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Astérix tome 40 sur 40
EAN : 9782014001334
48 pages
Hachette (26/10/2023)
3.81/5   1602 notes
Résumé :
L’Iris Blanc est le nom d’une nouvelle école de pensée positive, venue de Rome qui commence à se propager dans les grandes villes, de Rome à Lutèce. César décide que cette méthode peut avoir un effet bénéfique sur les camps qui se trouvent autour du célèbre village gaulois. Mais les préceptes de cette école exercent aussi une influence sur les villageois qui croisent son chemin…

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Critiques, Analyses et Avis (264) Voir plus Ajouter une critique
3,81

sur 1602 notes
Quand un auteur au talent comique fort comme Fabcaro accepte le défi de scénariser une icône de la culture populaire française, a quoi peut-on s'attendre ?
En premier lieu, il semble évident que le cahier des charges doit peser une tonne et que quelque soit l'auteur, il doit accepter de s'y adapter. Ensuite, l'auteur a réussi à distiller son humour en se mettant dans les pas de Goscinny et même si c'est évidemment perfectible, pour un premier essai, c'est quand même pas mal.
Enfin, pour avoir lu certaines critiques de presse, je reste toujours sidéré du sérieux avec lequel certains journaux ou stations de radio parlent d'Astérix avec les mêmes arguments que pour décortiquer le prix Goncourt. Ceux-là mêmes qui accusaient Goscinny et Uderzo de poujadisme, de sexisme, de nationalisme, de chauvinisme, de racisme, etc. et j'en passe, sont maintenant prêt à les porter aux nues tout en continuant à déverser sur les nouveaux albums le même torrent de critique en « isme ».
Ce n'est que de la BD, c'est de la caricature et le but est de nous faire passer un agréable moment de lecture, de nous faire rire, de nous moquer (très) gentiment des travers de notre société actuelle.
De ce point de vue, est-ce réussi ?
Sans trop déflorer l'histoire, un vent de démission et de démobilisation secoue l'armée romaine et inquiète César. Comme d'habitude, un de ses conseillers a une idée, Vicévertus est un adepte de la pensée positive et peut prouver au dictateur le bien-fondé de ce courant de pensée inspiré du philosophe grec Granbienvoufas. César le met au défi de réussir avec les légionnaires du camp de Babaorum en lui permettant de s'emparer du village gaulois.
Vicévertus est un adepte de la formulation positive. le village des fous doit être renommé « le village des gens différents de toi et moi par leur comportement imprévisible ». A l'image de Détritus de l'album la zizanie mais avec une stratégie diamétralement opposée, il va devenir l'élément perturbateur du village. Par ses aphorismes, ses proverbes, ses exemples, ses actions mêmes, il change la mentalité des gaulois, des romains et même des sangliers. le ramollissement général atteint son apogée lors d'un concert dantesque d'Assurancetourix qui vaut vraiment le coup d'oeil.
La deuxième partie de l'histoire se concentre alors sur le couple Bonnemine – Abraracourcix. La femme du chef décidant de suivre son nouveau mentor à Lutèce.
Cet album se lit avec beaucoup de plaisir. On comprend dès les premières planches que c'est le grand retour des jeux de mots. Certains sont subtils, d'autres très voyants (comme chez Goscinny) mais moi, ils m'ont souvent fait rire.
On a toujours notre Astérix, intelligent qui ne se laisse pas avoir par les discours de l'intrus et qui sait utiliser les armes de l'ennemi à ses dépens. Et puis Obélix, délicieux de naïveté et de pragmatisme qui s'effraie que ni les sangliers ni les romains n'aient plus peur de lui. Cela permet des dialogues et des situations très drôles (pages 16 et 17).
La deuxième partie de l'album est, à mon avis, encore plus réussie. le voyage à Lutèce avec son lot de surprise (le CGV, Char à grande vitesse de la Société Nouvelle des Chars et du Foin), mais aussi les bobos et les hipsters de la capitale, l'art moderne du musée de Kebranlix, la cuisine moderne de Macrobiotix, l'ancêtre de la trottinette... Peut-être que, inconsciemment, ceux-là même qui se sont senti un peu visé sont aussi les plus durs avec l'album !
Le scénario de Fabcaro est donc plutôt une réussite. le dessin de Conrad est, quant à lui, toujours aussi bon. Il fait du Uderzo aussi bien que le maître. On l'avait déjà remarqué dans les albums précédents mais là, il commence en plus à se démarquer un petit peu. Son César, par exemple diffère de celui d'avant.
Et les défauts ? En dehors de ceux qui sont liés à la série et aux personnages, mais dans ce cas là, autant ne pas lire cet album (et les autres) il y a surtout quelques regrets. le rôle insignifiant d'Idéfix (pas très grave!) et le manque de gags visuels. Conrad vient de la BD un peu plus sérieuse et Fabcaro, s'il dessine aussi est plutôt un littéraire (ce n'est évidemment pas un défaut). Il y a donc très peu de ces gags justes visuels que l'on remarquait souvent à la deuxième ou troisième lecture quand on connaissait l'histoire par coeur et que certains dessins nous faisaient encore rire.
Au final, un bon album, le meilleur depuis des lustres. Alors pourquoi bouder notre plaisir !
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Astérix est devenu une véritable institution dont chaque album est scrupuleusement minuté en vue d'une sortie à plusieurs millions d'exemplaires. Pourtant, cela fait pas mal d'année que ce héros gaulois est mort avec Gosciny.

Cependant, on exploite toujours le filon tant qu'il rapporte. Il sera traduit directement en 20 langues différentes, c'est dire ! Et puis le parc Astérix est arrivé à faire 2,8 millions d'entrées en 2022. On trouvera d'ailleurs en page de garde une invitation à y aller afin de retrouver Astérix et ses amis. Autant faire de la pub.

Evidemment, j'ai commencé la BD dès mon plus jeune âge avec Astérix qui est devenu une véritable institution. Il est vrai que ce support a été longtemps associé au gaulois moustachu en ne regardant pas la richesse des autres créations pourtant tout aussi méritantes sinon plus.

C'est l'un de mes auteurs comiques préférés qui se collent au scénario à savoir Fabcaro, obscur inconnu qui a enfin décollé en 2015 avec l'album « Zaï Zaï Zaï Zaï » puis « Open Bar » dans la foulée. C'est un terrible poids qui repose sur les épaules du roi de l'absurde tant le sans faute est vivement recommandé à ce niveau d'édition.

A noter qu'il assure seulement l'intérim car Jean-Yves Ferry compte bien poursuivre l'aventure le temps d'une pause. C'est vraiment dommage car la Presse titre déjà que c'est le meilleur Astérix depuis René Goscinny. Il est vrai que les 12 tomes précédents n'ont guère convaincu les fans les plus exigeants. Mais bon, Ferry a assuré un minimum syndical qui a fait la joie des lecteurs de pouvoir continuer à suivre les aventures de ce personnage mythique.

On retrouve Didier Conrad qui a succédé au dessinateur Albert Uderzo en 2013 soit déjà une bonne décennie ce qui lui a permis d'être à l'aise dans ce rôle. Au niveau du dessin, je n'ai rien eu à redire car c'est dans le prolongement du style graphique avec une homogénéité presque parfaite.

Le thème de ce tome baptisé « L'iris blanc » est celui du développement d'une forme de pensée que Jules César juge bon d'étendre jusqu'à la Gaulle pour ses effets bénéfiques. C'est assez intéressant comme challenge sachant que l'iris symbolise la bienveillance et l'épanouissement dans le langage des fleurs.

Evidemment, cette méthode est employée de nos jours dans une espèce de positivisme de façade afin de masquer les vrais difficultés. Il suffit que de voir les bonnes choses. J'ai bien aimé la manière dont Fabcaro se sert de ces pensées influentes.

Pour ma part, je rejoins le concert de louange autour de cet album en toute objectivité. Les phrasés de Fabcaro m'ont beaucoup fait rire notamment le récital de chant du barde Assurancetourix. Oui, c'est bien le meilleur album depuis trop longtemps.
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Depuis la parution de l'exécrable tome 33, je m'étais juré de ne plus lire d'albums d'Astérix, mais le fait de voir Fabcaro (Lisez Zaï Zaï Zaï Zaï !) au scénario de ce quarantième volet m'a fait changer d'avis. Oui, je sais, je suis aussi faible qu'un Gaulois sans potion magique !

Force est de constater que la base du scénario demeure la même avec des Romains qui cherchent encore et toujours une solution pour se débarrasser du village d'irréductibles gaulois qui refusent de plier devant les forces de Jules César. Les légionnaires en ont d'ailleurs tellement ras-le-bol de se prendre des baffes que l'empereur doit dorénavant faire face à une vague de mutineries et de désertions parmi ses troupes. Jules César est tellement désemparé qu'il décide de faire confiance à Vicévertus, le médecin-chef de l'armée romaine qui a mis au point la méthode de l'Iris Blanc, une philosophie moderne, basée sur la pensée positive. Voilà qui devrait pouvoir enfin remonter le moral des troupes !

Le quatrième scénariste de la série, après René Goscinny, Albert Uderzo et Jean-Yves Ferri, insuffle un vent de fraîcheur (même le poisson vendu au village d'Astérix est frais, c'est tout dire !) et de modernité à cette saga, le tout saupoudré de cet humour décalé qu'il maîtrise si bien. Taclant à merveille et à foison ce courant à la mode basé sur la pensée positive et le développement personnel, l'auteur livre un récit particulièrement loufoque, où une alimentation saine et l'épanouissement individuel doivent redonner le sourire aux troupes romaines, le tout incarné par un expert en développement personnel coiffé à la Bernard-Henri Lévy que l'on découvre dès la couverture de l'album.

En deuxième partie d'album, Fabcaro (« Carnet du Pérou », « le discours ») choisit de quitter le célèbre village gaulois pour un voyage à Lutèce qui lui permet de plonger son histoire encore un peu plus dans l'air du temps. À la critique acerbe de cette pensée philosophique prônant la bienveillance et la méditation, s'ajoutent alors plusieurs clins d'oeil amusés aux déboires des grandes villes, allant des embouteillages aux retards accumulés des Chars à Grande Vitesse (le CGV), en passant par les bobos qui s'extasient devant les oeuvres d'un certain Banksix. le résultat est un album moderne, foncièrement drôle et truffé de références en tout genre.

Au niveau du graphisme, cela fait déjà dix années que Didier Conrad assure la continuité visuelle de cette saga, certes sans parvenir à faire oublier le trait d'Albert Uderzo, mais il ne faudrait trop en demander non plus.

Bref, je me dois donc de lancer quelques fleurs à cet « Iris blanc », qui tient finalement toutes ses promesses. Enfin un bon album d'Astérix par Toutatis, qui se lit avec beaucoup de plaisir et le sourire aux lèvres !
Lien : https://brusselsboy.wordpres..
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"On découvrira dans L'Iris blanc," que les plus fous, sont peut-être les Gaulois.
"Fous et épicuriens. C'est pour ces raisons qu'ils résistent aux Romains", souligne Fabcaro, le scénariste."

"L'iris est un symbole de bienveillance et d'épanouissement. "
Une pensée positive: "Cueille ce qui s'offre à toi, si tu en veux les bienfaits!"
C'est une fleur au fond de nous, ne demandant qu'à s'épanouir dans la bienveillance, selon le philosophe grec Gransbienvousfas,, fait Vicévertus,(inspiré de BHL et de Villepin, ) médecin chef des armées de César.

Ce sera encore "La Zizanie" au village. Rencontre avec Astérix et Obélix:
- Sauriez vous m'indiquer le village des gaulois providentiels?
- PROVIDENQUOI, répète un peu pour voir? Explose Obélix!
- Laisse le s'exprimer sa colère est saine. Obélix, ta rudesse archaïque cache un coeur tendre et attentif à l'autre."

Vicévertus va révolutionner le village des Gaulois:
-"Tu devrais pêcher tes poissons toi-même afin de privilégier les sources locales.
-Pêcher du poisson , quelle idée saugrenue!
Au forgeron Cétautomatix;
-Tu sens la vibration incroyable ( du marteau sur l'enclume, CLONK!)
Sa propagation qui apaise et facilite la circulation des énergies?"

Même Bonemine est charmée, elle crie sur Abraracourcix ( ...au lieu de ronchonner comme un sanglier mal éduqué...)
- Tu vois ! Tu ne me regardes plus, Tu me négliges comme une vieille outre percée! Et, elle va suivre Vicévertus à Lutèce... A bord du CGV Char à Grande Vitesse

Les légionnaires romains n'ont plus peur de recevoir des coups. Obélix s'énerve, il ramasse les sangliers ( comme des champignons ) qui sont heureux de le suivre.
-"Il n'y pas plus sain et doux qu'un sanglier. Grouïïk toi-même.
-Le fameux esprit sain dans un porcin!" fait Astérix

BD avec les planches et documents de travail originaux des auteurs et un dossier inédit de 30 pages sur les coulisses de la création. La couverture a été modifiée au dernier moment : Vicévertus est devant au lieu de rester derrière...
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Jules César ne sait plus que faire ! Les légionnaires baissent les bras, on ne compte plus les mutineries et autres désertions ! Mais c'est sans compter sur Vicévertus, médecin chef des armées romaines, spécialiste de la communication, qui permet de parvenir à remotiver le camp de Babaorum après une hypothétique mais inévitable défaite du dernier village rebelle…

Vous le connaissez, ce village peuplé de valeureux guerriers ripailleurs, bagarreurs qui n'ont peur que d'une chose… Notre médecin romain va les transformer en bisounours… Et on est à deux doigts de le voir devenir un village ou règne l'amour, la compassion grâce au sérieux « travail sur soi » enseigné par Vicévertus. le scénario n'a rien d'extraordinaire, il n'est pas sans rappeler d'autres scénarios bien connus : le domaine des Dieux, le devin, Obélix et compagnie, toutefois les auteurs se sont appliqués à mettre la vie en Gaule au goût du jour, avec son CGV, ses charinettes, ses techniques de communication bien connues aujourd'hui du grand public, ses chansons à la mode, euuuhh … gauloise, revisitées par notre fidèle barde et qui m'ont fait plus que sourire…

Comique également le changement dans les rapports entre personnages, Obélix aborde les sangliers à sa façon, on se bat, oui, mais poliment, on se dit des gentillesses, on achète même les poissons d'ordralphabétix, c'est dire !

Question jeux de mots, on est servi, il serait même bon de lire au moins deux fois le volume pour ne rien manquer. J'ai très envie de citer certains dialogues, mais je m'abstiens pour permettre à chacun de les découvrir ! On y retrouve le style de Fabcaro pour notre plus grand plaisir !

Un volet très « feel good » parmi les meilleurs « post Goscinny et Uderzo ».

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critiques presse (13)
LesAmisdelaBD
16 novembre 2023
Évidemment, les habitués de l’écriture et du style Fabcaro y trouveront leur compte plus facilement que les autres, mais ces derniers ne sont pas à l’abri d’une bonne surprise avec cet Iris Blanc (dont la floraison suffit à éclairer la forêt).
Lire la critique sur le site : LesAmisdelaBD
BDZoom
07 novembre 2023
En s’y risquant par le rire, les irréductibles Astérix et Obélix arriveront-ils à apaiser la situation de cet irrésistible meilleur des mondes ?
Lire la critique sur le site : BDZoom
Culturebox
31 octobre 2023
Une histoire qui se veut dans l'air du temps, avec notamment un nouveau scénariste aux manettes.
Lire la critique sur le site : Culturebox
LigneClaire
30 octobre 2023
Fabcaro a réussi rebattre les cartes, à entrer dans l’univers très fermé d’Astérix pour un scénariste, à la fois en proposant une histoire modernisée mais très fidèle instinctivement aux plus anciennes pistes, traditions mises en place par Goscinny.
Lire la critique sur le site : LigneClaire
Actualitte
27 octobre 2023
En somme, c’est confortable, rassurant, comme un bol de chocolat chaud ou une madeleine, selon les goûts de chacun. Le lecteur amateur s’y retrouvera, avec plaisir ou pas du reste, mais ces grosses ficelles servent avant tout à faire passer une modernité étonnante chez Astérix.
Lire la critique sur le site : Actualitte
Bibliobs
27 octobre 2023
Pour ce 40ᵉ tome des aventures du Gaulois, le premier qu’il scénarise, Fabcaro s’est glissé avec une facilité déconcertante dans l’esprit de René Goscinny, cocréateur avec Albert Uderzo du héros de BD.
Lire la critique sur le site : Bibliobs
LaPresse
27 octobre 2023
"L’iris blanc", comme les meilleurs Astérix, se moque gentiment des travers des gens du village, qui sont aussi les nôtres. [...] On sent dès les premières pages que le ton y est : les jeux de mots plutôt fins, les clins d’œil, la psychologie des personnages et un maillage très étroit avec la mise en scène du dessinateur.
Lire la critique sur le site : LaPresse
ActuaBD
27 octobre 2023
Le baptême du feu est réussi pour l’auteur montpelliérain dont le récit est équilibré entre nostalgie, hommage et nécessaire modernité.
Lire la critique sur le site : ActuaBD
LaCroix
27 octobre 2023
40e album des aventures d’Astérix scénarisé par Fabcaro, "L’Iris blanc" [...] se moque gentiment des gourous du développement personnel.
Lire la critique sur le site : LaCroix
Marianne_
27 octobre 2023
Fabcaro au scénario, gourou aux airs de BHL: "L’Iris blanc", le meilleur Astérix depuis Uderzo.
Lire la critique sur le site : Marianne_
SudOuestPresse
27 octobre 2023
L’arrivée au scénario de Fabrice Caro, alias Fabcaro, aux commandes de ce nouvel épisode d’« Astérix » apporte un vent de fraîcheur. « L’Iris blanc » est un album drôle, truffé de références, et en phase avec son temps.
Lire la critique sur le site : SudOuestPresse
LaLibreBelgique
26 octobre 2023
Fabcaro et Didier Conrad signent l’aventure la plus drôle depuis qu’Uderzo a passé la main et ses crayons.
Lire la critique sur le site : LaLibreBelgique
LeMonde
26 octobre 2023
Marre de la bienveillance ? Ras le bol de la pensée positive ? Alors, lisez "L’Iris blanc" [...]. Ça risque de détendre vos zygomatiques, et vous détendre tout court, sans avoir recours aux conseils d’un expert en développement personnel.
Lire la critique sur le site : LeMonde
Citations et extraits (99) Voir plus Ajouter une citation
- Alors qu'est-ce qui t'amène à la Grande Cité ?
- Vicévertus va me faire découvrir les lieux à la mode ...
- Ah, tu as enfin réalisé que la vraie vie est ici et pas dans ton trou perdu au milieu des sangliers ...
- Tu sais bien que si ça n'avait tenu qu'à moi ...
- A propos de sanglier, comment va machin ?
- oh, lui, tu le connais, tant qu'il est avec ses copains il est content. Ça bâfre, ça boit et ça rigole ...
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ah ! ah !

Nous sommes en 50 avant Jésus-Christ.

Toute la Gaule est occupée par les Romains... Toute ? Non !

Un village peuplé irréductibles Gaulois résiste encore et toujours à l'envahisseur.

Et la vie n'est pas facile pour les garnisons de légionnaires romains des camps retranchés de Babaorum, Aquarium, Laudanium et Petibonum...
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Assurancetourix.
Je vais vous interpréter un vase-pourri de mes meilleurs morceaux, vous êtes prêts? C’est parti.
-Glaiiive lève-toi 🎼 et danse à Gergovie,
-Besoin d’Orion 🎼 envie de Troiiie!
-On s’était dit rendez vouuus dans Byzance
-Légionnaire particulieeer 🎼 cherche legiommaiiiire particulièèère 🎼
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- Si tu réussis, ta gloire est faite et nous appliquerons ta méthode à l'ensemble de mes armées...Sinon, c'est les lions que tu rendras heureux !
- "Un triomphe sans risque est un triomphe orphelin".
- Prie pour le rester, toi, hors félin !
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Bonemine: Selon toi, j'émane? J'irradie?

Abraracourcix: Eh bien... Disons que techniquement... Si l'on tient compte des saisons... Et du cours du sanglier...

Bonemine: TU VOIS! TU NE ME REGARDES PLUS! TU ME NÉGLIGES COMME UNE VIEILLE OUTRE PERCÉE!

Abra: Siii, tu émanes et tu irradies. Je n'ai jamais vu quelqu'un qui émane et qui irradie autant que toi! Tiens, je le disais pas plus tard qu'hier à Agecanonix: "Oh là là, en ce moment Bonemine, elle émane et elle irradie. C'est fou comme elle émane et qu'elle irradie!"
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Vidéo de  Fabcaro
Dans cet épisode, nous vous présentons des livres qui nous ont fait rire. Huit propositions de lectures pour différents âges : de l'humour, fin ou gras, des jeux de mots, de l'absurde, du comique de situation, de la satire sociales... Des livres que nous avons beaucoup aimés, auxquels nous repensons avec le sourire et que nous adorons mettre entre les mains des lecteurs. Une liste à garder précieusement, concoctée par nos libraires Laure, Rozenn, Nolwenn, Jérémy, Nicolas et Adeline !
Voici les livres cités dans cet épisode :
Un ours, un vrai, de Stéphane Servant et Laëtitia le Saux (éd. Didier Jeunesse) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/23128786-un-ours-un-vrai-stephane-servant-didier-jeunesse ;
Horace. Tome 1, Cheval de l'Ouest, de Poirier (éd. Revival) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/23359947-horace-tome-1-poirier--revival ;
Les Culs-reptiles, de Mahamat-Saleh Haroun (éd. Gallimard/Folio) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/22745328-les-culs-reptiles-mahamat-saleh-haroun-folio ;
Admirable, de Sophie Fontanel (éd. Seghers) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/22540820-admirable-l-histoire-de-la-derniere-femme-ride--sophie-fontanel-seghers ;
Chroniques du Château faible, de Jean-Christophe Mazurie (éd. Fluide Glacial) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/23032241-1-chroniques-du-chateau-faible-tome-01-jean-christophe-mazurie-fluide-glacial ;
Stella et l'Amérique, de Joseph Incardona (éd. Finitude) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/23109474-stella-et-l-amerique-joseph-incardona-finitude ;
Le Rire des autres, d'Emma Tholozan (éd. Denoël) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/23030426-le-rire-des-autres-emma-tholozan-denoel ;
Roman fleuve, de Philibert Humm (éd. des Équateurs/Folio) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/23286751-roman-fleuve-philibert-humm-folio.
Et quelques autres titres qui auraient pu faire partie de cette sélection de livres drôles :
Le Discours, de Fabrice Caro (éd. Gallimard/Folio) ;
Miracle à la tombe aux Aspics, d'Ante Tomi (éd. Libretto) ;
N'essayez jamais d'aider un kangourou !, de Kenneth Cook (éd. Autrement) ;
Je dénonce l'humanité, de Frigyes Karinthy (éd. Viviane Hamy) ;
Le Chien de madame Halberstadt, de Stéphane Carlier (éd. le Tripode) ;
Roulio fauche le poil, de Julia (éd. le Tripode) ;
La Vie est une corvée, de Salomé Lahoche (éd. Superexemplaire) ;
Idées noires, de Franquin (éd. Fluide Glacial) ;
#Les Mémés, de Sylvain Frécon (éd. Fluide Glacial).
--
Les Éclaireurs de Dialogues, c'est le podcast de la librairie Dialogues, à Brest. Chaque mois, nous vous proposons deux nouveaux épisodes : une plongée dans le parcours d'un auteur ou d'une autrice au fil d'un entretien, de lectures et de plusieurs conseils de livres, et la présentation des derniers coups de coeur de nos libraires, dans tous les rayons : romans, polar, science-fiction, fantasy, BD, livres pour enfants et adolescents, essais de sciences humaines, récits de voyage…
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