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4,04

sur 2755 notes

Critiques filtrées sur 1 étoiles  
Les morsures de l'ombre, un titre bien accrocheur, et j'ai vraiment craqué sur la beauté de la couverture. Eh oui, on aura beau dire, même si seul le contenu devrait compter, ce qu'on voit en premier c'est l'emballage. En plus, l'auteure, Karine Giebel est portée aux nues, l'histoire semble passionnante, je m'apprête donc à découvrir un petit bijou. du moins c'est ce que je croyais.
Mais si mes attentes étaient plutôt élevées, ma déception a atteint le niveau des pâquerettes. Un huis-clos... ce n'est pas le genre le plus facile à maîtriser et n'est pas Stephen King qui veut.
L'histoire démarre pas trop trop mal, je me lance donc dans ma lecture. Et au fur et à mesure que les pages se tournent, j'attends quelque chose qui puisse m'accrocher, je ne sais pas moi, des rebondissements qui amèneraient quelques palpitations, un style hors du commun qui sortirait ce bouquin du lot, quelque chose, n'importe quoi... mais en vain. Il ne s'est rien passé qui me fasse dire que c'est un bon bouquin.
L'intrigue est bof, fatalement, un huis-clos mal écrit dans lequel il ne se passe rien, on en a vite fait le tour. Les personnages, on s'en tape complètement, ils ne m'ont absolument rien inspiré, ni sympathie ni antipathie. J'aurais lu le bottin ça m'aurait fait le même effet. On passe dans la tête d'un protagoniste à l'autre d'une manière très mal imbriquée, ce qui donne un rythme saccadé et mal maîtrisé.
Le style... tout comme les personnages, bourré de clichés, plat, sans relief. J'irais même jusqu'à dire lourd, et un écrit qui manque de fluidité, pour moi ça ne passe pas. La ponctuation n'aide pas, du reste. Il n'est pas forcément utile d'en respecter les règles à la lettre, beaucoup d'auteurs s'en dispensent pour apporter quelque chose au rythme du livre. Là, ça hache le récit, c'est tout.
Voilà pour mon incursion dans la bibliographie de Karine Giebel. Je me suis juré qu'on ne m'y reprendrait plus avec les commentaires dithyrambiques sur cette auteure, après avoir vu tous les éloges sur ce bouquin.
Désolée pour les fans, je ne reproche à personne d'aimer, je pense que les gens sont sincères, mais personnellement, je passe mon tour.
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Comme le temps m'a paru long, comme j'ai eu le sentiment de perdre quelques heures (heureusement la lecture est rapide) précieuses pendant lesquelles je pourrais faire quelque chose d'utile...

Je me suis ennuyé. Et si je n'avais eu à coeur de participer au Challenge Solidaire 2023, "pour la bonne cause", j'aurais abandonné cet ouvrage insipide maintes fois.

Je renvoie le lecteur à toute une série de critiques qui résument adéquatement le roman. Je ne vais pas m'apesantir. J'ai eu l'impression de me retrouver dans un téléfilm d'une chaîne câblée, façon série B (C, D, E...) fleurant bon le carton-pâte et les effets spéciaux bon marché. Et devant un tel spectacle navrant et désolant, je me serais endormi ou j'aurai été me pieuter avec un vrai bon bouquin.

Je me suis retrouvé au milieu de la salle lors de la Nuit du Film Fantastique de Bruxelles à hurler "mais pourquoi est-elle si méchante", à quoi la salle répond "PARCE QUEUUUUUUUUU".

Que dire? Karine Giebel décrit abondamment tout, elle se répète, se re-répète, se re-re-répète, des fois que le lecteur n'aurait pas bien saisi. de mes ateliers d'écriture, j'ai gardé le mot d'ordre qu'il faut "donner à voir", suggérer, ressentir... et non montrer et décrire... Cette surabondance d'effets nuit franchement au climat. Je n'y ai pas cru une seconde, pourtant je suis bon public. Pire... la technique de Karine Giebel est faite de dialogues à 95%. C'est la solution de facilité par excellence. Mais cela ne crée rien de durable. J'ajouterai que les personnages sont incohérents, que malgré que l'on voit tout venir à des kilomètres, Karine Giebel trouve encore le moyen de nous expliquer par 3 fois les rouages d'une intrigue aussi fine qu'une feuille de papier à cigarettes.

Deuxième roman de Giebel, et même constat.
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Il est des "genres" littéraires bien périlleux ; le huis-clos en est un. Il nécessite de la maîtrise, une intrigue au cordeau, des personnages irréprochables et un style parfait. Malheureusement, le roman de Karine GIEBEL manque de tout cela.... http://macuisinerouge.canalblog.com/archives/2008/03/17/8339486.html
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De la même auteur j'avais seulement lu "Purgatoire des innocents" que j'avais trouvé très moyen (sanguinolent sans nuance) ; j'ai exhumé "Les morsures de l'ombre" d'un placard chez mes parents. Allez deuxième chance (ou plutôt seconde, en l'occurrence !)
Le style est toujours aussi faible, servi par un vocabulaire restreint (quand il n'est pas erroné). L'histoire aurait pu être intéressante, mais il aurait fallu une maîtrise certaine du "thriller". Là, il ne se passe quasiment rien, ou plutôt un sempiternelle leitmotiv répété ad libitum, en forme de huis-clos, et pour casser la ritournelle, quelques "à-côtés" en forme d'enquête policière qui piétine allègrement d'incohérences en pseudo-fausses pistes. Ne parlons pas du double retournement final, d'une improbabilité dépassant la possibilité de trouver un neurone fonctionnel dans l'encéphale d'un chroniqueur TV … le tout enrobé dans beaucoup de remplissage pour faire de la page ! Un livre de commande, peut-être ?
Bon, allez, retour au placard …

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Déception

Une histoire de vengeance, de plusieurs vengeances. Mais que je n'ai pas trouvée maîtrisée du tout... Un manque de profondeur, de psychologie des personnages. Des soucis de cohérence, un problème de vraisemblance. Comme si l'auteur avait eu un tas d'idées et au lieu d'en sélectionner une ou deux, avait tout mis dans un sac et secoué le tout un bon coup !

Des personnages creux, des dialogues simplistes, manquant de maturité. Un style d'écriture basique et parfois curieux, alternant le « il » et le « je » sur une même page. Pas de vie dans ce roman, pas de rythme. Bref... Sans intérêt pour moi.
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J'ai eu envie de lire ce livre après en avoir vu une critique enthousiaste sur le forum Vendredi Lecture. Je n'ai plus lu de polar depuis un moment et j'étais contente de renouer avec mon genre favori, mais je dois dire que je n'ai pas aimé ce livre, même si je l'ai lu jusqu'au bout.

Le commandant Benoit Lorant du commisariat de Besançon se réveille au fond d'une cave. Il se souvient d'avoir suivi une belle jeune femme rousse, de l'avoir embrassé et c'est le trou noir. Il collectionne les maîtresses et se demande pourquoi cette femme l'a emprisonné au fond de sa cave.

Lydia a décidé de mettre tous les moyens en oeuvre pour lui faire avouer un crime, car elle l'accuse d'avoir violé et tué sa soeur jumelle 15 ans auparavant. Elle l'affame, le torture de diverses manières. Benoit est innocent, mais il finit par entrer dans son jeu pour protéger sa famille quand Lydia le menace de s'en prendre à son fils..

Dans le même temps les collègues de Benoit mènent l'enquête pour le retrouver avec l'aide d'un policier venu tout spécialement de Paris. Les révélations se succèdent sur la vie de Benoit et les dessous peu honorables de la vie à Besançon.

La plus grande partie du roman décrit le huis clos de Lydia et de Benoit, et en particulier la descente aux Enfers du policier prisonnier de cette femme perturbée.

Il y a très peu d'action et le roman se veut un thriller psychologique. On se demande jusqu'au bout si Benoit sera sauvé par ses collègues ou non. L'identité du commanditaire de l'enlèvement est la seule vraie surprise du livre.

Ce qui m'a particulièrement déplu est le côté trash et sanglant de ce roman. L'auteur semble se complaire à nous décrire par le détail les tortures infligées au héros, qui n'en est pas un du tout dans sa vie.



Lien : https://patpolar48361071.wor..
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Cela faisait un long moment que j'avais ce roman dans ma bibliothèque. J'ai rencontré il y a peu une lectrice qui m'a dit être fana de cette auteure alors je me suis laissée tentée.

Comment dire?
J'avais sûrement beaucoup d'attentes et finalement aucune n'a été comblée: d'où ma note très catastrophique (je crois que c'est l'une des rares...)!
L'intrigue est rapidement mise en place mais qu'est-ce que le rythme est long, nul et tourne en rond... A chaque chapitre j'ai l'impression qu'on se répète et que le calvaire raconté n'est qu'une copie conforme à chaque fois. Les dialogues sont plats et pas vraiment recherchés.
Tout arrive sans avoir de sens et ça paraît tellement faux. le mobile ne tient pas debout et alors la fin est l'apothéose de l'ennui et des fins qui ne riment à rien!!!

Je ne m'attarderai pas de sitôt sur cette auteur! Je pense que j'ai eu d'autres découvertes de polars beaucoup plus intéressantes!!!!
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Plutôt à contre-sens de l'avis général, voilà roman que je n'ai vraiment pas apprécié.
En cause : un style plat qui ne permet pas de contourner les difficultés liées à l'exercice du huis clos et, surtout, des stéréotypes à foison. Hormis le droit de souffrir en silence, de pleurnicher, de tomber éperdument amoureuses, point de salut pour les personnages féminins. Plutôt gênant…Avec, pour conséquence, des situations et un dénouement assez ridicules.
Bref, ce livre n'était pas pour moi.
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Benoît se réveille dans un endroit sombre… Une femme avec qui il a passé la nuit , le retient prisonnier et lui faire avouer un meurtre et pour cela, elle est prête à tout…

Ce n'est pas le premier Karine Giebel que je lis, mais le 5 eme , je me suis ennuyée . L'histoire était pas mal même si rien de nouveau puisque quelques années en arrière un certains Stephen King avait déjà eut l'idée ... Je n'ai pas apprécié le cote un peu trop vulgaire de Lydia, quant à benoît la description du personnage ne permets pas de s'attacher à lui, on ne ressent aucune émotion de sa femme et ses collègues ne sont pas mieux ... Les points positifs le roman est court et pendant les premières pages, je me suis demandée s'il était coupable ou pas (et puis la réponse est venue assez vite...) ... J'ai tourné les pages espérant arriver à la fin avec un rebondissement, mais ce ne fut pas le cas !
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"Un roman glacant, qui ferait passer le Misery de Stephen King pour un roman d'ados !"
Faux. (!!!) Rien à voir !
Écriture trop simpliste, qui se veut je suppose humoristique, et qui ne colle pas avec le résumé annoncé sur la 4è de couverture (ambiance angoissante, oppressante..)
Dur à lire et abandonné à mi-chemin.
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