Tout d'abord, je tiens a remercier Babelio et les Éditions Alto, pour l'envoi de ce roman dans le cadre de la Masse Critique spécial Québec.
Lucy, catholique, a la croyance qui s'effrite !! Il suffira, par contre, que de quelques phrases de son cousin, sur son lit de mort, pour que tout revienne... ou pas !! A partir de ce moment passé au chevet de son cousin, d'étranges choses commencent a se produire. Lucy devient l'oreille suprême, pour les confessions en tout genre... et quand je dis en tout genre, c'est bien en tout genre. Confidences, secrets, aveux, elle aura droit a tout.
Bien qu'il y ait quelques moments cocasses, j'ai trouvé, au final, ce livre un peu plat. Difficile de m'identifier au personnage de Lucy, et encore moins, a tous les autres qui composent ce bouquin. Certains passages sont très longs, même si, un certain rythme est donné par l'auteur. J'ai refermé la dernière page du bouquin, en me disant, enfin... et tout ça, pour ça !!! Il faut quand même reconnaître que l'idée est originale, et rien que pour ça, je suis contente d'avoir eu la chance d'avoir ce livre dans les mains... Et puis, qui sait, vous y prendrez peut-être plus de plaisir que moi a la lecture. Tous les goûts sont dans la nature !!
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Le roman, très touffu, satire distopique à l’écriture parfois surréaliste, prend la forme d’un pavillon des miroirs où on perd parfois ses repères, de poupées russes qui s’emboîtent sans fin, où le passé et le futur tourbillonnent, interchangeables. (...) Une lecture fascinante, mais difficile ; on a l’impression, une fois la dernière page tournée, qu’il faudrait relire le roman plusieurs fois pour en comprendre toutes les fines interconnexions.
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Une plume foisonnante, qui offre un roman à plusieurs facettes qu’on voudra relire pour en saisir toutes les subtilités. Fabuleux !
Lire la critique sur le site : LActualite
Joyce est de nouveau déprimée, les adorables pandas géants s'étant évanouis dans les brumes du bourbon.