Et si l'amour c'était aimer ?

Fabcaro m'a beaucoup beaucoup fait rire.
J'ai ri aux éclats devant Zaï Zaï Zaï la BD
J'ai pleuré de rire en allant voir la pièce du Collectif mensuel tirée de cette BD que je recommande si cette troupe passe dans votre coin (je suis même sur un des clichés diffusé dans le spectacle, en train de matraquer un de mes amis avec un poireau, mais c'est une autre histoire).
Mais voilà, je pense que, à force, le nonsense de Fabcaro me lasse un peu.
C'est drôle, oui, mais c'est moins drôle que quand on découvre l'univers de cet auteur.
Les vannes sont du déjà vu et il n'y a plus de réelle surprise.
Quelques (très) bons mots, quelques situations cocasses sont tout de même sorties du lot mais c'est tout pour moi.

Une délicieuse et drôle histoire absurde, illustrée à la manière des romans photo. Les planches respirent une belle désuétude, les phrases nous emportent vers des horizons inattendus, le décalage entre les illustrations et les dialogues est savoureux.

J'ai rigolé à chaque page !
Après une lecture de Fabcaro que j'avais moyennement appréciée, on m'a suggéré plusieurs fois de retenter ma chance avec cette BD et je suis super contente de m'être laissée convaincre ! C'est absurde comme il faut, on passe vraiment un bon moment.

Un trait de dessin à la largo winch, une histoire pas franchement rigolote dans le fond, mais tourné au cocasse et à la légèreté.

Quelques touches de non sens, de sarcasme piquant et d'humour noir, la recette préférée de fabcaro fait ici son petit effet. J'ai bien apprécié cette lecture qui m'a beaucoup fait rire.

Mon Dieu que c'est con ! Et drôle, évidemment. Formidablement drôle.

Deuxième BD de Fabcaro que je lis, mais elle m'incite fortement à continuer la bibliographie de cet auteur. Il semble avoir une verve humoristique qui n'est pas en reste, et un talent certain pour le pastiche de ces séries sirupeuses sur un amour adultère. On ressent toutes les inspirations, mais même ceux qui n'ont pas les références seront hilares devant cette BD.

Fabcaro arrive à provoquer le rire à la fois par le burlesque mais également par le décalage constant entre le texte et les images, ou simplement dans les idées proposées. C'est formidablement incongrue, au point qu'on en rigole presque à chaque case dans certaines planches. le dessin n'est pas en reste, avec ce mélange de photo-réalisme et de dessins des spectateurs commentant l'histoire à chaque instant. On a droit à de beaux moments de stupidité humaine, qui font du bien.

Une BD qui est à la fois drôle et prenante, qu'on relit avec plaisir, c'est tout ce qu'il faut pour bien commencer une journée (ou pour la finir). Et qui plus est, le prix est pour une fois assez modique dans un tel cas. Lecture chaudement recommandée !

Mort de rire ! Conseillé par un ex qui trouvait que certaines de mes expressions favorites ressemblaient à du sous-Fabcaro, j'en ai lu quelques planches en ligne, puis acheté, dévoré, offert à une lectrice compulsive de romans Harlequin. La personne à qui je l'ai offert se l'est fait piquer par sa fille. Il faut croire que cet album BD parodique de romances fonctionne pour tous les genres et générations : l'album séduit et tourne dans l'entourage comme un rhume !

Encore une lecture drôlissime de Fabcaro.
J'ai retrouvé le style "absurde" de l'auteur avec délectation.
Une fois de plus, son coup de crayon illustre parfaitement son histoire.
Cette fois-ci, il est question d'un couple marié. L'épouse tombe sous le charme du livreur de macédoine et vit avec lui une histoire d'amour des plus intenses, et pour pouvoir le voir en tout impunité, elle commande tous les soirs de la macédoine à emporter : bien évidemment !
Un régal !

Mais qu'est-ce-qu'il nous a encore inventé ?!

Déjà, en regardant la couverture, on se demande si c'est du lard ou du cochon… A première vue, ça a l'air bien mièvre, et bien dégoulinant… Mais en même temps, c'est Fabcaro, alors ça intrigue…

Et effectivement, on se retrouve plongé dans une parodie de roman photo, et quand je dis parodie, c'est un bel euphémisme ! En fait c'est carrément une caricature du genre, et c'est d'un drôle ! Loufoques, parfois inattendus, parfois gros comme des maisons, des fois débiles aussi (la tache de naissance !!!) les gags s'enchaînent et j'ai ri quasiment à toutes les pages ! Et puis j'ai bien aimé la fin aussi, cet effet « serpent qui se mord la queue », même si on s'y attend un peu…

Bref, vive la macédoine, vive les betteraves, vive le zoo, et vive Fabcaro ;-)

Sandrine et Henri forment un couple épanoui coulant des jours heureux dans sa luxueuse villa, monsieur est directeur d'une start-up prospère, madame, femme au foyer, ne vit que pour lui. L'arrivée de Michel, jeune et beau livreur de macédoine, rockeur contestataire par intermittence, vient chambouler cette harmonie. Sandrine tombe follement amoureuse du brun ténébreux qui ne tarde pas à partager sa passion. Les deux amants vont devoir inventer toutes les ruses pour protéger leur liaison adultère. le mari trompé finira-t-il par éventer la trahison et leur amour impossible sortira-t-il vainqueur de cette épreuve ? La grande force comique de cet ouvrage est sa fidélité au matériel de base parodié, alliée à un sens du décalage décapant tant dans la narration que les dialogues. le récit accumule tous les poncifs dramatiques du triangle amoureux servis par un dessin très réaliste aux décors soignés et personnages statiques qui racontent absolument n'importe quoi avec un sérieux tragique. L'intrigue est en outre régulièrement coupée par les interventions de différents groupes de lecteurs qui commentent sans aménité les atermoiements des personnages. Je conseille cet excellent album à tous les publics amateurs d'humour absurde et de second degré.
Lien : https://leventdanslessteppes..

Fabcaro apporte une nouvelle dimension graphique à son oeuvre et opte volontairement pour une histoire absurde mais qui nous tient tout de même en haleine. Les dialogues sont savoureux et déclenchent des rires francs.l' intérêt de cette histoire réside dans la capacité de l' auteur à nous tenir en haleine malgré des situations improbables. On retrouve ici un style initié dans zaï zaï zaI et qui est devenu une marque de fabrique.