai beaucoup apprécié la plume de Déborah Elmalek qui se lançait là dans un premier roman, et j'ai toujours beaucoup d'admiration pour celles et ceux qui ont le courage de coucher sur le papier les mots qu'ils ont dans la tête.
Merci encore pour cette jolie découverte et je suis persuadée que ce roman sera suivi de (beaucoup ?) d'autres !
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La saveur de nos vies de Déborah Elmalek
Editions l'Archipel.

Je remercie Déborah Elmalek pour l'envoi de son roman

Premières phrases : » Maman, maman, regarde ! Tu crois qu'il a peur avant une émission ? Il est trop beau papi. !
Hannah est tellement fière de son grand-père ! Elle a les yeux rivés sur l'écran du salon. »

Eva n'est pas au bout de ses surprises, galeriste à Paris, réputée pour ses choix audacieux et pointue, elle n'a de cesse de se battre afin que sa vie ne se résume pas à être la fille de …
La fille de
Jacques Kahn, le célèbre chef étoilé, ce ténor des fourneaux a monté un véritable empire culinaire, deux restaurants, une école de cuisine et le voilà sur le point de finaliser son rêve en achetant un hôtel avec vue sur la mer.
Ce père, aujourd'hui plus businessman que cuisinier, est plus souvent sur les plateaux télé que dans sa cuisine. Et loin des strass et des casseroles, c'est finalement la justice qui va le rattraper et lui demander des comptes quant au montage financier lui permettant l'achat de cet hôtel à Marseille.
Commence alors pour Eva et les siens, un long parcours pour aider Jacques et apprendre petit à petit, l'histoire en entier.

Hé bien, voilà un livre où l'on ne s'ennuie pas….
L'écriture agréable et claire, les personnages attachants et entiers, le fil conducteur savamment délié au fil des pages offrent une lecture des plus agréables.
Un livre et un auteur à découvrir… à offrir sans hésiter !!!

Emma aime :
-les histoires de famille
-Les relations père/fille
-Les lectures-plaisirs

Lien : https://www.instagram.com/le..
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La saveur de nos vies, @deborah_sportes_elmalek @editions_archipel ❄
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Une belle saga familiale qui met à l'honneur l'amour père fille.
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Eva, galeriste à Paris, entretient une relation particulière avec son père Jacques Kahn, chef étoilé et considéré comme une star de la cuisine.
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Malgré l'amour qu'elle voue à son père, Eva reste distante et l'on sent chez elle une certaine rancoeur. le lecteur sent qu'un événement important doit en être la cause; et effectivement cette jeune femme porte un lourd secret...
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Tout s'enchaîne lorsque Jacques est accusé de blanchiment et conduit tout droit en prison.
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Eva va alors laisser ses ressentis de côté et tout mettre en oeuvre pour innocenter son père. Pour cela, elle sera aidé entre autres d'un charmant avocat, de sa jeune soeur et de quelques autres membres de sa famille.
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J'ai aimé suivre ces personnages dont les actes en disent long : les liens entre les deux soeurs sont très touchants et il est très intéressant de voir évoluer la relation entre le père et la fille.
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Vous l'aurez compris tous les ingrédients que j'aime sont ici réunis : secrets familiaux, intrigue et amour!
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Alors tentés ? N'hésitez pas à découvrir un autre avis sur le compte de @escapadesavecenora avec qui j'ai eu le plaisir de lire ce roman en lecture commune.
Lien : https://www.instagram.com/le..
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