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sur 700 notes
Dernier volet de la trilogie initiée avec Mille Femmes Blanches, Les Amazones se situent à la fois dans le temps passé et présent. L'auteur y décrit la condition des natifs américains, les traces qu'ont laissé la ségrégation passée et celles que continuent de creuser l'actuelle.

La narration est fluide et l'on se plonge dans ce roman d'une traite. Difficile de sortir la tête de l'eau avant d'avoir lu le mot de la fin. Et c'est un peu triste qu'on referme ce livre en sachant que c'était le dernier d'une trilogie qui nous aura fait chevaucher dans les grandes plaines, éviter les assauts des colons, et comprendre ce que les éléments de la nature nous offrent.
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Un peu déçue avec ce troisième tome.
Je l'ai peut-être trop attendue.
L'histoire tourne un peu en rond ou je me lasse de l'histoire.
A coeur vaillant rien d'impossible à ces femmes qui ont du mal à se situer tout en restant fidèles à leurs origines
Beaucoup de retours en arrière qui tue le suspens mais une histoire d'amérindiennes qui restent très très intéressante
J'ai eu envie de chevaucher à leur coté pour leur combat de femmes .
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Les Amazones de Jim Fergus ( Pocket N°17658 - 475 Pages )

Voilà je viens de refermer le troisième tome de la belle saga de Jim Fergus.
Un peu de mal au début à me remettre dans la vie sauvage des indiens.
Mais très vite je me suis sentie bien en leurs compagnies. Leur vie paisible dans leurs camps étaient écolo avant l'heure. Eux ils tuaient les animaux juste pour se nourrir et rien n'était perdu. Tout servait soit en vêtements, en couvertures, en déco ..
C'est un génocide, l'extermination des premiers habitants des Etats Unis. Les colons aidés par l'armée ont pris leurs terres.
Les territoires accordés ont été repris car des filons d'or malheureusement ont été découverts.
Partez vivre avec eux sans réseaux sociaux, sans télévision, sans téléphone, sans ordinateur, sans confort ..
Adieu May, Molly et les autres amazones. Bravo à Jim Fergus de défendre la cause des indiens par ses romans.
Difficile de se comprendre, de s'intégrer entre civilisations, je le constate en regardant les actualités en France et par le Monde. Ce n'est pas demain que tous les hommes de la Terre se donneront la main.
Mireine
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J'ai lu, il y a quelques années, "Mille femmes blanches" que j'avais adoré. Raison pour laquelle j'ai choisi d'acheter "les Amazones" du même Jim Fergus, sans réaliser qu'il s'agissait d'une trilogie, et que le 2ème tome "La vengeance des mères" avait échappé à mon attention.
J'ai donc eu un peu de mal à me retrouver dans les différentes parties qui composent ce 3è tome, chacune étant attribuée au journal ou aux notes des protagonistes Mary Dodd, Molly McGill qui relatent leur expérience de vie avec les cheyennes en 1876, et Molly Standing Bear, descendante de Molly McGill qui prend soin et commente les carnets de son aïeule et de son amie.
Quoi qu'il en soit on retient le récit de destruction des peuples amérindiens par l'armée américaine et les souffrances que subissent aujourd'hui encore notamment les femmes amérindiennes invisibles dans une société qui ne les considère que trop peu.
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Au début du roman j'ai tellement aimé découvrir la vérité, comprendre ce qu'il y avait vraiment eu.
Mais au fil des pages, j'ai trouvé ce tome en dessous des autres, notamment parce que certaines longueurs m'ont fait perdre le fil de l'histoire. Il faut dire que je suis une lectrice vraiment exigeante en ce moment avec une concentration proche de 0, les longueurs me perdent totalement.

Je suis contente d'avoir lu ce troisième tome et j'ai hâte de découvrir le dernier au printemps, en espérant avoir retrouvé un semblant de concentration 😅.
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En empruntant les Amazones dans une cabane à livres, je ne savais pas que c'était la suite de Mille femmes blanches du même auteur. Mal m'en a pris.

Je n'ai pas du tout accroché à l'histoire. D'abord de nombreuses répétitions pour donner un écho à ce que narrent les deux personnages principaux mais qui n'apporte rien, pas même une vision différente. Ensuite, des portraits très stéréotypés. Les gentils sont indiens, s'ils massacrent les autres tribus, ce n'est pas comme les hommes blancs qui sont, de facto, des méchants. Les seuls blancs qui sont honorables ont du sang indien dans les veines. Quelques colons gentils, quand même, mais ils passent, au loin, tel le convoi de chariots dans les Grandes plaines. La seule noire du groupe courre forcément comme une gazelle. La Française est une danseuse de French cancan, etc.

Dommage, car le thème de la condition de la femme indienne de nos jours aurait mérité d'être mieux abordé plutôt que de soulever, de temps en temps, le pan sur cette problématique.

Il y avait donc mieux à faire ou ne pas faire de suite à Mille femmes blanches, que je n'ai pas lu et cela ne me tente pas.
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Les Amazones (480 pages)

Les carnets perdus de Molly McGill et autres nous conte la troisième étape.
_Ce peuple discret traumatisé fuit les Blancs qui les massacre.

_Les femmes blanche se groupe pour se battre au coté des indiens sous le nom de "Coeur vaillant"

_Des fêtes sont organisées pour chaque victoire.

Ces trois volumes m'ont fait découvrir une Amérique ou le racisme envers ce peuple indien est violent.

La découverte de filon aurifère et des grands espaces ou vivent ces peuplades vont se réduire et les Indiens seront parquet dans des réserves.

Les bisons nourriture principale des indiens seront chassés et remplacer par des boeufs.

Encore aujourd'hui ils ont de grandes difficultés pour garder leurs cultures. Les colonisateurs leurs ont imposé leurs façons de vivre.

J'ai aimé cette lecture en trois volumes et malgré ses 1440 pages.

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Ce dernier roman ne m'a pas du tout plut.
C'est totalement tirer par les cheveux. Les personnages morts ne le sont plus, certains deviennent totalement caricaturaux, certaines scènes sont pour parfaitement irréalistes.
Tout au long de cette écoute, j'ai plutôt eu l'impression d'une seconde dilution de ce qui a fait le succès du premier tome, pour justement en prolonger le profit.
Et surtout la cerise sur le gâteau, c'est que la fin reste assez ouverte pour permettre un autre roman de reprendre la suite de l'histoire, aussi bien sur les événements du 19ème siècle que ceux du 21ème.

Et je déteste ça.
J'étais donc très contente d'arriver au bout de cette écoute où je me suis souvent ennuyée.
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Dernier opus de la trilogie imaginée et écrite par l'écrivain franco-américain Jim Fergus, « Les Amazones » terminent l'incroyable épopée des « Milles femmes blanches » et « La vengeance des mères ».

Pour rappel, en 1874, le chef indien Little Wolf demande au président américain de troquer mille femmes blanches contre des bisons et des chevaux pour permettre une meilleure intégration du peuple indien. La proposition est acceptée et des femmes venant d'asiles ou de prisons sont envoyées auprès des Indiens. Là, elles sont mariées et découvrent la vie des Cheyennes en proie à la violence à la fois entre tribus et face à l'envahisseur blanc. Parmi ces femmes : May Dodd qui relate dans un journal les différentes étapes de cette aventure où les massacres des peuples autochtones la pousse à engager une lutte avec les Indiens contre la machine des cow-boys avec d'autres de ses collègues, elles deviennent, avec les vraies Indiennes, des Amazones comme au temps des Grecs.

En 2018, débarque dans le bureau du journaliste Jon W. Dodd, une indienne du nom de Molly Standing Bear qui est l'arrière-arrière-arrière-arrière-arrière-petite fille de Molly et de Hawk, pour donner en partie les journaux perdus de Molly McGill et de May Dood, écrits dans la deuxième partie du dix-neuvième siècle. Elles relatent tour à tour leurs parcours, leurs combats, leurs errances, leurs amours au sein de cette communauté sachant dompter les éléments et vivre en parfaite communion avec la nature. Mais c'est l'époque où les Indiens sont chassés de leur territoire, les bisons exterminés et le peuple autochtone survivant n'a droit qu'à de maigres réserves.

Si l'écriture et la forme n'ont rien d'extraordinaire, le fond est saisissant et Jim Fergus termine crinière au vent – utiliser le terme panache eût été trop facile – sa trilogie que l'on pourrait qualifier de western réaménagé dans la réalité des faits historiques, ceux d'un pur génocide. Tout est savamment décortiqué, analysé et romancé substanciellement, authentiquement. Malgré l'abondance des personnages, jamais on ne s'égare dans le récit, au contraire, on fidélise chaque nom pour encore mieux suivre cette chevauchée de l'impossible et du courage. Merveilleux portraits de femmes, de femmes qui tentent de s'émanciper malgré la violence surgissant de toute part et dont les capacités de défense sont infinies. Beaucoup de féminisme dans cette série, ce féminisme qui place haut la femme sans pour autant rejeter l'autre partie qui forme les humains. Sans aucun doute, si les Indiens avaient pu rester maîtres de leur terre, la face du monde eût été changée…
Lien : https://squirelito.blogspot...
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Il y a quelques années déjà, j'avais adoré "Mille femmes blanches", ses personnages, son intrigue, ses enjeux et la plongée que ce livre offrait dans l'univers amérindien. Il est resté longtemps dans ma mémoire. Plus tard, j'ai lu "La vengeance des mères" mais je l'ai oublié. Je me suis donc plongé avec curiosité dans "Les amazones", un peu inquiet de lire le troisième tome d'une trilogie si longtemps après les deux premiers. Jim Fergus parvient à nous replonger dans l'univers de ses protagonistes pour retrouver qui est qui. Malheureusement pour réussir cela, il multiplie les surprises du même type : la plupart des personnages principaux se trompent sur ce qu'ils pensent de ce que sont advenus les autres, suite aux évènements des précédents tomes. Les massacres et les batailles n'ont pas eu les conséquences individuelles auxquelles les uns et les autres s'attendaient. C'est intéressant mais pendant un long moment cela a rendu ma lecture un peu laborieuse : j'étais sceptique sur la crédibilité de ces multiples rebondissements. C'est particulièrement le cas, dans l'intrigue qui lie May Dodd à Jack Seminole où les ficelles utilisées par l'auteur sont si grosses que plus aucune scène n'avait d'effet sur moi car j'en devinais déjà l'issue toujours similaire.
Pourtant, par la suite, Jim Fergus développe un aspect qui me passionne : la frontière tangible entre la réalité et la mythologie animiste des amérindiens. Et il a une intrigue idéale pour cela : une tribu indienne qui cherche un lieu refuge dans une région ravagée par la guerre et qui la trouve dans une nature grandiose et magique. J'ai été totalement surpris et embarqué par cette partie que j'aurais voulu explorer plus longuement. Jim Fergus choisit une autre option pour clôturer sa trilogie. Cela maintient le mystère, c'est intéressant. Mais personnellement, c'est au moment où il m'avait à nouveau accroché que tout s'arrête. Dommage. Ou alors peut-être n'ai-je pas terminé ma lecture, n'ai-je pas refermé le livre et y suis-je toujours dans le monde d'à côté !?
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