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3,93

sur 367 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Voilà une trilogie que l'ont m'avait conseillé il y a fort longtemps, et mes vacances au Maroc m'ont entraîné à le lire. (Lien de cause à effet ? aucun).

L'histoire, ba il s'agit des préquelles de la légende arturienne, avec l'avènement du roi Uther Pandragon, et la disparition des peuples mythiques peuplant notre monde (soit les monstres les nains et surtout les elfes). le tout entouré de figures mythiques des légendes celtiques, et française que sont Merlin, Arthur, Morgane, Excalibure et autre Lancellot.

Donc comme le dit le titre il s'agit de trois tomes réuni en un livre donc voyons voir se qu'il se cache la dedans :

Le tome un est franchement très réussi, même si il n'est au final qu'une introduction à cette sage. En effet on suit avec délectation les amours débutant d'Uther et Lliane reine des elfes, au cour d'une quêtes à la tolkien aliant humain nain et elfes pour retrouver excalibure et le tueur d'un roi nain qui serait un elfes plus ou moins allié contres les monstres du Mor... heu non des terres noirs, gouverné par Saur... heu non celui-qui-n'a-pas-de-nom.
Et oui en faite le problème c'est que l'auteur a trop plagié sur Tolkien dans se premier tome qui bien que très agréable n'en reste pas moins trop comparable au maître enfin bon... on s'attend presque a entendre : que font 4 nains, 4 humains et 2 elfes dans les marécages?
Enfin bon le tout sur un fond de trahisons (humaines évidement), et sur un fond historique réel avec l'arriver du christianisme en terre breto... des abords de la forêt de Brocelliande ;)
Enfin bon un premier tome qui laisse voir deux choses, soit une coulée complète dans le Tolkien style qui risque de casser le truc, soit une sortie complète pour plongé dans un style différent.
Et bien c'est la deuxième option qui prime sur la première on se retrouve plus dans une visions historique des choses agrémenté de de légende celte. en effet on assiste à la prophétie qui verra la naissance de Morgane et Arthur, la fin du monde tel qu'il le connaisse et pour devenir monothéiste, et dirigé par des "Surhumain" qui sont un croisement des 4 race peuplant la terre.
Un tome deux et trois, qui bien que moins captivant, et moins épiques que le premier reste très bien, et nous permet d'appréhender le roi Arthur d'une vision différente et plus... sombre. Bon par contre l'homme est foncièrement une enflure de première mais bon...
Dans l'ensemble cette trilogie ce lit vite et bien, sans non plus être exceptionnel.
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J'ai eu beaucoup de mal à entrer dans cette trilogie, à tel point que je ne lisais qu'un chapitre par jour. Les ficelles sont trop visibles, les descriptions trop lourdes et pas toujours bien placées (quel est l'intérêt de savoir qu'Uter reluque les seins de Lliane et qu'elle le sait alors qu'ils sont en train de fuir pour sauver leur peau ? Cela casse complètement le rythme de l'action). le cliché du « les hommes sont les méchants » m'a achevée. J'ai donc commencé à m'intéresser à l'intrigue qu'au moment où la compagnie quitte Kab-Bag. Donc environ la moitié du tome 1.
Malgré un début très difficile, je veux connaître la suite. Fetjaine a réussi à m'étonner alors que je disais que l'histoire du complot était cliché (même si obligatoire) et prévisible. J'ai beaucoup aimé l'entrée en scène du nouveau personnage à la toute fin du roman. Ça nous oblige à continuer tout de suite sur le tome 2 !

[...]

L'univers devient vraiment très noir dans le roman suivant, mais cela me rassure pour la suite dans le tome 3. J'avais peur d'avoir une énième copie du Seigneur des anneaux. Les motifs sont les mêmes, mais dans La Nuit des elfes, Fetjaine arrive vraiment à s'en détacher avec des thèmes phares : symbolisme et mysticisme. Ces deux mots résument très bien tout le chaos qu'ont engendré les guerres qui se déroulent dans ce tome. Celle des nains prend vite fin et on assiste aux débuts d'une autre qui va s'interrompre brutalement avec le choix d'Uter, devenu le Pendragon.
N'étant pas une fine connaisseuse de la culture celte, j'ai bien apprécié que Fetjaine explique les différentes légendes qui tournent autour du personnage d'Uter comme Kariad l'homme aimé des deux reines ou encore le Pendragon. de son côté, l'Avalon est réduit à un imaginaire chrétien non pas pour détruire ce que nous pouvons imaginer du séjour des dieux mais pour montrer à quel point la folie des hommes et de leur religion unique leur a fait oublier les cultes païens.
Un dernier point qui mérite d'être saluer : la reproduction d'ambiance de chanson de geste à certains moment. La description du mariage de Gorlois et d'Ygraine ainsi que celle du tournoi sont de véritables mines d'or d'informations et de culture du Moyen-âge ! J'ai eu l'impression de lire de vrais romans de ce temps-là ! Paradoxalement, c'est essentiellement cette partie que j'ai eu le plus de mal à lire et que j'ai parcouru en diagonale. Mais cela n'enlève rien au défi relevé par Jean-Louis Fetjaine.

[...]

Dans le dernier roman, le texte y est violent, cruel et froid. On sent une évolution par rapport aux premiers volumes. Les derniers chapitres permettent de faire monter la pression et le visage de l'Innommable est bien caché jusqu'à la fin. Il reste encore des personnages qui ne servent à rien. Je pense surtout à Fréhïr. Il est le père de Galaad dans cette version de la légende arthurienne, mais… son rôle d'ancien héros de la légende n'est pas utilisé. Il apparaît comme ça de temps en temps au début et à la fin. En lisant les premiers chapitres, j'ai vraiment cru qu'on allait développer son caractère, mais rien. C'est également le cas de Maheolas : il apparaît dans ce troisième tome, mais il se confond très vite avec l'Innommable. Pour le non initié, il ne repérera pas l'autre nom de Méléagant, qui appelle à l'apparition de Lancelot.

Ce roman est plus long que le précédent, mais il apparaît bien moins riche en actions. Fetjaine comble cela en y apportant une touche d'émotions fortes. Ce chaos m'a laissé croire qu'il était amené par le christianisme. La lance même qu'utilise Galaad à la fin peut être assimilée à la relique du Christ. de plus, le mal provient des actions des hommes, ceux qui veulent justement un dieu unique et un roi unique. La fin est ouverte : si Galaad-Lancelot est recueilli par Liliane, Merlin s'occupe d'Arthur d'un côté et souhaite faire de Morgane la nouvelle reine. Il n'y parvient pas. Galaad est celui qui rapporte le Graal, mais il s'est changé en Lancelot. Que va devenir ce monde ?
Il reste des questions sans réponse, mais qui méritent sûrement d'être approfondies par des recherches : pourquoi l'Innommable tue certains enfants et en garde d'autres ? Pourquoi le Mal incarné est-il tué par la lance des Monstres tenue par Galaad, ce qui fait faire un rapprochement entre le talisman des monstres et la lance qui a piqué le Christ ? Est-ce cela l'épreuve du Graal ? Où est passé Maheolas, l'interprétation de Fetjaine de Méléagant ?
Lien : http://biblio.anassete.org/?..
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Ce roman se compose de trois tomes : le crépuscule des elfes, La nuit des elfes
et L'heure des elfes.

Après des années de guerre, les quatre races de la déesse Dana vivent à peu près en harmonie, leurs rois et reines siégeant au grand conseil. Mais la paix est menacée par l'assassinat de l'un des rois des nains et le soupçon qui pèse sur un elfe. Une compagnie rassemblant des représentants de chaque race est envoyée pour rechercher le fautif et mener l'enquête…

Ce roman constituera une belle découverte si on connait relativement peu les mythes fondateurs du monde celtique et si on est relativement novice dans la lecture de grande saga de Fantasy. Car, oui, si l'histoire de Fetjaine s'inscrit parfaitement dans l'imaginaire celte, il est parfois dommage que l'auteur ne se soit pas encore davantage éloigné des légendes, renouvelant ainsi la place des personnages dans celles-ci. On devine, on sait trop, à l'avance, ce que le destin réserve aux protagonistes, du seul fait du nom qu'il porte. le texte est bien écrit, l'auteur est doué pour la description (il en abuse parfois au détriment de l'action !), pour donner du relief à des lieux étranges, peupler notre imagination de créatures fantastiques, mais c'est dommage que l'intrigue souffre surtout dans les deux premiers tomes de raccourcis, de facilités scénaristiques. Il y a aussi quelques effets d'annonce qui nuisent au suspens. Certains dialogues manquent cruellement de réalisme, les relations entre personnages, surtout lorsqu'il s'agit de relations amoureuses frisent la bluette adolescente. A contrario, certains aspects, scènes de bataille notamment, sont violents et démontrent bien qu'il ne s'agit pas de littérature jeunesse.

La trilogie se bonifie néanmoins au fil des tomes. La richesse et l'alliance des légendes celtes et arthuriennes est le vrai point fort de ce récit, elles montrent toute la maîtrise qu'à l'auteur de son sujet, cependant la construction du récit, la mise en place de certains éléments montrent les défauts que l'on trouve dans les premiers romans des écrivains débutants.
Lien : https://momentscritiques.wor..
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Voilà un livre qui me laisse des plus perplexes : foncièrement, il a tout pour me plaire, avec son mélange de fantasy, de légendes celtiques et de récit moyenâgeux, mais la sauce n'a pas du tout prise. Il convient cependant de séparer les trois tomes, car j'ai rencontré des problèmes différents pour chacun d'eux.

Le premier tome est le crépuscule des Elfes. Ce qui frappe de prime abord, c'est que ce ne sera l'originalité de la situation qui fera le fort de la saga : il y a des Nains, des Elfes, des Monstres. Les Nains n'aiment pas les Elfes et les Monstres, dirigés par une espèce de demi-dieu maléfique, se battent contre les trois peuples libres : Hommes, Nains et Elfes. (Ca ne vous rappelle rien ?). Enfin, je suppose qu'on ne peut pas écrire de roman Fantasy où les Elfes et les Nains s'entendent bien ?

Au final, je n'ai pas vraiment d'autres reproches à faire à ce premier tome que son manque d'originalité flagrant. L'histoire est potable sans être extraordinaire pour autant, les personnages sont légèrement caricaturaux mais on s'y attache tout de même et le récit a quelques moments de fulgurance.

Pour le deuxième tome, la Nuit des Elfes, les choses se corsent un peu. Je retiens surtout deux problèmes. le premier est le final, dont je ne suis pas sûr d'avoir saisi toute les nuances (sûrement parce que les personnages Lliane et Liliane ont échangé leurs noms en cours de route) et surtout dont certains faits semblent avoir été oubliés en cours de route, comme des personnages qu'on nous présentait comme morts mais qui reviennent dans la suite sans plus d'explication.

Le deuxième problème qui m'a fait sourciller plus d'une fois est la présence de la religion catholique dans ce récit. Au départ, on nous la présente comme une nouvelle religion, " de la croix " qui arrive dans le royaume. Mais, plus le temps passe, plus on se rend compte que c'est exactement la religion catholique et que nous sommes exactement dans notre monde. Ce n'est pas dramatique, j'en conviens, après tout il y a des personnages de la légende arthurienne. Mais, cela me sortait complètement du récit à chaque fois qu'un personnage y faisait mention.

De nouveau, le récit a aussi des moments très réussis. Ainsi, la charge finale des Nains est un passage qui m'a vraiment marqué et la chute de leur civilisation est proprement terrifiante.

On en arrive donc au dernier tome, l'heure des Elfes. Et ma foi, c'est celui que j'ai préféré. Peut-être parce que j'ai eu le temps de me remettre des chocs reçus par la lecture des deux tomes précédents. Peut-être parce que la tension qui règne dans ce tome m'a fait passer outre ces chocs.

Bref, je ne pense pas que cette saga me laissera un souvenir impérissable. Les deux problèmes majeurs, l'alchimie ratée entre récit historique et fantasy et le manque d'originalité, m'auront trop marqué pour que je puisse vraiment apprécié la série.

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Déjà ce n'est pas un livre mais trois, une trilogie ré-éditée en poche. Ca ressemble à une affaire mais ce n'est qu'un piège, je gage que si j'avais acheté le premier volume je n'aurais pas continué. Pourtant c'était alléchant, plus de milles pages pour se replonger dans les légendes de la Bretagne des temps anciens, les aventures d'Uter Pendragon le papa du roi Arthur, l'épée Excalibur, l'ile d'Avalon. Une revisite du mythe Arthurien avec des elfes, des nains et des monstres dans la plus pure tradition médiévale fantastique. Décidément, avec sa Trilogie des Elfes, Fetijaine avait bien placé son appât, je me suis fait avoir.
Sur les terres de Bretagne, dix ans après les guerres terribles contres les armées des monstres, les races libres des elfes, des nains et des hommes maintiennent la paix par dans une alliance fragile. Mais un jour, un vieux seigneur nain convoque le grand conseil, un elfe s'est introduit dans le grand royaume de la montagne noire pour voler et assassiner le roi.
Au final, je n'ai pas grand chose à dire sur ce livre. Ce n'était pas suffisamment mauvais pour en devenir remarquable. Ce n'était pas suffisamment mal écrit pour que j'abandonne la lecture. C'est juste un gros pavé que l'on est pressé de finir.
Peut être parce que le mécanisme d'identification ne marche pas très bien. Les personnages vivent et meurent tranquillement sur leurs pages de papier sans parvenir à émouvoir le lecteur. Les temps sont rudes, la mort est fréquente alors rapidement on arrive à une conclusion désabusée, un de plus, un de moins, quelle importance. Les temps sont rudes toujours et puis les trois principales races de ce monde, les humains, les hommes et les elfes se haïssent et ne maintiennent qu'une paix fragile qui volera en éclat dans la première partie. Alors forcément, si les personnages se haïssent, ils ne se parlent pas beaucoup, on a du mal à se faire une place dans leur groupe tant il apparaît comme malsain. C'est d'autant plus bizarre que dans l'histoire, on se trouve souvent confronté à des bandes de héros qui partent à l'aventure. On était habitué à de la coopération et de l'entraide dans les récits fantastiques, là pas du tout, ils s'espionnent sans cesse et n'attendent que l'occasion de se sauter à la gorge.
Se sauter à la gorge, ils le font très souvent d'ailleurs avec la plupart du temps des conséquences funestes. Machin m'a manqué de respect ? Alors je le tue. Machin a révélé que ce n'était pas un page mais le prince de sa nation, alors j'essaie de le tuer, machin veux pas me rendre mon épée magique alors j'essaie de le tuer. Ils étaient sacrément susceptibles à cette époque là. de fait le ressort dramatique principal du roman est amené par des brouilles ridicules entre les personnages. Ça fait léger quand on veux peindre une fresque épique. Et même à la fin lorsque le grand méchant, chef de tous les monstres arrive pour anéantir tout le royaume on est confronté à ces comportement puériles et pitoyables.
Enfin bref cette histoire d'elfes bleus ne m'aura pas vraiment fait vibrer.
Lien : http://oiseauchanteur.blogsp..
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J'ai découvert ce livre sur le site Babelio où il était mentionné dans une liste sur les meilleurs romans de fantasy française. Aussi lorsque je l'ai vu en librairie quelques temps après, je n'ai pas hésité avant de me l'acheter. J'ai pris une édition intégrale qui regroupe les trois volumes de la trilogie : le crépuscule des elfes, La nuit des elfes et L'heure des elfes.

La trilogie des elfes est une sorte de préquelle à la légende arthurienne puisque l'un des personnages principaux de ce roman n'est autre qu'Uter, futur Pendragon. A cette époque, les quatre tribus de la déesse Dana se partagent la Terre et chacune possède son talisman : la pierre Fal Lia aux hommes, le chaudron du Dagda aux elfes, l'épée Caledfwch aux nains et la lance de Lug aux monstres. A Loth, capitale du royaume de Logres, se réunit le Grand Conseil constitué des tribus s'étant unies pour repousser les monstres à savoir les hommes, les nains et les elfes.
L'intrigue débute quand une compagnie est mandatée par le Grand Conseil pour retrouver Gaël, un elfe accusé d'avoir tué le Roi des nains et dérobé leur talisman. Dans cette compagnie, composée de représentants des trois tribus, on trouve Lliane, reine des hauts-elfes et Uter, un chevalier, deux personnages qui vont s'aimer et vont tout faire pour lutter contre la chute de leur monde.

J'ai trouvé l'histoire particulièrement longue à se mettre en place et il m'a bien fallu attendre le milieu du premier tome pour enfin être intéressée par l'intrigue et comprendre tous les rouages qui la constitue. Si l'histoire du vol du talisman peut sembler simple, basique, il apparait finalement qu'elle n'est que la face visible d'une vaste trahison qui s'apprête à bouleverser le monde tel qu'il est décrit dans les premiers chapitres. Après un début un peu long, j'ai finalement bien accroché à l'histoire et j'ai pris plaisir à la suivre.
Jean-Louis Fetjaine propose donc une intrigue complexe mais pas que. L'univers qu'il a créé l'est tout autant. Il a réussi à mêler habilement la mythologie celtique irlandaise avec l'évocation des tribus de la déesse Dana à la légende arthurienne dont on retrouve certains des personnages emblématiques. de plus, l'auteur s'est particulièrement bien renseigné sur l'époque médiéval et les passages évoquant les armures des chevaliers ou les joutes sont des mines d'informations sur cette époque.

Je n'ai pas spécialement ressenti d'empathie pour les personnages. Mais ça ne m'a pas spécialement dérange. En effet, comment se sentir proche d'une elfe dont les considérations dépassent les humains ? Si j'ai aimé suivre le personnage de Lliane et son histoire, elle ne m'a jamais touché, même dans sa relation avec Uter. Il en va de même pour Uter. J'ai finalement préféré des personnages plus secondaires comme Freïhr, un guerrier barbare, ou Myrddin qui aura un rôle déterminant sur les événements.

J'ai aimé la plume de l'auteur. Je trouve qu'il a vraiment su créer une certaine ambiance dans ses romans. Par exemple, j'avais l'impression de ressentir l'humidité à laquelle les personnages étaient confrontée dans les marais. Par contre, j'ai moins aimé les nombreuses répétitions des caractéristiques physiques des personnages. Ainsi, l'auteur ne cesse d'évoquer la peau bleutée des hauts-elfes, la blondeur des cheveux d'Ygraine ou le malaise que provoque l'apparence de Myrddin.

La trilogie des elfes m'a fait passer un bon moment. Je regrette toutefois que l'intrigue ai été si longue à se mettre en place ainsi que les descriptions répétitives. Mais je vous conseille tout de même ce roman pour tout le contexte que l'auteur a inventé qui est fascinant et qui nous amène à merveille vers la légende arthurienne.
Lien : http://paulette-bouquine.blo..
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