Carol Ericson/5
2 notes
Résumé :
Mariée par convenance
Mariée à un inconnu... Callie n'a pas eu le choix : sauf à faire une croix sur l'héritage de son grand-père, et à laisser ainsi son père se débrouiller seul avec ses dettes face aux dangereux criminels qui le menacent, il fallait qu'elle soit mariée au plus vite. Et puisque Rod McClintock, rencontré par hasard, acceptait de devenir son époux... Mais, à présent, elle se sent à la fois coupable et impuissante : car non seulement elle se re... >Voir plus
Mariée à un inconnu... Callie n'a pas eu le choix : sauf à faire une croix sur l'héritage de son grand-père, et à laisser ainsi son père se débrouiller seul avec ses dettes face aux dangereux criminels qui le menacent, il fallait qu'elle soit mariée au plus vite. Et puisque Rod McClintock, rencontré par hasard, acceptait de devenir son époux... Mais, à présent, elle se sent à la fois coupable et impuissante : car non seulement elle se re... >Voir plus
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Citations et extraits (2)
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Mariée par convenance :
— Tu vois les branches plus petites sur la droite ? Elles ont été cassées il n’y a pas longtemps.
Callie plissa les yeux pour observer l’arbre, qui ne s’était pas encore décidé à prendre ses couleurs d’automne.
— C’est peut-être un oiseau, avança-t-elle.
— Ah oui, un ptérodactyle ?
— Tu vois les branches plus petites sur la droite ? Elles ont été cassées il n’y a pas longtemps.
Callie plissa les yeux pour observer l’arbre, qui ne s’était pas encore décidé à prendre ses couleurs d’automne.
— C’est peut-être un oiseau, avança-t-elle.
— Ah oui, un ptérodactyle ?
Mariée par convenance :
— J’ai peur de croire aux contes de fées, répondit-elle. J’ai peur que si je m’abandonne à toi tu ne m’avales tout entière avant de me recracher.
Il captura ses lèvres, qui avaient un goût de chocolat.
— Il se peut que je t’avale tout entière, Callie McClintock, murmura-t-il. Mais je ne te recracherai jamais. Tu es bien trop sucrée pour ça.
— J’ai peur de croire aux contes de fées, répondit-elle. J’ai peur que si je m’abandonne à toi tu ne m’avales tout entière avant de me recracher.
Il captura ses lèvres, qui avaient un goût de chocolat.
— Il se peut que je t’avale tout entière, Callie McClintock, murmura-t-il. Mais je ne te recracherai jamais. Tu es bien trop sucrée pour ça.
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