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Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Après « Serpentine », voici le second recueil de nouvelles de Mélanie Fazi, jeune auteur et traductrice de romans de fantasy qui bénéficie déjà d'une certaine réputation dans le monde des littératures de l'imaginaire. « Notre-Dame-aux-Écailles » nous apporte une preuve supplémentaire de son talent grâce à ses douze magnifiques nouvelles dans lesquelles l'auteur met en scène des personnages touchants de vulnérabilité évoluant dans des décors familiers qui prennent pourtant des allures fantastiques et inquiétants sous sa plume. Venise s'y fait ville jalouse de ses soupirs dont elle punie sévèrement les voleurs, des mortelles y prennent des Fleuves pour amants, une maison y est capable de contenir les âmes de ses anciennes propriétaires... Tout au long de ce recueil, Mélanie Fazi nous donne ainsi à voir des paysages connus et parfaitement ordinaires qu'elle éclaire pourtant sous une lumière différente afin de leur donner un peu de magie, de mystère. Et le résultat est remarquable.

Dans tout recueil ou anthologie certains textes se font généralement plus marquants que d'autres, or force est de constater que ce n'est pas le cas ici, chaque nouvelle étant d'une qualité rare. Quelques unes ont tout de même davantage remporté mon adhésion, à commencer par celle qui donne son nom au recueil, Notre-Dame-aux-Écailles, nouvelle récompensée en 2009 par le Prix Masterton et ayant pour thème la maladie. Je me contenterais d'en citer quatre autres : « Noces d'écume », narrant le combat d'une femme se disputant son mari avec la maîtresse la plus impitoyable qui soir, la mer ; « Les cinq soirs du lion », texte très bref où une jeune fille se voit forcer de revenir sur ses épreuves passées afin d'acquérir son familier ; « Villa Rosalie », mettant en scène une maison pas tout à fait comme les autres, chaque pièce y renfermant l'âme de son ancienne occupante ; et enfin « Noeud cajun » mettant en scène le calvaire d'une famille en proie à une bien étrange malédiction.

Avec « Notre-Dame-aux-Écailles », Mélanie Fazi nous offre un recueil d'une beauté et d'une poésie remarquable et nous fait porter un regard différent, plus attentif peut-être, et surtout plus émerveillé, sur les choses et les gens qui nous entourent. Une magnifique découverte.
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Mon premier roman de l'année, Notre Dame aux Écailles est un recueil de nouvelles qui m'a en premier lieu attirée par une citation de Jean-Claude Dunyach (L'Express), sur la 4e de couverture : "Il y a chez Fazi une petite musique poignante, extrêmement lucide, et surtout un art de la fêlure qui transcende la moindre de ses histoires". Rajoutez à ça un auteur reconnu, acclamé et aux multiples prix (Merlin en 2002 et 2004, Masterton en 2005, Grand prix de l'imaginaire en 2005 et en 2007), et il ne m'en a pas fallu plus pour me plonger dans ce livre, sans même savoir à quoi m'attendre.

Le problème avec les recueils de nouvelles, c'est qu'on n'aime jamais tout. Certaines nouvelles nous emportent et nous ravissent, d'autres nous laissent de marbre. Mais pas ici, avec ces courtes histoires de Mélanie Fazi, qui ne peuvent chacune qu'éveiller notre curiosité et notre intérêt. Je pense en particulier à cette histoire d'une femme qui a pris le Fleuve pour amant, celle de cette petite fille qui dessine ce qu'elle voit dans la musique, ou encore celle de cette maison qui se nourrit de la substance de ses habitants pour évoluer... Dans chaque nouvelle, l'auteur se plait à personnifier, que ce soit une ville, une maison, une musique, un dessin, une émotion... Tout prend vie sous sa plume et tous nos sens sont touchés et titillés par son écriture vraiment magnifique et poétique. Elle nous transporte sans effort dans chaque moment de ces intrigues fantastiques, et nous laisse avec l'impatience de commencer la suivante.

Une très belle découverte que cette Notre Dame aux Écailles, qui me donne envie de découvrir plus profondément l'oeuvre de Mélanie Fazi.
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En cette fin d'année, je déstocke un peu ma PAL en lisant des livres qui y étaient depuis longtemps comme ce fut le cas avec Riverdream, en effet j'avais acheté Notre-dame-aux écailles en décembre dernier chez Gibert. J'avais entendu beaucoup de bien de Mélanie Fazi que j'ai eu l'occasion de lire pour la première fois dans Les coups de coeur des Imaginales avec la nouvelle Trois renards qui reflétait bien les écrits de l'auteure, à la fois étranges et angoissants.

Ce recueil est composé de 12 nouvelles qui ont en commun le côté étrange même si les thèmes et les époques abordées sont différents. Les textes sont le plus souvent racontés à la première personne, ce qui va très bien avec le genre dans la mesure où l'on a un seul point de vue sur ce qui se passe. Ces nouvelles se situent vraiment dans le domaine du fantastique, le surnaturel y apparait peu à peu et on a du mal à savoir vraiment ce qui se passe.

La première nouvelle, La cité travestie, se passe à Venise et la ville y est un personnage à part entière qui se venge de ceux qui se comportent mal avec elle. le décor offert par cette ville est très bien utilisé avec les canaux et les légendes en rapport avec l'eau. Elle nous offre une ballade étrange et poétique au sein de cette ville si particulière.

La nouvelle suivante change de registre avec une histoire se déroulant dans une famille dont le père est un illustrateur de livre qui voit ses dessins s'effacer peu à peu. La musique a une grande importance dans ce texte comme dans Trois renards, elle amène la fillette de l'illustrateur à dessiner à son tour. Ce texte se situe dans un contexte ordinaire en y apportant une touche de magie.

La troisième nouvelle Langage de la peau est une de mes préférées. À nouveau les sens sont à l'honneur avec cette fois l'odorat. Cette nouvelle contient beaucoup d'émotions, de sensualité et de poésie, pourtant c'est un texte très court avec des lycanthropes.

J'ai moins aimé la nouvelle suivante intitulée le train de nuit peut être à cause des araignées ( c'est une phobie chez moi alors ces passages m'ont fait peur). L'ambiance de la nouvelle est assez dérangeante, on ne sais pas vraiment ce qu'est ce train mais plus ce qu'il représente, une forme d'oubli.

Dans Les cinq soirs du lion, une jeune fille acquiert un familier qui n'était pas vraiment ce qu'elle attendait et doit pour cela revivre des souvenirs douloureux. L'histoire aurait pu être un peu plus fouillée mais cela reste une nouvelle d'un bon niveau.

L'eau est à nouveau à l'honneur dans La danse au bord du fleuve où une femme en proie à une crise sentimentale fait une rencontre un peu particulière lors de ses vacances en solitaire. La sensualité est également très présente dans ce texte qui aborde aussi la peur qui peut nous paralyser.

La nouvelle suivante Villa Rosalie traite du thème de la maison hantée mais sous un nouveau jour. Les habitantes de la maison y ont chacune laissé une empreinte et rendu la maison quasiment vivante. C'est un texte dans lequel il est un peu difficile d'entrer mais très poétique.

Le noeud cajun est parfaitement du domaine du fantastique car on ne peut pas vraiment se faire une idée précise sur ce qui arrive, si le personnage du père de famille est complétement fou et paranoïaque ou si effectivement le surnaturel est présent. le comportement du père de famille est vraiment mystérieux et angoissant tout comme la nouvelle assez glaçante.

La nouvelle qui donne son titre au recueil a pour thème la maladie et les relations avec les proches. le sujet est difficile mais l'auteure arrive à y insuffler une forme de poésie, même si le texte demeure très triste.

La nouvelle suivante a pour titre Mardi Gras et se situe à la Nouvelle Orléans après le passage de Katrina. On visite la ville après le désastre, où l'opposition entre les couleurs et la catastrophe est très marquante. C'est une très belle nouvelle très touchante sur la vie après une catastrophe.

L'eau est à nouveau au centre de Noces d'écume au travers de l'océan. La nouvelle parle d'un couple dont l'homme revient changer après une partie de pèche. Par amour, sa femme essaye de le sauver et le faire revenir comme avant. L'appel de l'océan est au coeur de l'histoire, la nouvelle m'a un peu fait penser à Lovecraft par moments.

La dernière nouvelle de ce livre intitulée Fantômes d'épingle est une des plus belles et poétiques. Une jeune femme ayant pris l'habitude d'enfouir ses sentiments depuis son enfance essaye de les faire ressortir. Ce texte parle de la mort qui est toujours présente et de comment on peut y faire face sans tomber dans le tragique.

Ce recueil de nouvelles de Mélanie Fazzi est servi par une très belle écriture remplie de poésie. L'auteure met au coeur de ses histoires les sens, plutôt que la réflexion. L'étrange et l'émotion sont aussi au rendez-vous. Même si je n'ai pas vraiment accroché à toutes les nouvelles, ce livre est intéressant et permet de découvrir l'univers si particulier de Mélanie Fazi qui porte un regard à la fois triste et émouvant sur le monde.
Lien : https://aupaysdescavetrolls...
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Je voulais le lire depuis longtemps, mon intérêt piqué par les ambiances troubles et étranges qui semblaient être le mot d'ordre de ces nouvelles.

Je n'ai pas été déçue sur ce point ! Mélanie Fazi a un don pour rendre fascinant, sensuel, déstabilisant et un brin angoissant des lieux connus de tous en y injectant quelques touches de surnaturel et de mystère.

Dans toutes les nouvelles, la limite entre la réalité et l'imaginaire est floue et souvent dévoilée au fur et à mesure. Tout commence normalement puis vient s'insérer un fait étonnant qui s'affirme de plus en plus et se dévoile totalement à la fin de la nouvelle. de quoi recommencer à croire aux fantômes, et autres esprits ! L'auteure aime jouer avec nos émotions et quelques fois nos peurs. Des nouvelles assez psycho en fin de compte, qui brouille pas mal notre vision de la réalité.

La Cité travestie : La belle ville de Venise semble habitée par une âme qui vole des soupirs et demande un tribu à ceux qui les prennent à sa place. Récit d'un voleur de Soupirs… La ville romantique par excellence nous apparaît sous un autre jour, qui fait légèrement froid dans le dos.

En forme de dragon : Une des nouvelles avec lesquelles j'ai le moins accrochée. Les dessins d'un père d'une petite filles disparaissent au son d'une musique qui se fait entendre tous les soirs. Une seule façon de l'arrêter : trouver le dessin qui correspondra à la musique, sera son essence même transcrite sur une feuille de papier.

Langage de la peau : Très courte nouvelle qu'on peine à cerner jusqu'à ce qu'on arrive vers la fin. le mythe du loup garou revisité (en tout cas c'est on interprétation, à vous de vous faire la votre) Maître mot : laisser parler vos instinct animaux.

Le Train de Nuit : une de mes nouvelles favorites du recueil bien que ce soit une des plus sombres : Une femme monte à bord du Train de Nuit, le train de ceux qui veulent quitter la réalité, laisser leur vie derrière. A elle se présentera plusieurs choix : rester dans le train de nuit et sombrer dans un sommeil infini comme la plupart des passagers, redescendre ou errer éveillé dans le train jusqu'à ce que son choix soit arrêté.

Les Cinq Soirs du Lion : Une jeune femme se retrouve face à son animal totem : un lion. Elle doit plonger au fond d'elle même pour comprendre cette signification, faire un travaille sur elle même, plonger dans ses souvenir. Résoudre l'énigme… Une nouvelle plutôt étrange sur la force de l'inconscient vis à vis de nos souvenirs.

La Danse au bord du fleuve : encore une nouvelle que j'ai beaucoup aimé. Rien de plus à ajouter qu ce qu'en donne le résumé : “Avez-vous déjà pris un fleuve pour amant ?” Très sensuelle. Enjoy.

Villa Rosalie : une nouvelle assez fraîche par rapport aux autres du recueil : un homme est le gardien d'une villa dont chaque pièce contient l'âme d'une femme. Nous partons à la découverte de leurs gouts et de leur personnalité grâce au tour de la maison que le narrateur effectue.

Le Noeud Cajun : Surement la nouvelle qui devient de plus en plus glauque au fur et à mesure qu'on avance. Au début simple fait peu anodin, plus on avance plus on se rend compte qu'il se passe des chose pas nettes. le thème n'est pas le plus original du recueil mais c'est certainement la fin la plus oppressante ! Il s'agit d'une famille d'un village d'Alabama qui commence à perdre les pédales lorsque la femme, enceinte jusqu'au yeux, arrive à terme de sa grossesse. Vaudou, démon et boucle dans le temps au programme. Aussi une nouvelle que j'ai beaucoup appréciée.

Notre Dame Aux Ecailles : une femme se trouve une ressemblance frappante avec une statue du jardin de ses beaux parents. Je n'ai pas trop accrochée avec cette nouvelle, qui donne son nom au recueil.

Mardi Gras : Dans la ville ravagée de la Nouvelle Orléans, après le passage d'un ouragan, la fête bat son plein. Au coeur de la foule, des personnes masquées vous entraînent dans les endroits sombres de la ville, loin des lumières de la fête. Dans les quartiers les plus ravagés, ne semblant habités que par des fantômes à présent. Une nouvelle agréable, bien qu'assez prévisible (la seule !). Seule l'identité des Masques est restée longtemps un mystère.

Noces d'écume : Après une journée de pêche, 4 hommes se transforment peu à peu en êtres de l'eau,ne vivant que pour la mer et ne semblant plus se soucier de rient ni même se rendre compte du reste du monde qui les entoure. de loin la nouvelle la plus dérangeante à mon gout (surement une question de ressenti, je suis sure que ça ne sera pas l'avis de tout le monde). Elle m'a mise franchement mal à l'aise. J'ai été contente en arrivant à la fin.

Fantômes d'épingles : Une jeune femme se rend compte qu'elle ne ressent plus la moindre émotion, ni même de la tristesse lors de la mort de son ami d'enfance. Elle incrimine une poupée dans laquelle elle plantait, plus jeune, une épingle à chaque fois qu'elle était triste… La nouvelle que j'ai le moins aimé. Assez déprimante.

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Pour conclure :

Recueil plutôt sombre finalement, cela ne m'a pas empêché de beaucoup l'apprécier pour son originalité et sa subtilité. Soyez prêts à vous jeter dans des eaux troubles !
Lien : http://lecturesduneguenon.wo..
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En Résumé : Voila un recueil de nouvelles vraiment originale et travaillé qui nous plonge dans un univers captivant et parfois angoissant et sombre et dont je suis ressortie de ma lecture captivé. Mélanie Fazi a une plus vraiment magnifique qui ne m'a pas laissé indifférent et qui arrive à me faire rêver et me transporter. Parfois l'auteur en fait un peu trop, mais franchement pas de quoi déranger la lecture.

Retrouvez ma chronique complète sur mon blog.
Lien : http://www.blog-o-livre.com/..
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J'ai acheté ce livre un peu par hasard et je dois avouer que je ne le regrette pas. Je ne connaissais pas du tout Mélanie Fazi et elle m'a vraiment impressionnée.
L'écriture est tantôt tendre, tantôt plus brutale, mais toujours belle. On sent le rythme qui berce chaque phrase et on ne peut que se laisser emporter du début à la fin de chaque nouvelle. On reprend son souffle,… et c'est reparti pour un nouvel univers.
Le plus fascinant est la facilité déconcertante avec laquelle elle s'empare de lieux familiers pour en faire ce qu'elle désire. Après « Noces d'écume », je ne regarderai plus jamais la mer de la même manière.
Les sujets abordés ne sont pas toujours gais ; même s'ils se cachent derrière une bonne dose de fantastique et de magie, ils sont parfois bien plus proches de notre réalité qu'on pourrait le croire au premier abord. On le voit de la manière la plus flagrante dans « Les cinq soirs du lion ». Et pourtant, malgré la gravité du sujet, il n'y a pas de pitié ou de mièvrerie de l'écriture ; on trouve plutôt beaucoup de tendresse.
Pour résumer, je suis totalement sous le charme de cette écriture. Il ne me reste plus qu'à découvrir ses autres livres.
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Dans ce second recueil de nouvelles de Mélanie Fazi, l'autrice nous propose douze nouvelles, toujours dans le genre fantastique. Globalement, les douze nouvelles sont bonnes, certaines étant évidemment plus marquantes que d'autres.

J'y ai retrouvé l'atmosphère et l'univers que je commence à associer à cette autrice décidément très talentueuse. Quelques phrases lui suffisent pour nous plonger dans une ambiance parfaitement définie, ni totalement réaliste ni pleinement fantasmagorique.

Au programme : troubles de l'âme, questionnements autour de la création artistique, remords et regrets, tout un panel de questions pleinement humaines sous le masque d'une ambiance fantastique joliment rendue.

Autant vous dire que je suis impatient de lire son troisième et à ce jour dernier recueil de nouvelles, le Jardin des silences.
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Plus qu'enchantée par son autre recueil de nouvelles, j'espérais à nouveau que la magie opère avec Notre-Dame-aux-Ecailles. Si l'ensemble m'a plu, je dois dire que je me suis moins laissée absorber par cet ouvrage, au contenu inégal. Certaines nouvelles, telles que En forme de dragon ou encore Langage de la peau ont effectivement provoqué cette même fascination, tandis que j'ai peiné pour terminer Noces d'écume.
Lire la suite : http://www.bizzetmiel.com/2015/12/melanie-fazi-notre-dame-aux-ecailles.html
Lien : http://www.bizzetmiel.com/20..
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Je me suis plongée dans ce recueil un peu à reculons parce que j'ai beaucoup de mal avec les nouvelles. Ça aura été plus la découverte d'un univers que d'une écriture et j'ai été agréablement surprise. Mention spéciale pour "Le Train de Nuit", mon chouchou.
Je conseille ce livre à tous ceux qui préfèrent des récits lents et savoureux à des intrigues détonantes dont on connaît de suite la chute. Même les amoureux du roman peuvent y trouver leur compte. le recueil alterne les nouvelles courtes et les longues.

Les ambiances générales sont travaillées et dégénèrent au fur et à mesure de la lecture. Certains nouvelles m'ont donné du mal, d'autres m'ont réjouie. Dans l'ensemble, ça reste un recueil que je conseille à tous les amis du fantastique. Dans le même genre j'ai tout de même préféré Yokô Ogawa, mais peut-être est-ce trop subjectif ?
Lien : http://anassete.blogspot.com..
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Au travers des différents textes, Mélanie Fazi nous emmène à parcourir des lieux, des espaces urbains, et d'autres lieux divers, à ressentir les atmosphères, les vibrations de ce qui nous entoure, rencontrer des fantômes, des ombres, des créatures merveilleuses, dans un voyage intime parfois inquiétant, parfois sensuel.

Chronique complète sur le blog (voir lien)
Lien : http://naufragesvolontaires...
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