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4,23

sur 2705 notes

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
Je suis très déçue de cette lecture, surtout après tous les avis élogieux qui fleurissent sur celui-ci. Je l'ai trouvé fade, plat. Je ne suis pas une adepte de la littérature jeunesse mais je m'y met petit à petit et quand je constate souvent que les premiers tomes sont les meilleurs j'ai très peur pour la suite de celui-ci.

On trouve ici Ivy jeune fille de 16 ans qui se mari (contrainte) à Bishop (leurs deux familles se disputaient auparavant le pouvoir pour régner, une sorte de Roméo et Juliette moderne).

La mission d'Ivy est simple tuer Bishop afin de venger la mort de sa mère et que sa famille reprenne le pouvoir, quoi dire d'autre qu'Ivy a de la chance car Bishop l'a traite bien et que sa mission va être plus compliqué que prévu lorsque les sentiments s'ne mêlent.

La partie la plus 'palpitante' de ce récit et surement le jeu d'action et vérité entre Ivy et Bishop c'est dire le niveau du récit, seule la fin laisse présagé quelque chose d'un peu mouvementé. Des personnages pas assez fouillés psychologiquement ce qu'il fait que j'ai été totalement indifférente à ce qu'il s'est passé durant ma lecture.

En comparaison à U4 Stéphane que j'ai lu il y a quelques jours, cette dystopie m'a paru insipide.
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Je crois que The Book of Ivy va entrer dans ma catégorie des plaisirs coupables... Vous sentez que quand une chronique commence de cette manière, ce n'est pas bon. Et vous avez probablement raison.

Tout commence bien par une belle introduction : le monde que nous connaissons a été détruit (joyeuse intro). Bienvenue dans un monde post-apocalyptique, où les mariages entre adolescents sont forcés. Nous allons donc nous focaliser sur la vie d'une jeune fille, Ivy Westfall, dans une petite communauté vivant en Amérique (parce que l'auteure est Américaine). Et comme d'habitude dans les dystopies d'auteurs/auteures/autrices Américain(e)s, on se contrefout du passé et de l'avenir du reste du monde (dont les Européens : Coucou!). C'était pour la parenthèse...
Comme rien n'est parfait dans ce monde post-apocalyptique (évidemment : nous ne sommes pas dans le monde de Oui-Oui), Ivy est la fille de l'ennemi de la famille de son futur mari, Bishop. Vous m'avez suivi? Son futur mari est le fils de l'homme contre qui sont père se bat depuis toujours pour obtenir... Pour obtenir quoi déjà ? Ah oui! le pouvoir du cette petite communauté. Donc Ivy va être chargée de tuer son futur mari pour que sa famille puisse obtenir le pouvoir.

Comme vous l'aurez compris, The Book of Ivy est un mélange de dystopie (mal développée) et de romance à la "Roméo et Juliette" (franchement clichée). Mais malgré tous ses défauts (et parce que je suis un peu masochiste), j'ai bien aimé ce premier tome. Probablement en premier lieu pour son intrigue : Ivy tuera ou ne tuera pas Bishop ?
La réponse est assez évidente car le roman est plus digne d'un mélo adolescent, qu'un véritable dystopie. On est plus dans un contexte Bisounours, parce qu'Ivy est un peu sote, qu'elle ne réfléchit pas sur le monde qui l'entoure et qu'elle est un peu nombriliste. N'oublions pas qu'elle également des oeillères et que j'avais envie de lui dire : "Mais... Bon sang! OUVRE LES YEUX!". D'ailleurs, Ivy se rend compte elle-même qu'elle se fait manipuler, mais que ça lui fait ni chaud ni froid :

"Lorsqu'on est conscient d'être manipulé, mais que ça fonctionne, peut-on encore appeler ça de la manipulation ?"

Parce qu'Ivy croit dur comme fer à la sincérité de sa famille, même si elle a des doutes sur les capacités flippantes de sa soeur depuis le départ. A croire que notre héroïne a abandonné le concept d'instinct, ou qu'elle n'est pas adepte du fascinant exercice neuronal. Et pourtant Ivy réfléchit beaucoup dans ce roman, nous assommant de ses problèmes quotidiens, ses sentiments. Il faut dire qu'Amy Engel nous offre une belle narration à la première personne dans la tête d'une Ivy un peu fleur bleue et peu déterminée.

Alors pourquoi j'ai aimé? Sincèrement, je ne serais pourquoi, même si je dirais que j'ai l'espoir de voir Ivy changer au cours de cette duologie.
J'ai pas exemples apprécié le fait que la jeune femme aille à l'encontre de sa famille, qu'elle devienne courageuse et agisse pour son bien et celui de son mari. Qu'Ivy fasse ses propres choix, plutôt que de suivre la route toute tracée qu'on lui a inculquée. Notre héroïne devient peu à peu une rebelle. Mais pas au point de donner un coup de point sur la table.

Il faut dire qu'Ivy est un personnage un peu plat. Tout comme Bishop. Même si j'aime bien ce garçon : il est gentil, serviable, galant... parfait. Bishop est l'archétype du prince charmant, alors cela pose problème à Ivy car elle doit le tuer, même s'il est adorable avec elle. Pour moi, Bishop est trop parfait, il fait plus partie du domaine du fantasme que de la réalité. Aurait-il oublié qu'il était un adolescent? Qu'il avait des envies? Personnellement, j'aurais aimé qu'il prenne plus les devants dans leur relation.
D'accord, c'est un garçon très respectueux (enfin un gentil garçon parmi cet océan de Bad Boy) mais pas assez ferme dans ses intentions. Je dis que c'est un gentil garçon, mais à un moment donné Amy Engel fait comprendre au lecteur que Bishop peut cacher une face plus sombre, ce qui n'a pas du tout pris pour moi. Bishop n'est pas un personnage très réel... tout comme leur romance n'est pas des plus naturelle, on plonge dans le quotidien d'un couple plutôt ennuyeux, où tout le monde autour d'eux se forcent à être "naturels". Comme si tout allait bien.

Pourtant rien ne va. Ivy et Bishop se sont unis de manière totalement forcée et difficile de croire à une certaine romance entre ces deux êtres au départ. Ivy et Bishop sont comme beaucoup d'adolescents dans cet univers difficile et même si l'auteure nous montre les dérives de ces relations (la maltraitance envers les femmes dans un couple), l'ensemble n'est pas assez creusé. Beaucoup de questions restent en suspens.

Vais-je vous faire part de ma lecture du tome 02? Oui, au moment où je vous parle je suis en train de le lire. J'avoue que le final de ce premier tome a été plutôt surprenant... Dans le sens où Ivy va changer le cours des évènements, que l'action se met enfin en route et que j'ai pu enfin voir une partie d'Ivy plus libre de ses mouvements. La fin augure une suite différente et plus axée sur la dystopie que la romance. Est-ce le cas? Je vous donne rendez-vous pour l'avis du tome 02.

~∴~

Les points positifs :
- Une héroïne qui évolue
- L'intrigue

Les points négatifs :
-  Quelques longueurs
- Des personnages un peu plats
- Pas assez de spontanéité

Bilan : The Boof of Ivy n'est pas le roman que j'attendais. Il accumule pas mal de défauts. J'ai apprécié tout de même l'héroïne, son évolution au cours de l'histoire et l'intrigue. La romance en revanche ne remporte pas vraiment mes suffrages.
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Bon alors, que dire de ce roman?!

Tout d'abord, il ne me laissera pas un souvenir impérissable, loin de là!

Points positifs: L'écriture fluide de l'auteur, assez agréable. J'ai bien ri par moments (bon parfois, même souvent, de désespoir, il faut l'avouer!). Ce roman se lit très vite, donc on peut vite passer à une lecture plus intéressante. Il m'a permis de faire une pause entre deux tomes d'une saga assez conséquente.
De bonnes idées au départ, malheureusement mal ou insuffisamment exploitées.

Comme dit précédemment, le livre a de bonnes idées de départ, comme le monde post-apocalyptique, la politique mise en place par les dirigeants, la condition des femmes, la liberté de chacun, la justice... Tout ces sujets sont finalement relayés au second plan et ne servent que comme prétexte à l'histoire d'amour entre Ivy et Bishop, les "Roméo et Juliette" de l'histoire. C'est bien dommage!
C'est niais, cucul à souhait et même si je ne suis pas la cible (jeune adolescente), il y a des romans ados/young adult bien meilleurs et plus profonds a découvrir.

Je mets tout de même 2 étoiles, parce que je n'ai pas détesté, mais je n'ai pas aimé non plus et je peux comprendre que certaines personnes ait apprécié cette lecture. C'est une lecture sans prise se tête (bien que l'héroïne nous donne envie de la secouer à plusieurs reprises! ).
De plus, la fin m'a laissée sur ma faim (Ah ah! Il va être l'heure de manger, il faut me pardonner, c'est mon ventre qui parle!), je vais donc récidiver avec le deuxième et dernier tome, histoire de voir si ça s'améliore (ou pas) et conclure la saga.
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J'avais les deux tomes de cette duologie dans ma PAL depuis pas mal de temps, j'en avais entendu de plutôt bons avis, alors je me suis lancé. 

Alors... je ne sais pas vraiment quoi dire. Avec le petit nombre de pages et le sujet abordé (une romance dystopique), je ne m'attendais à pas grand-chose... et je suis quand même déçue.

Oui, c'est un peu dur dit comme ça, et je ne veux vraiment pas dire que ce tome 1 est mauvais. Il est simplement destiné à un autre public, peut-être qui n'a pas beaucoup d'expérience dans ce genre de lecture, un publique qui s'initie à la dystopie.

Parce que franchement, dès le début de ma lecture j'ai su exactement tout ce qui allait se passer (à part peut-être, la toute fin). Et même si j'ai bien aimé les personnages (qui sont attachants), l'univers est très flou, trop cliché, l'intrigue est assez simple et il ne se passe pas grand-chose. L'évolution psychologique d'Ivy était assez intéressante à suivre, et sa relation avec Bishop (ce prénom me fait toujours autant rire) n'est pas désagréable.

Mais bon, même en ayant laissé de côté mon cerveau pour arrêter de réfléchir à la (non)-crédibilité de l'univers, j'ai quand même levé les yeux aux ciel durant certains passages. (J'ai toujours pas compris comment ils trimballaient des blocs de glace sur plusieurs centaines de kilomètres alors qu'ils ont à peine de quoi alimenter un frigo mais c'est rien c'est les facilités scénaristiques 😭).

En fait, ce livre regroupe tout ce qui existe déjà en romance dystopique, mais en moins bien.

La fin quant à elle, est assez spéciale, et avec le recul de ma lecture du tome 2, j'ai un peu l'impression que les deux romans pourraient être 1 seul tome.


Ça m'embête de cracher autant sur ce roman, mais je le répète : c'est surtout mon point de vue de lectrice très très habituée à la dystopie. Mais par contre, pour des lecteurs et lectrices qui veulent s'initier au genre ou qui veulent juste profiter d'une petite romance par mal n'hésitez pas du tout !

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Guerres et catastrophes naturelles ont décimé le monde. Latimer a pris les reine du nouveau monde et a décidé d'organiser des mariages arrangés avec les jeunes de son rival et ennemi Westfal. Ivy, la fille de Westfall doit épouser Bishop, le fils de Lattimer. Tout ne va pas se passer comme prévu...
Un tome 1 peu rythmé avec une intrigue qui m'a paru intéressante au départ mais qui ne décolle pas vraiment. Les actions manquent. On s'attend à un affrontement avec des ennemis, à des personnages avec un peu plus de relief. C'est parfois même un peu mièvre. le monde dans lequel se déroule l'histoire n'est pas vraiment décrit. Cependant, l'écriture est fluide et happante.
A lire pour les amateurs de "enemies to lovers" !
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une duologie sympathique mais qui manque de développement et qui se termine malheureusement trop rapidement.
Lien : https://topobiblioteca.wordp..
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Ça faisait très longtemps que ce livre m'attendait ! J'ai entendu tellement d'éloge sur ce livre que je pensais que c'était LA lecture de l'année ! Mais finalement je suis un peu déçue de sa simplicité, je pensais qu'il serait un peu plus young adult et moins jeunesse.

Bon, cela n'empêche que j'ai quand même passé un bon moment aux côtés de Ivy et Bishop. C'est un futur alternatif qui fait froid dans le dos, surtout quand on voit notre monde actuel.
J'ai beaucoup aimé le rapprochement entre les deux personnages. Ensemble ils arrivent à rirent et à oublier la dangerosité de leur monde.
Mais ensuite, c'est vraiment cette fin qui m'a convaincu ! Je n'ai pu m'arracher du livre avant la dernière page. Ivy est prête à tout pour sauver ceux qu'elle aime. On la découvre enfin forte et déterminée.

C'est donc un livre que je recommande, mais il ne faut pas s'attendre à un énorme livre. Il se lit très facilement et rapidement. C'est divertissant !
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L'intégralité du livre est très bien écrite, même si on passe beaucoup de temps à décrire les sentiments d'Ivy. C'est assez rapide et le déroulement est agréable sauf... la fin qui n'a aucun sens. Clairement, ça ne donne pas envie d'acheter le tome 2 tellement c'est hautement improbable.
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Une histoire d'amour à la Roméo et Juliette, un univers dystopique à la Barjavel, une intrigue digne des tragédies antiques… The book of Ivy nous fait de bien alléchantes promesses…

L'histoire se déroule aux États-Unis, dans un futur relativement proche, mais après qu'une guerre nucléaire a décimé une majeure partie de la population mondiale. Les survivants, divisés en deux camps rivaux, vivent désormais sous un régime quelque peu autoritaire (qui choisit pour vous avec qui vous allez vous marier, notamment), ce qui ne semble pourtant déranger personne. Évidemment il y a bien quelqu'un qui remet en cause le système, et je vous je le donne en mille : c'est Ivy, notre héroïne. Fille du leader vaincu des années auparavant, elle doit à présent épouser le fils du Président, histoire de sceller « l'unité du peuple ». Afin de ne surtout laisser aucun suspense, la couverture nous révèle déjà que le dessein de la jeune fille est d'assassiner celui à qui elle est promise. Avant d'entamer ma lecture, j'imaginai déjà une sorte de réécriture du mythe des Danaïdes, mais autant vous dire que j'avais vu bien trop grand !

L'intrigue est sans surprise. A part un ultime rebondissement à la toute fin du roman, qui sert essentiellement à annoncer un deuxième tome, tout se déroule exactement comme les premières pages le laissent supposer.

Le roman nous est vendu comme « une histoire d'amour torturée », « un thriller psychologique » et « une dystopie cruelle », mais vous pouvez éliminer les deux derniers. Thriller psychologique ? pas vu. Dystopie cruelle ? cela aurait pu fonctionner, mais les thèmes intéressants ne sont traités que de façon très superficielle (en vrac : la remise en cause des libertés individuelles pour l'intérêt général, la question de la peine de mort, l'écologie, les droits des femmes…). de ce point de vue-là, mieux vaut lire le Passeur de Lois Lowry. En fait, le monde post-apocalyptique si prometteur se révèle n'être qu'un vague prétexte pour nous faire admettre cette histoire de mariage arrangé, l'intrigue étant principalement centrée sur les émois amoureux de l'héroïne.

De fait, au bout de quelques chapitres, j'ai eu l'impression de lire une sorte de 50 nuances de Grey pour adolescents (et n'étant plus adolescente depuis un certain temps, cela m'a plus fait rire qu'autre chose, ce qui est déjà pas mal, me direz-vous)...
La suite à lire sur FORTY-FIVE WEEKS ;-)
Lien : https://fortyfiveweeks.wordp..
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L'intérêt de mettre un titre en anglais ? Surtout que tous les mots existent en français, qu'il n'y a pas de subtilité de sens ? Bref je m'égare...
Plus ou moins obligée de lire ce livre pour le travail, je ne ressors pas forcément enchantée de cette lecture. Encore une dystopie maladroite (coucou La Sélection), qui expédie vite son contexte pour se concentrer sur une histoire d'amour entre des personnages relativement creux. On suit donc l'histoire d'Ivy, petite-fille du fondateur de la ville de Westfall où vivent les survivants d'une catastrophe, qui doit épouser Bishop ; lui-même fils du président Lattimer, dont la lignée à spolié le pouvoir aux fondateurs. Mais grâce à ce mariage forcé, c'est l'occasion pour la famille d'Ivy de se venger en la poussant à assassiner Bishop… Cependant, résistera-t-elle à son corps parfait, son caractère angélique, et sa morale exemplaire ? (indice : non) le premier point qui m'a fortement contrarié c'est l'absence totale de contexte dystopique et de crédibilité. Ce monde est sensé avoir connu une catastrophe nucléaire, la reconstruction ne date que d'une génération, l'électricité est rationnée… et pourtant ils utilisent des matériaux et des objets impossibles à produire sans usine ou manufacture (rubans pour les pots de confiture, jeans, fauteuils, poupée…), et jamais l'origine de ces objets n'est mentionnée. Tout a l'air propret alors que tout devrait être crasseux, bancal… Ensuite les personnages sont vraiment très peu développés : Ivy est une jeune fille lambda, discrète mais forte de caractère, belle mais inconsciente de l'être, bref, ce personnage interchangeable dans toutes les dystopies. Sa soeur est une vipère, son père manipulateur, sa belle-mère une horrible belle-mère, rien de nouveau sous le soleil de ce côté. Mais la palme revient à Bishop, d'une fadeur extrême tant l'auteure s'est acharnée à le décrire comme un être parfait : moralement et physiquement irréprochable. L'histoire avance très lentement, il ne se passe presque rien, sauf la relation de couple entre Ivy et Bishop qui évolue au rythme des rencontres et de petits évènements. Parfois je me demande si les auteurs comprennent que l'intérêt d'une dystopie est d'aborder un futur miroir du nôtre et pas développer une sempiternelle histoire d'amour. Néanmoins je reconnais que le fond du livre a un intérêt : aborder les mariages forcés. Certes, c'est développé d'une manière extrêmement maladroite (banalisation du viol comme étape un peu forcée, peu de réflexion sur les femmes battues) et peu approfondie, mais c'est un thème « original ». Et comme toujours dans ce genre de livres à la mécanique bien huilée je demande : mais où sont les personnes homosexuelles ? Sur 10000 habitants c'est impossible qu'il n'y en ait pas, personne ne semble songer à la cruauté du système à former obligatoirement des couples hétérosexuels… Bref, c'est un livre assez consensuel au style très simple, mais qui devrait plaire aux aficionados des histoires d'amour interdites entre deux clans « ennemis », l'avantage étant qu'il se lit assez vite.

(mais j'ai du mal à comprendre ce qu'il fait dans la sélection du Défi Babelio 2016-2017, les autres romans sont de bien meilleure qualité !)
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