LES gaz d’échappement de milliers de voitures planaient comme un voile empoisonné dans les rues. Il s’épaississait d’année en année.
« Bien des gens sont déjà morts, intoxiqués par cet air qui n’en est plus un ! » songeait Pierre Claude. « Mais c’est la raison pour laquelle, justement, nous ne sommes pas près d’avoir les moteurs atomiques, qui nous, délivreraient de cette pestilence. » Aujourd’hui du moins, qui était dimanche, il allait y échapper, lui et sa famille.