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4,22

sur 2231 notes

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Je suis depuis de nombreuses années une fan inconditionnelle de Ken Follet. J'ai lu presque tous ses livres (à l'exception de la trilogie du siècle) et je les tous aimé, beaucoup aimé voire adoré.
Je dirais d'ailleurs que mon préféré de cet auteur est indéniablement « Les piliers de la terre » que j'avais lu à une vitesse record tellement j'étais accro !! Sa suite, « Un monde sans fin », qui même s'il m'avait bien plu, n'avait cependant pas suscité chez moi le même enthousiasme, je me dois de le préciser.
Quand j'ai appris que Ken Follet sortait son nouveau bouquin et surtout quand j'ai connu le thème de ce dernier, je dois reconnaitre que cela a déclenché en moi toutes sortes de pensées toutes plus contradictoires les unes que les autres. En effet, au vu de mon budget livres assez important, je n'achète quasiment jamais les livres en grand format. Mais, là, après avoir hésité, atermoyé, essayé de me raisonner, écouté les conseils d'un certain Dgwigert (encore merci à lui de m'avoir fait définitivement craquer !! ), je me suis précipité dans une de mes librairies préférées.
Il m'a encore fallu quelques semaines avant que je ne me lance dans l'aventure de cette lecture, (au vu de la taille de ce pavé, il vaut mieux le lire quand on a un peu de temps libre ) et puis, voilà, ça y est, je l'ai terminé ! J'ai mis plus de temps que pour les Piliers de la Terre, n'ayant pas la chance d'être en congés en ce moment.
Me voici donc à la fin d'une lecture qui m'a transportée dans une période de l'Histoire que j'aime beaucoup : le 16eme siècle. (Pour être plus précise, l'histoire commence en 1558 et se termine en 1620).
On se retrouve donc à Kingsbridge, la ville fictive de Ken Follet qui a vu s'ériger la magnifique cathédrale, héroïne principale des Piliers de la Terre.
Cette fois ci, par contre, KIngsbridge est loin d'être le théâtre principal des aventures des nombreux héros de cette énorme fresque historique. L'auteur va nous emmener voir du pays : l'Angleterre bien sûr, la France, l'Espagne, les Pays-Bas et on a même droit à un petit tour en Écosse.
Le personnage principal est Ned Willard qui va se mettre au service de la princesse Elisabeth, future reine d'Angleterre. Il va faire partie du réseau de renseignements mis au point par Lord Walsingham, chef des services secrets. Ned Willard va vivre les grands évènements historiques de cette époque avec entre autres, le massacre de la Saint-Barthélemy à Paris, la défaite de l'invincible Armada et la conspiration des poudres. En effet, ici, la grande Histoire côtoie beaucoup la petite et les personnages ayant réellement existé sont fort présents.
On ne peut s'empêcher d'admirer le portrait de la reine Elizabeth et aussi celui de sa cousine et prétendante au trône Marie Stuart. Je connaissais bien sur la vie de Marie Stuart, fort bien romancée par Stefan Zweig, mais ici, l'auteur insiste aussi sur le fait que Marie Stuart a souvent agit de manière irréfléchie et n'a jamais su sortir de ses intrigues visant à lui assurer le trône d'Angleterre. Elle en payera d'ailleurs le prix…
C'est vrai que ce roman fourmille de nombreux personnages. le fait de connaitre assez bien cette période m'a surement permis de m'y retrouver sans trop de problèmes et puis, Ken Follet est tout de même un très bon raconteur d'histoires, il faut le dire.
Cependant, je ne peux terminer cette critique sans évoquer ce qui sera la ligne directrice de tout ce livre : les guerres de religions. A l'époque, ce sont les protestants et les catholiques qui s'affrontaient et j'ai la nette impression que l'Histoire a tendance à se répéter mais avec d'autres protagonistes qui sont tout aussi fanatiques….
Pour les parties se déroulant en France, je n'ai pu m'empêcher de penser à Robert Merle et sa saga Fortune de France…. Pour un peu, je relirai bien les aventures de Pierre de Siorac….
Pour terminer, je dirais que j'ai beaucoup aimé cette lecture même si elle ne m'a pas autant transportée que les piliers de la terre….

Challenge Pavés 2017. Édition spéciale contre l'illettrisme
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"Les piliers de la terre" m'avaient tellement enchanté que je n'avais jamais osé lire la suite (Un monde sans fin), car elle ne se déroulait plus avec les mêmes personnages.

Sans la proposition de Bianca pour une LC, j'aurais zappé cette 3ème partie aussi, ce qui aurait été dommageable tant elle était aussi bonne que le premier tome.

Attention, c'est un sacré pavé ! Ne le laissez pas tomber sur votre pied, vous le casseriez.

Une fois de plus, Ken Follet nous emmène dans sa ville fictive de Kingsbridge en 1558, deux siècles après le premier tome et, aux travers de ses 928 pages, il nous conduira jusqu'à la conspiration des poudres en 1605, pour terminer son récit en 1620.

Durant tout ce périple, nous suivrons des personnages sympathiques, des enfoirés de salopards de première, des monarques, des hommes de pouvoirs, des religieux, des peureux, des courageux, des veules, des magouilleurs, des flagorneurs, des menteurs, des assoiffés de pouvoir,…

Une sacré palette, je vous l'avoue, mais impossible de confondre deux personnages ensemble tant ils sont différents physiquement et mentalement.

Dans leurs pensées, leurs paroles, leurs actes, j'ai trouvé que tout ce petit monde était bien en adéquation avec cette époque, entre les timorés qui craignent de pécher et d'irriter Dieu, ceux qui sont heureux que le curé de la paroisse ou l'Église les ait absous de leurs crimes passés et futurs, tout le monde était d'une justesse qui ferait sourire à notre époque, si nous croisions de telles personnes avec de telles pensées.

Oups, j'oubliais, on en a toujours dans nos sociétés… Tout aussi fous et fanatiques, hélas. Dieu, comme les religions, sont toujours de bons prétextes : quand on veut noyer son chien, on dit qu'il a la rage.

Impossible de s'embêter, et même pour celui qui n'aime pas trop l'Histoire car Follet a un talent fou pour nous immerger dedans sans nous dégoutter, sans que l'on voit le temps passer, avalant les guerres de religions entre catholiques et protestants, se passionnant pour les guerres de trônes (même sans les Stark, les Lanister ou les Targaryen), suivant avec passion la diffusion dangereuse des bibles en langue anglaise (seul le latin était admis), tremblant pour les personnages les plus emblématiques, les plus empathiques, croisant les doigts que les salopards s'étouffent en mangeant.

Les guerres de religions ne datent pas de maintenant, chacun aimant souligner que son culte est meilleur que celui de l'autre, qu'il vénère Dieu mieux que l'autre, qu'il respecte mieux les règles que son voisin,…

Les textes religieux ont de belles choses en eux, des plus dures aussi, les religions devraient nous élever et à la place, elles ne sont jamais que le prétexte pour certains d'obtenir plus de pouvoir, plus d'argent, plus de place au paradis, oubliant qu'il est plus facile à un chameau de passer par le chas d'une aiguille qu'à un riche d'accéder au royaume des cieux.

L'auteur ne prend jamais position pour l'une ou l'autre faction, les catholiques ont leurs défauts, les protestants aussi, chacun reprochant à l'autre ses propres péchés, ses propres exactions, reproduisant les crimes des autres, le tout débouchant sur un bain de sang lors de la Saint-Barthelemy.

Ken Follet reste neutre, même si aux travers de ses personnages, il nous livrera quelques petites réflexions très juste.

Pour le reste, il nous donne les faits, à vous de prendre position si vous le désirez, ou pas, parce qu'entre nous, les torts sont partagés et je n'ai pas croisé un dirigeant pour en relever un autre. Même si certaines dirigeantes furent plus tolérantes que d'autres.

Un style d'écriture qui passe tout seul, pas ostentatoire, pas pédant, simple mais pas simpliste, une fresque magistrale, un voyage dans le temps exceptionnel, des personnages attachants (ou à tuer), travaillés, qui vous donneront une autre vision de l'histoire, qu'elle soit avec un H majuscule ou pas.

Parce que le passé éclaire souvent le présent, qu'il pourrait éviter de reproduire les mêmes erreurs d'antan, et que le fait de lire ce roman fera que vous vous coucherez moins bête (mais vous vous coucherez quand même).

Et puis, pourquoi se priver du plaisir de lire une grande fresque Historique aussi bien contée ? D'ailleurs, je vais me faire le tome deux, maintenant que je suis rassurée sur le fait que Ken Follet peut encore me faire vibrer avec d'autres personnages.

Mais pas tout de suite, ceux-ci sont encore trop présent dans mon coeur.

Lien : https://thecanniballecteur.w..
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C'est avec une immense joie que j'ai retrouvé la fresque de Kingsbridge.Toujours les mêmes ingrédients depuis les piliers de la terre et cela fonctionne toujours aussi bien.
Une fresque familiale, l'aventure, l'action, la rivalité, le tout remis dans le contexte de la grande histoire .C'est un peu comme suivre un cours d'histoire tout en étant plongé dans l'action.
On voyage à travers l'Europe et le monde. On se captive pour l'histoire et on dévore le livre.
Une grande réussite encore une fois. On attend la suite avec beaucoup d'impatience…
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Une fresque historique de plus de 900 pages, un aperçu du seizième siècle et de ses guerres de religion.

Il y a un peu d'Inquisition espagnole, puis les affrontements sanglants entre les catholiques et les protestants, en Angleterre, en France et aux Pays-Bas avec en sourdine l'influence du Vatican qui excommunie et tente d'influencer les successions. Il y aura Élisabeth et Marie Stuart, Catherine de Médicis et la maison de Guise, on croisera l'Invincible Armada et le sang coulera dans les rues de Paris.

L'écriture est captivante, on tourne les pages avec plaisir et la principale difficulté de lecture est celle du poids de cette brique! L'auteur ajoute des amours et tisse habilement des intrigues autour de ses héros.

Une seule chose me gêne un peu : l'importance que Follett donne à ses personnages fictifs. Cela me gêne, car quand je lis, j'aime bien apprendre des choses et là, il ne faut surtout pas que je retienne que le responsable du massacre de la Saint-Barthélemy, c'est Pierre Aumande de Guise et que c'est Rollo Fitzgerald qui a monté « conspiration des poudres » qui a été éventée par Ned Willard…

Un pavé intéressant, qui plonge de lecteur dans la trame de l'histoire, mais il faut chercher ailleurs pour comprendre ce qui relève de l'Histoire ou de la fiction romanesque.
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J'ai tardé un peu pour entamer la lecture du dernier roman de Ken Folett, à cela plusieurs raisons : tout d'abord , ma déception en lisant la trilogie précédente, le Siècle, j'ai arrêté d'ailleurs au Tome 2 , donc j'éprouvais une certaine angoisse de trouver un manque de renouvellement de l'auteur , et puis en dernier, la taille (ou plutôt le poids) de l'ouvrage ...

Les premières pages n'ont pas contribué à me rassurer car les recettes sont toujours les mêmes : des adolescents qui s'aiment et dont les familles refusent l'union, des jeunes hommes rivaux dont on sent d'emblée que ce sera à vie et que on va assister jusqu'à la fin à leur combat , d'honnêtes commerçants ruinés par des gens peu scrupuleux .

Mais pour ceux qui aiment l'histoire, comme moi, c'est une plongée assez ahurissante dans le XVI ème siècle et ses guerres de religion en France, en Angleterre , en Espagne et aux Pays Bas ainsi que la lutte pour la couronne d'Angleterre entre Élisabeth Tudor et Marie Stuart .

Bien sûr, la rivalité entre la famille Willard , protestante représentée par Ned, sorte d'embryon de James Bond au plus haut placé dans le Service Secret de sa Majesté , la reine Élisabeth I et la famille Fitzgerald , catholiques intolérants avec le fils Rollo aux premières loges de tous les mauvais coups avec son équivalent français Pierre Aumande prend les premières places dans la saga historique mais avouons quand même que les divers événements cruciaux de cette époque si tourmentée sont très bien documentés , même si je garde un faible pour Alexandre Dumas et sa Reine Margot et si on survole un peu les bases du déclenchement du massacre de la Saint Barthélémy par exemple mais cela se veut un roman et non un essai historique ne l'oublions pas .

Bref, j'ai finalement avalé les pages avec avidité jusqu'à la lie ...

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Mon premier Ken FOLLETT de l'année ; nominal 900 pages, bien documentées où L Histoire se mêle à la vie de nos personnages. Comme dans la plupart des romans de l'auteur, on voyage beaucoup. Dans celui-ci c'est entre l'Angleterre, l'Ecosse, l'Espagne , la France et les Pays-Bas.
Peu de surprises dans ce livre, puisqu'il suit assez linéairement la fin du XVIème siècle et le début du XVIIème. Il faut pourtant reconnaître qu'on s'ennuie rarement dans ces romans tant la recherche documentaire est précise et l'écriture rend la lecture agréable. On est plongé dans les guerres de religion qui secouent toute l'Europe entre Chrétiens Catholiques et Chrétiens Protestants ou Huguenots. Je n'avais jamais réellement réalisé à quel point les haines et les intolérances religieuses étaient si clivantes , longues et dramatiques. En résumé un bon roman de vacances.
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Quelle fresque historique! Et quel pavé! Une colonne de feu m'aura accompagné durant de nombreuses heures de lecture. Et si on sent les pages se tourner, le contenu est riche, en aventure, en émotion et en faits historiques. Je ne doute pas qu'il y a derrière un gros travail d'historien et j'ai pris beaucoup de plaisir à suivre l'époque d'Elizabeth Iere, une époque secouée majoritairement par les guerres de religion. Car la religion est bien le maître-mot de cette histoire. Elle influence tout : des mariages entre individus à la politique internationale. Elle concerne également toute l'Europe. Ken Follett ne se borne pas à Kingsbridge mais nous fait voyager en Angleterre, en Ecosse, en France, dans les Pays-Bas, en Espagne et même dans ses colonies. Si la lutte semble au premier abord concerner catholicisme / protestantisme, on se rend bien compte, comme le dit le personnage de Margery, que c'est surtout une histoire entre la tolérance et la tyrannie.
Ken Follett m'a fait vivement apprécié certains personnages historiques, à commencer par la reine Elisabeth I ere et également dans une moindre mesure la reine-mère Catherine de Médicis. Ses personnages, fictifs comme historiques, sont riches. Mon préféré reste bien entendu celui de Ned Willard que l'on suit toute sa vie... Si bien qu'il est difficile de le quitter au crépuscule de sa vie aux dernières pages.
Et comme je fais tout à l'envers, il semblerait qu'il soit le lointain descendant des bâtisseurs des Piliers de la Terre. Y a plus qu'à! Il faut que je me procure ce roman renommé!

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Encore une splendide fresque historique que l'on doit à Ken Follett!
Je serai toujours admiratif devant la capacité que possède cet auteur de réussir à plonger le lecteur dans un récit si dense, sans que l'on s'ennuie une seule fois.
Sur une soixantaine d'années, j'ai suivi les destinées de dizaines de personnages, de leur adolescence jusqu'à la fin de leur vie. Et ce qui est vraiment remarquable, c'est que je ne me suis jamais emmêlé les pinceaux pour retrouver qui est qui, même durant plusieurs intervalles de lecture. C'est réellement une des forces de Ken Follett, réussir à nous faire ressentir une totale empathie pour les personnages, tous teintés de nuances dans leurs comportements.
De plus, j'ai trouvé que sa capacité de narration est toujours aussi efficace. En dépit de plus de mille pages et de très longs chapitres, ce roman se dévore très rapidement.
Et c'est l'occasion de prendre un cours de l'histoire européenne des XVIe et XVIIe siècles. Entre Angleterre, France, Espagne, et j'en passe, le tour de force impressionne. J'ai même apprécié le traitement que fait l'auteur d'épisodes que les lecteurs français connaissent, comme le massacre de Vassy, ou la Saint-Barthélemy.
Quant à la fin, si elle annonce un quatrième opus de la grande saga de Kingsbridge, je n'en serai que plus ravi!
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J'avais eu une légère déception avec "Un monde sans fin", mais me voilà rassurée avec "Une colonne de feu". Là où je trouvais le précédent un peu trop caricatural et léger en fond historique, ici je suis comblée.
Moins de manichéisme je pense ici (même si les méchants sont vraiment méchants, et les gentils bien gentils). Il y a des personnages plus nuancés, ou au moins des causes qui paraissent valables des deux côtés (même si clairement, c'est le parti des protestants qui est adopté ici). Les protestants sont globalement vus du côté des gentils, mais certains comportements extrémistes sont montrés. Et également, les catholiques sont clairement les méchants, mais Margery, par exemple, apporte de la nuance.
D'ailleurs, côté politique, là est le fond du roman. La politique et la religion, indubitablement liées à cette période. La lutte entre catholiques et protestants, tant en Angleterre qu'en France, est particulièrement prenante. Les ponts entre ces deux pays, l'Espagne, les Pays-Bas et les Antilles, bien qu'un peu artificiels, rendent très cohérent l'ensemble et en font une lecture très agréable.
Les personnages s'inscrivent dans ce fond, le servent, et non pas l'inverse. Cela m'a plu de suivre les intrigues. Alors c'est une fiction, il y a donc des ajustements avec la vérité, un parti pris, un point de vue. Mais on le sait ça, au lecteur d'accepter d'être devant un roman, donc pas forcément totalement fidèle à l'histoire (même si j'ai l'impression que c'est plutôt réussi de ce côté là).
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Comme dans "Un monde sans fin", il ne s'agit pas d'une suite à proprement parler du tome précédent, c'est juste le même lieu, quelques décennies plus tard, les descendants des personnages et de nouvelles problématiques. Si dans le tome 1 il s'agissait des cathédrales, dans le tome 2 du commerce et de la peste, ici on est en plein dans les guerres de religion.
Comme à son habitude, Ken Follett mélange allègrement et fait se rencontrer personnages historiques et de fiction : Marie Stuart, les Guise, les Valois, les princes côté français et côté anglais. Mais aussi des familles de Kingsbridge, où catholiques et protestants ne vont pas tarder à se heurter...

Certes, comme souvent, c'est un peu manichéen, pas de risque de se tromper entre gentils et méchants. La foule des personnages est un peu rude à suivre au début, mais l'auteur est habile, il les replace toujours dans le contexte, pas besoin de revenir au début du livre à chaque fois.

J'ai aimé l'ambiance, le rythme (alternance de chapitres centrés sur différents personnages), l'écriture ne casse pas des briques mais ce n'est pas ce qu'on en attend.
Un bon moment de lecture, sans longueurs malgré la longueur !
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