J'ai trouvé ce livre vraiment bon dans l'ensemble. C'est très différent de la littérature auquel je suis habitué. C'est écrit à la première personne, au départ on dirait un hommage au grand-père du narrateur, mais plus l'histoire avance et plus l'histoire se recentre sur le narrateur.
On y parle d'ambiguïté de genre, d'évènement célèbre le tout relié au narrateur. C'est très agréable a lire, captivant par moment, j'ai beaucoup ce style où l'on voit le narrateur évolué tout au long du roman, dans sa pensée et ses actions.
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Cédric Ferrand paraît plus intéressé par les histoires de famille de ses personnages et par la toile de fond (l’histoire du Québec) qui les abrite que par la question de la portée (morale ou pas) ou de l’utilisation desdits pouvoirs. Mais pourquoi se pencher sur leur fonctionnement après tout, puisqu’il est question de réalisme magique ? Et ce parti pris tombe à pic : c’est exactement ce qu’il fallait à cette histoire !
Lire la critique sur le site : Elbakin.net
Il y a de la belle humeur, de la fantaisie, de l’ironie dans "Mon Almérique à moi". Et de la politique, de l’histoire, des observations sociales, et bien des délinquants. Bref, on s’amuse !
Lire la critique sur le site : LeJournaldeQuebec
A l'occasion de son passage en France et de sa venue dans les locaux des Editions ActuSF, Cédric Ferrand nous parle de son roman de fantasy Wastburg et de son roman de science fiction Sovok tous les deux publiés au éditions Les moutons électriques.