Ne tirez pas sur l'oiseau moqueur (BD)

BD bouleversante…
L'histoire illustrée par Fred Fordham est fort bien connue : Ne tirez pas sur l'oiseau moqueur n'est autre que le fameux livre d'Harper Lee couronné du prix Pulitzer en 1961.
Il n'était donc pas évident de mettre ses mots en images sans dénaturer l'histoire ou les personnages.
Fred Fordham réussi le pari, donnant encore un autre souffle, s'il en fallait, à ce livre essentiel de la littérature américaine.
Illustrations, dialogues tout est travaillé au millimètre près et respecte l'ouvrage de référence.
À lire et relire, en prenant soin de regarder les illustrations dans leurs détails…
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TU N'AS PAS LU NE TIREZ PAS SUR L'OISEAU MOQUEUR !!
J'avais l'impression de vivre sans électricité ni eau courante ..j'avais pourtant tenté ,puis vite abandonné .

La version BD m'offrira-t-elle une deuxième chance de découvrir "une inoubliable histoire de courage et de conviction sur le devoir d'agir quel qu'en soit le prix" selon Barack Obama.

Désolée mais cette américanade m'a parue tellement classique, dégoulinante de bons sentiments.
Ici les bons, là, les mauvais, et en avant toute!

J'aurais pu continuer à vivre sans.

Cette histoire est un grand classique de la littérature américaine écrit en 1960 et qui nous plonge au coeur du sud des Etats-Unis, dans l'Alabama, dans les années 30, quand les noirs et les blancs vivaient séparés.
La narratrice, Scout, est âgée d'une dizaine d'années, elle vit à Maycomb avec son grand frère Jem, leur père veuf et leur gouvernante Calpunia. C'est l'été, le temps de l'innocence et des jeux avec Dill, le petit voisin, ils construisent des cabanes, se font peur en passant devant la maison du mystérieux Boo Radley… Leur père, Atticus Finch, est un avocat qui défend le plus souvent des causes perdues. le regard d'enfant de Scout et Jem va changer le jour où ils assistent au procès où leur père défend un homme noir, accusé à tort de viol sur une femme blanche.
L'adaptation de ce roman initiatique qui incite au respect, à la tolérance et à l'amitié est magnifiquement réussi. Fidèle au texte, on ne peut s'empêcher de retrouver également des images du film « du silence et des ombres » adaptation au cinéma de Robert Mulligan en 1962, avec Grégory Peck qui recevra l'Oscar du meilleur acteur.
Une bande dessinée idéale pour faire connaître cette oeuvre et donner envie de lire l'original !
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Cette adaptation est une belle manière de découvrir ce roman. J'avais tenté la lecture du roman, mais avais eu beaucoup de mal à entrer dans l'intrigue. Je l'avais donc abandonné avant même le début du procès. Il faut dire que l'intrigue met du temps à s'installer. Ici, le travail de l'illustrateur m'a permis de me plonger plus aisément dans ce roman. Les illustrations colorées sont magnifiques et rendent hommage au roman. le point de vue adopté, celui des enfants, est aussi ce qui rend ce roman original. Leur esprit libre, sans a priori, en font les parfaits messagers de la justice pour tous et de la lutte contre le racisme.

J'avais adoré le roman et j'ai adoré cette BD avec un dessin magnifique. Un vrai plaisir

Quelle bonne bande dessinée ! Je n'étais plus certaine d'avoir lue ce livre, qui pourtant "demeure à ce jour l'un des livres les plus aimés des lecteurs du monde entier", dit le revers de la couverture, et à défaut, j'ai pris cette BD. J'espère aussi faire lire à mon ado des classiques. Les dessins sont agréables, l'histoire est fluide et bien rythmé, j'ai passé un très bon moment. Maintenant j'ai envie de lire le roman !

Quelle claque visuelle ! J'avais déjà adoré le roman d'Harper Lee lorsque je l'avais lu, et ce roman graphique n'a fait qu'agrandir mon amour pour celui-ci. Il lui rend vraiment justice, le texte étant presque à chaque fois directement tiré du roman. le travail de Fred Fordham est merveilleux, ce sens du détail, le choix des couleurs... J'ai été captivée du début à la fin. Ceux qui ont apprécié le roman original adoreront cette adaptation graphique, j'en suis sure (de même pour ceux qui ne l'ont pas lu 🙊).

j'ai lu l'adaptation de Ne Tirez pas sur l'oiseau moqueur dans le cadre de mes études, j'avais jamais d'adaptation d'oeuvre littéraire en BD et ce fut une grande surprise.

J'avais lu pour la premiere fois NE TIREZ PAS SUR l'OISEAU MOQUEUR en 2018, ça été un gros coup de coeur Un classique incontournable que tout etre humain devrait lire, harper lee nous offre à travers ce roman une vraie leçon au civisme, une référence à l'humanité à l'honneur. en lisant l'adaptation je ne m'attendais pas a aimé autant.
Fred Fordham reprend l'oeuvre d'harper LEE intégralement et l'adapte en BD certes il y opère quelques modifications mais sans changer pour autant l'oeuvre original. j'ai retrouvé Jem et Scoot, capulnia, Dill et surtout Atticus

L'illustrateur certes remplace la plume d'harper Lee par le dessin mais ne fait pas perdre à l'oeuvre son charme bien au contraire les dessins sont juste magnifiques, le choix des couleurs est compte à lui très réfléchie , des les premières pages on est embarquée pour un séjour aux USA des année 30, l'illustrateur résume quelques fois tout un passage de l'oeuvre De LEE par le dessin cela peut parfois mais dans ce cas la le dessin vient renforcer la puissance du texte d'Harper LEE, il fait renaître cette oeuvre de nouveau.

PLUS D'EXCUSE POUR NE PAS LIRE NE TIREZ PAS SUR L'OISEAU MOQUEUR, l'illustrateur représente à merveille l'univers de l'oeuvre original d'Harper LEE, j'ai adoré un de mes coups de coeur pour cette année, je vous le conseille vivement même pour ceux qui ont déjà lu l'oeuvre original cette adaptation graphique vaut vraiment le détoure, c'est le genre de cadeaux à offrir je suis sur qu'il plaira!!!!
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Lecture imprévue et coup de coeur inattendu, j'ai eu la chance de découvrir un double chef d'oeuvre grâce à une de mes professeur.e.s qui m'a prêté ce roman graphique. Couronné par le prix Pulitzer en 1961, le roman To Kill a Mockingbird (Ne tirez pas sur l'oiseau moqueur en français) d'Harper Lee vient de faire l'objet d'une excellente adaptation en bande dessinée par Fred Fordham. Une magnifique façon de découvrir l'oeuvre, pour ceux qui – comme moi – ne l'avaient encore jamais lue, ou tout simplement de s'y replonger.
To Kill a Mockingbird est avant tout un récit terriblement prenant. Maycomb, Alabama, début des années 1930 : Atticus Finch, avocat notable de cette bourgade, élève seul ses deux enfants, Jeremy (Jem) et Jean Louise (Scout). le quotidien de ces derniers est rythmé par l'école, leurs jeux et surtout l'attente impatiente des vacances où ils peuvent enfin retrouver leur ami Dill qui les rejoint pour l'été. La vie suit son cours tranquille, mais tout est sur le point de changer quand Atticus est amené à défendre un homme noir accusé de viol sur une jeune fille blanche. La petite ville est ébranlée par l'affaire et, à l'heure de la ségrégation raciale, les langues des habitants se délient. La vie de la famille s'en retrouve radicalement changée.
Toute l'intensité de ce texte réside là. Tel un huis-clos, Maycomb est le théâtre de ces événements qui ne débordent jamais de la ville. Ce cadre strictement respecté confère alors à l'histoire un caractère intimiste qui achève de nous captiver. Comme si nous étions chez nous là-bas aussi, que les personnages étaient nos voisins… La petite bourgade, ses habitants, leurs habitudes et même leur étroitesse d'esprit parfois nous semblent vaguement familiers. Par ailleurs, on s'attache énormément aux protagonistes : Atticus impressionne, Scout nous attendrit, Jem nous interpelle… Tant et si bien qu'on a du mal à quitter leur compagnie à la fin de l'histoire.

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L'occasion de me replonger en image dans un texte que j'ai adoré. C'est une réinterprétation très fidèle, qui suit le déroulé de l'oeuvre de Harper Lee en proposant un univers graphique qui vient très à point la compléter. On revit toute l'émotion ressentie en lisant ce roman poignant. Je n'ai toutefois pas été aussi transportée qu'en découvrant le texte. Cela donnerait presque envie d'aller carrément le relire !