L'on est de tout coeur porté par cette oeuvre un vibrant solennel hommage tout à l'honneur des montagnes, belles toujours altières et toutes de magnificence .leurs vastitudes leurs espaces l'immensité offert de leur silence intégral, magistral nous soulève d'une égale émotion
Un panel d'émotions il est vrai à l'image des liens, profonds indéfectibles des deux acteurs en présence en but à leurs problèmes les barrières innombrables à devoir dépasser
Sans nul doute l'on est acquis à sa démarche la leur en quête de leurs réelles vérités à se recréer
Bel ouvrage une belle oeuvre pure simple .une éthique de vie dans un cadre privilégié
Sauvage indomptable l'alpage et les hauteurs vertigineuses les surplombant qui vous incite à chausser vaillamment ses brodequins
adaptés pour entamer une marche sur ses pas
au final arriver à apaiser ses contradictions indomptées pour s'apprivoiser à chaque pas sur le sentier
On clôturerait ce beau tres beau livre en regrettant déjà le refermer
Mais ses descriptions les rêves déjà encore dans les yeux et en notre coeur
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Un récit très bien choisi pour la collection plaisir de lire. Deux histoires en parallèle l'une en 1863 et l'autre de nos jours dans le décor montagnard de Finhaut - Salvan. Un mélange judicieux d'histoire d'amour, de roman historique et d'intrigue policière. En effet le point de départ est la mise sur pied d'une expo d'un peintre anglais Milton qui a passé des vacances dans la région et la découverte d'un journal intime datant de cette époque. le côté historique est vraiment intéressant : condition féminine, lutte politique entre plaine et montagne, radicaux et conservateurs, émigration de familles qui n'arrivaient pas à survire en Suisse. En conclusion : un bon moment de lecture. GB
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Deux histoires superposées dans le temps font de ce livre un beau roman.
Avec une pointe d'histoire et de réalité, malheureusement bien crue vécue à l'époque.
J'ai beaucoup aimé l'écriture et me suis totalement laissée emporter par les personnages.
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Anna avait confié à Raymond ses inquiétudes au sujet de sa cadette. Elle n'arrivait plus à la comprendre. Elle avait déjà tout tenté. Avec l'assistance de jeanne, elle conjura sa plus jeune fille de se confier à elles. Rien n'y fit. Suite à des vaines tentatives, Jeanne exaspérée en était même arrivée à pincer cruellement le bras de sa sœur pour tenter de lui extorquer un son. La douleur fulgurante eut pour effet de faire ouvrir tout grand la bouche de Mathilde, grimace qui se transforma bien vite en rictus, Mais aucun son, hormis le souffle semblable à celui produit par le vent furieux que s'engouffre entre les volets disjoints ne sortir de cette bouche, tandis que de grosses larmes roulaient sur ses joues.
Payot - Marque Page - Manuela Gay-Crosier - Mon coeur dans la montagne