La Marque de Windfield

Je sais que Ken Follett a touché à plusieurs genres. Par exemple, j'ai adoré les deux premiers tomes de «Les piliers de la terre» qui se passent dans l'Angleterre des années 1120 et plus puis 1320 et plus. Ici, l'époque et les gens sont totalement différents, et le livre m'a beaucoup plu, même si, en bonne pinailleuse, j'ai quelques petites remarques. Commençons par cela: j'ai trouvé dommage que les «méchants» ne soient pas un peu punis au long du livre, notamment deux personnages vraiment horribles dont j'aurais aimé qu'ils reçoivent certaines déconvenues bien avant la fin. On me dira que cela arrive lorsque l'une d'eux n'obtient pas ce qu'elle veut concernant Nora et que, de ce fait, les conséquences ne sont pas celles qu'elle espérait. Certes, mais de toute façon, n'aimant pas Nora, j'aurais préféré qu'elle ne fasse pas partie du paysage. J'ai quand même été contente qu'elle réussisse à damer le pion à la méchante. Quant à l'autre personnage immonde, il obtient toujours ce qu'il veut... du moins, sur une trop grande partie du roman. D'autre part, j'aurais aimé qu'un couple se forme bien plus tôt, et qu'on puisse profiter de scènes où les deux personnages sont heureux ensemble.
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On veut connaître le secret qui lie ces jeunes hommes ....
Que s'est-il passé quand ils étaient au collège ?
Captivant du début à la fin !

Un policier historique bien écrit et passionnant, on plonge parfaitement dans l'époque décrite.

Ken Follett, habile aussi bien dans les romans d'espionnage que dans les thrillers, nous dresse ici portrait de l'Angleterre Victorienne à travers les moeurs de sa bourgeoisie. Une intrigue, une fois de plus bien ficelée, où se mêlent secrets, mondanités, couardise et convoitise...

J'ai bien aimé ce roman, pour la complexité de ses personnages, on s'attache...Mais c'est un peu la marque de fabrique de l'auteur...

A plus les copains

J'ai découvert l'auteur avec ce titre et j'ai beaucoup accroché. L'auteur n'est pas avare en rebondissements, ce livre m'a gardé en haleine tout au long de l'histoire. L'époque victorienne y est bien dépeinte et j'ai vraiment été transportée pendant ma lecture. Avec le recul je dirai que les personnages sont intéressants mais les "méchants" y sont trop méchants et les "gentils" (peu nombreux certes) y sont trop gentils, ils manquent un peu de profondeur. Dommage car on les voit évoluer et grandir.

J'ai adoré ce roman qui mêle habilement chronique sociale, roman historique et thriller politico-financier. Pas de temps mort, on a du mal à le lâcher avant la dernière page...

Voilà un livre qui m'a beaucoup plu. Il se lit comme après avoir mangé une bonne part de bon gâteau…on ne s'en lasse pas et on en redemande. Malgré les nombreux personnages de l'histoire, cet ouvrage se lit très facilement. Il y'a tellement de rebondissements inattendus dans ce livre qu'il est difficile de devoir s'arrêter afin de savoir ce qu'il va se passer. Un livre que je recommande vivement !

une jolie peinture de Londres au XIX°siècle en pleine transformation

Un roman dont l'intrigue se déroule dans le monde de la finance au coeur de l'Angleterre victorienne n'avait a priori rien pour retenir mon intérêt... Mais alors pourquoi l'avoir choisi me direz-vous? Et bien, pour son auteur... Après avoir découvert Ken Follett avec la Chute des Géants et L'Hiver du Monde - superbe découverte - j'avais envie de le tester dans un autre style... Et je n'ai pas été déçue.
Ken Follett sait décrire au mieux la psychologie humaine tout en mettant en scène ses personnages dans un milieu auquel il nous initie en douceur - en l'occurrence la Haute société londonienne et le monde de la banque. Ainsi, j'ai découvert à chaque page les manoeuvres et manipulations auxquelles se livrent certains de ses personnages avides d'argent et de pouvoir tandis que je me suis attachée à d'autres, tentant de rester intègres dans ce milieu. Ken Follett ne sombre toutefois jamais dans le manichéisme, chaque personnage étant complexe, à l'image de la réalité.
Enfin, l'écriture de ce roman m'a énormément plu, Ken Follett semble savoir à merveille utiliser le style de l'époque où il situe son intrigue, à tel point qu'il m'a laissé l'impression d'un grand classique de la littérature anglaise.