Critiques filtrées sur 5 étoiles
Je viens tout juste de refermer ce livre et me voici donc de retour pour ma première critique en 2017. Et que dire d'autre que : Ce livre de Karine Giébel est mon premier coup de coeur de cette année !
J'avais adoré "Purgatoire des innocents" mais ici, il n'y a pas de superlatif pour exprimer ce que je ressens. Ce livre est tout simplement une bombe !
Je n'en dirai pas plus ! Que ceux qui apprécient cet(te) auteur(e) se jettent immédiatement sur ce chef d'oeuvre, si cela n'a déjà été fait, et que les autres n'hésitent surtout pas à se laisser emporter par ce récit.
J'en suis encore tout retourné !
Une chose est sûre, c'est qu'après une telle lecture, le prochain livre risque de me sembler bien fade ...
PS : Cette lecture m'a donné envie de refaire une petite partie d'un jeu de société appelé "Alcatraz : The scapegoat". Un bon jeu semi coopératif dont le but est de s'échapper d'une prison tout en sacrifiant un des joueurs (le bouc-émissaire) dans le but de faire gagner les autres .... Qui sera le bouc-émissaire??? Wait and see !
J'avais adoré "Purgatoire des innocents" mais ici, il n'y a pas de superlatif pour exprimer ce que je ressens. Ce livre est tout simplement une bombe !
Je n'en dirai pas plus ! Que ceux qui apprécient cet(te) auteur(e) se jettent immédiatement sur ce chef d'oeuvre, si cela n'a déjà été fait, et que les autres n'hésitent surtout pas à se laisser emporter par ce récit.
J'en suis encore tout retourné !
Une chose est sûre, c'est qu'après une telle lecture, le prochain livre risque de me sembler bien fade ...
PS : Cette lecture m'a donné envie de refaire une petite partie d'un jeu de société appelé "Alcatraz : The scapegoat". Un bon jeu semi coopératif dont le but est de s'échapper d'une prison tout en sacrifiant un des joueurs (le bouc-émissaire) dans le but de faire gagner les autres .... Qui sera le bouc-émissaire??? Wait and see !
Quand j'étais jeune, dans un cercle d'amis très restreint, nous avions tous un nom "scout".
Le mien était Frigidaire Chaleureux.
C'est tout vous dire sur ce qui est capable de m'émouvoir.
Ce matin, de 04:00 à 08:00, j'ai complété cette lecture et je me suis effondré, j'ai fondu, les larmes aux yeux.
C'est tout vous dire de l'effet qu'a eu cette lecture.
Le mien était Frigidaire Chaleureux.
C'est tout vous dire sur ce qui est capable de m'émouvoir.
Ce matin, de 04:00 à 08:00, j'ai complété cette lecture et je me suis effondré, j'ai fondu, les larmes aux yeux.
C'est tout vous dire de l'effet qu'a eu cette lecture.
Ouh là là quelle claque !
K. est un monstre !
Quelle écriture !
Quel personnage ! Marianne ...
Quels personnages ! Quelle galerie !
Ca tape fort, souple et juste. Mortel. J'ai envie de faire du karaté.
Marianne l'archange déchu...Quelle noire réussite ! Elle descend du ciel ou remonte de l'enfer pour faire table rase.
Sale folle ! "La mort dans le sang", condamnée à perpétuité, dans tous les sens du terme.
De tous les romans carcéraux que j'ai lus, c'est le meilleur, avec la nouvelle de King "Rita Hayworth et la rédemption de Shawshank".
Donc Marianne est condamnée à perpétuité -21 ans- pour double meurtre et d'abord c'est sa vie en prison. Je ne sais pas si c'est réaliste, mais à la limite je m'en fiche, car il y a avant tout une dimension métaphorique à cette description de la prison. C'est le monde, en condensé de pourriture, et de quelques traits de lumière.
Marianne rêve de liberté. Vaste réflexion sur la liberté. Marianne enchaînée peut-elle se déchaîner ? Certes. Mais il me semble qu'il y a un supplice où, plus on se déchaîne, plus les liens se resserrent. le nom de ce supplice, c'est peut-être la condition humaine. Enfin la condition de ceux qui ont un embryon de conscience.
Car bien sûr, les pires criminels, les reptiles à sang-froid, eux, ne sont jamais enchaînés, ni déchaînés...Mais c'est déjà trop en dire.
Bref, c'est trop foisonnant. Il y a trop de pistes de réflexion. C'est passionnant. Un personnage extraordinaire, hors de tous les clichés de genre, de caste, de déterminisme social. Une pure héroïne de tragédie. Folle, ultra-violente, cruelle, fleur-bleue, irrésistible, indestructible, immature, littéralement couverte de tous les hématomes des coups que le monde lui envoie et qu'elle renvoie en pleine tête...
Je suis sonnée.
Lisez-moi ça !!!!
K. est un monstre !
Quelle écriture !
Quel personnage ! Marianne ...
Quels personnages ! Quelle galerie !
Ca tape fort, souple et juste. Mortel. J'ai envie de faire du karaté.
Marianne l'archange déchu...Quelle noire réussite ! Elle descend du ciel ou remonte de l'enfer pour faire table rase.
Sale folle ! "La mort dans le sang", condamnée à perpétuité, dans tous les sens du terme.
De tous les romans carcéraux que j'ai lus, c'est le meilleur, avec la nouvelle de King "Rita Hayworth et la rédemption de Shawshank".
Donc Marianne est condamnée à perpétuité -21 ans- pour double meurtre et d'abord c'est sa vie en prison. Je ne sais pas si c'est réaliste, mais à la limite je m'en fiche, car il y a avant tout une dimension métaphorique à cette description de la prison. C'est le monde, en condensé de pourriture, et de quelques traits de lumière.
Marianne rêve de liberté. Vaste réflexion sur la liberté. Marianne enchaînée peut-elle se déchaîner ? Certes. Mais il me semble qu'il y a un supplice où, plus on se déchaîne, plus les liens se resserrent. le nom de ce supplice, c'est peut-être la condition humaine. Enfin la condition de ceux qui ont un embryon de conscience.
Car bien sûr, les pires criminels, les reptiles à sang-froid, eux, ne sont jamais enchaînés, ni déchaînés...Mais c'est déjà trop en dire.
Bref, c'est trop foisonnant. Il y a trop de pistes de réflexion. C'est passionnant. Un personnage extraordinaire, hors de tous les clichés de genre, de caste, de déterminisme social. Une pure héroïne de tragédie. Folle, ultra-violente, cruelle, fleur-bleue, irrésistible, indestructible, immature, littéralement couverte de tous les hématomes des coups que le monde lui envoie et qu'elle renvoie en pleine tête...
Je suis sonnée.
Lisez-moi ça !!!!
Waouh !!
Je viens juste de refermer ce roman, un pavé de plus de 900 pages, lu en.. 4 jours !!
Au début, j'ai eu un peu de mal à accrocher. Disons aux premières cinquante pages.
Et ensuite j'ai été pris dans un tourbillon de violence, d'adrénaline.
Karine Giébel m'a une fois de plus scotchée !!!
Meurtres pour rédemption est un roman intense, bien écrit, captivant. On va de surprises en surprises, il y a un suspense immense et c'est un grand thriller.
Par contre, c'est violent donc âmes sensibles s'abstenir.
Mais pour les amateurs du genre, c'est du pur bonheur :)
Je viens juste de refermer ce roman, un pavé de plus de 900 pages, lu en.. 4 jours !!
Au début, j'ai eu un peu de mal à accrocher. Disons aux premières cinquante pages.
Et ensuite j'ai été pris dans un tourbillon de violence, d'adrénaline.
Karine Giébel m'a une fois de plus scotchée !!!
Meurtres pour rédemption est un roman intense, bien écrit, captivant. On va de surprises en surprises, il y a un suspense immense et c'est un grand thriller.
Par contre, c'est violent donc âmes sensibles s'abstenir.
Mais pour les amateurs du genre, c'est du pur bonheur :)
Dans une vie de lecteur, il y a des ouvrages, des personnages qui vous marquent au fer rouge. Marianne, l'anti-héroine de ce formidable ouvrage hante pour toujours mon imaginaire dorénavant. Un livre bouleversant, parfois terrifiant, parfois terriblement émouvant. Au delà du cercle des amateurs de polars, il s'agit d'un grand livre, tous genres confondus ... Merci Karine Giebel.
Il y a une fenêtre, ici, qui est entourée d'un mur noir, avec une lumière blanche qui s'y reflète, et là bien, je m'y glisse, à petits pas craintif... Je viens donc de faire la connaissance, de ma Marianne, que je découvre. Je rentre dans tout un univers, que je suis loin, de m'y attendre.
Angoissant, Suffoquant, Percutant,
Je viens de terminer mon roman, depuis quelques jours. Je suis encore toute remuée, j'ose à peine y croire, que je viens de quitter Marianne, dont je me suis vraiment attachée. Et comment donc, je passe beaucoup de temps avec elle. C'est un personnage fort, riche et colorée, qui me marque intensément, de mon auteure, que j'affectionne.
''... Et tu es encore plus jolie à l'intérieur. Malgré tout ce que tu as commis, malgré tout ce que tu as subi, aussi. Tu restes capable du meilleur. Et puis toute cette force, là en toi. Celle que tu ne sais pas toujours maitriser mais qui est si exceptionnelle...''
L'auteure Karine Giebel donne également la voix, à des personnages importants, comme Justine, Daniel, ainsi que Franck, pour ne nommer, que ceux-là, que je me souviendrai toujours.
Je ne lis pas mon livre «Meurtres pour rédemption» d'une traite, il se lit très bien, et on peut le reprendre facilement, là où tu es rendu. Il est très bien divisé, on se situe très bien dans l'histoire. La tension, est très bien présente, la peur au ventre, est très constante, du début jusqu'à la fin. L'auteure Karine Giebel sait très bien garder l'atmosphère tendue. On fait également une plongée, dans le passé, de Marianne, pour mieux aussi, la comprendre. On la voit vraiment faire un long combat avec
elle-même.
J'avoue qu'il possède aussi des passages vraiment très difficiles à lire, et qu'il t'écorche le coeur. Je suis aussi très émue par certains moments qui sont tendres et qui viennent t'attendrir.
Je pense que le récit est divisé en deux parties, on voit évoluer Marianne, dans deux prisons différentes, en restant, elle-même, avec ses valeurs. Elle suit toujours son instinct et elle essaie de survivre, du mieux, qu'elle peut. Je me suis laissé toucher, par Marianne, elle m'a conquise. Elle perd sa liberté à 20 ans, à cause des meurtres, qu'elle a commis. Elle nous raconte et nous partageons. L'auteure Karine Giebel, détient une écriture très puissante, elle la met souvent, dans des situations très vives. Elle sait très bien manipuler ses personnages autour d'elle. La lecture se fait très bien, dans l'ensemble. Elle nous donne tous les ingrédients, qu'ils lui tiennent à coeur, j'admets parfois que c'est un peu trop, mais le lecteur est très bien servi.
Je lui reproche, que l'action est un peu longue, surtout dans une routine, d'où il s'installe, ainsi que pour le lecteur. Il faut s'armer de patience, tout autant, pour Marianne.
Je suis un peu émotive, l'auteure Karine Giebel, nous offre ici, toute une héroïne, qui m'ébranle. C'est difficile d'expliquer ce que je ressens, mais je comprends toute la signification, de son titre, il n'y a pas juste elle, qu'on pourrait dire, qui fait sa rédemption. J'émets une mention spéciale, pour la finale, qui me bouleverse. C'est un gros, coup de coeur, c'est également un livre, à coup de poing, qui est venu me chercher. L'auteure Karine Giebel, je l'admire, pour écrire une telle histoire, pour nous faire vivre toutes sortes d'émotions et elle parvient aussi à nous questionner.
Il me vient soudain une question à l'esprit : «Est-ce qu'on s'en rend compte, de notre liberté ? Quand nous sommes en danger, est-ce qu'on ferait tout, pour vivre, quitte à tuer ?»
... Je ne m'en ressors pas indemne, tout comme ma Marianne, moi je ne l'oublierai jamais. C'est un livre de 989 pages, que j'entreprends, je suis heureuse de l'avoir lu, car l'auteure Karine Giebel, fait partie de mes auteures préférées. Je sors delà et je le laisse ce monde, à d'autres lecteurs, qu'ils veulent y franchir le sol. Je crois qu'il est réservé, aux amateurs, de ce genre de littérature.
Siabelle
Angoissant, Suffoquant, Percutant,
Je viens de terminer mon roman, depuis quelques jours. Je suis encore toute remuée, j'ose à peine y croire, que je viens de quitter Marianne, dont je me suis vraiment attachée. Et comment donc, je passe beaucoup de temps avec elle. C'est un personnage fort, riche et colorée, qui me marque intensément, de mon auteure, que j'affectionne.
''... Et tu es encore plus jolie à l'intérieur. Malgré tout ce que tu as commis, malgré tout ce que tu as subi, aussi. Tu restes capable du meilleur. Et puis toute cette force, là en toi. Celle que tu ne sais pas toujours maitriser mais qui est si exceptionnelle...''
L'auteure Karine Giebel donne également la voix, à des personnages importants, comme Justine, Daniel, ainsi que Franck, pour ne nommer, que ceux-là, que je me souviendrai toujours.
Je ne lis pas mon livre «Meurtres pour rédemption» d'une traite, il se lit très bien, et on peut le reprendre facilement, là où tu es rendu. Il est très bien divisé, on se situe très bien dans l'histoire. La tension, est très bien présente, la peur au ventre, est très constante, du début jusqu'à la fin. L'auteure Karine Giebel sait très bien garder l'atmosphère tendue. On fait également une plongée, dans le passé, de Marianne, pour mieux aussi, la comprendre. On la voit vraiment faire un long combat avec
elle-même.
J'avoue qu'il possède aussi des passages vraiment très difficiles à lire, et qu'il t'écorche le coeur. Je suis aussi très émue par certains moments qui sont tendres et qui viennent t'attendrir.
Je pense que le récit est divisé en deux parties, on voit évoluer Marianne, dans deux prisons différentes, en restant, elle-même, avec ses valeurs. Elle suit toujours son instinct et elle essaie de survivre, du mieux, qu'elle peut. Je me suis laissé toucher, par Marianne, elle m'a conquise. Elle perd sa liberté à 20 ans, à cause des meurtres, qu'elle a commis. Elle nous raconte et nous partageons. L'auteure Karine Giebel, détient une écriture très puissante, elle la met souvent, dans des situations très vives. Elle sait très bien manipuler ses personnages autour d'elle. La lecture se fait très bien, dans l'ensemble. Elle nous donne tous les ingrédients, qu'ils lui tiennent à coeur, j'admets parfois que c'est un peu trop, mais le lecteur est très bien servi.
Je lui reproche, que l'action est un peu longue, surtout dans une routine, d'où il s'installe, ainsi que pour le lecteur. Il faut s'armer de patience, tout autant, pour Marianne.
Je suis un peu émotive, l'auteure Karine Giebel, nous offre ici, toute une héroïne, qui m'ébranle. C'est difficile d'expliquer ce que je ressens, mais je comprends toute la signification, de son titre, il n'y a pas juste elle, qu'on pourrait dire, qui fait sa rédemption. J'émets une mention spéciale, pour la finale, qui me bouleverse. C'est un gros, coup de coeur, c'est également un livre, à coup de poing, qui est venu me chercher. L'auteure Karine Giebel, je l'admire, pour écrire une telle histoire, pour nous faire vivre toutes sortes d'émotions et elle parvient aussi à nous questionner.
Il me vient soudain une question à l'esprit : «Est-ce qu'on s'en rend compte, de notre liberté ? Quand nous sommes en danger, est-ce qu'on ferait tout, pour vivre, quitte à tuer ?»
... Je ne m'en ressors pas indemne, tout comme ma Marianne, moi je ne l'oublierai jamais. C'est un livre de 989 pages, que j'entreprends, je suis heureuse de l'avoir lu, car l'auteure Karine Giebel, fait partie de mes auteures préférées. Je sors delà et je le laisse ce monde, à d'autres lecteurs, qu'ils veulent y franchir le sol. Je crois qu'il est réservé, aux amateurs, de ce genre de littérature.
Siabelle
Ma-gis-tral…
J'ai décidé récemment d'aborder l'univers de Karine Giebel (eh oui, je suis très longue à la détente en matière de thrillers). Parmi les huit romans présents dans ma bibliothèque j'ai choisi celui qui avait la meilleure note sur Babélio… tant qu'à faire, autant choisir celui qui avait le plus d'aficionados !! J'ai un peu hésité (992 pages) car je ne suis pas fan des pavés ; mais deux lectures récentes de pavés réussis (‘'Au revoir là-haut'' et ‘'Le Prince des Marées'') m'ont un peu fait revenir sur mes préventions …
Que dire de ce roman ? Au risque de me répéter : ma-gis-tral. Et d'autres adjectifs me viennent sous la plume : violent et addictif, bouleversant et destructeur, flamboyant et brutal. Et j'ai eu un coup de coeur pour Marianne, si seule ( ‘'je crois que j'ai seulement manqué d'amour… le genre de manque qui vous assèche de l'intérieur'') mais battante (‘' Ils ne m'ont laissé aucune chance… Mais j'existe encore… Ça leur ferait trop plaisir que je cesse le combat … Je ne leur ferai pas cette joie'')
Je lirai d'autres romans de cette autrice… mais pas tout de suite, car c'est sombre, très sombre
J'ai décidé récemment d'aborder l'univers de Karine Giebel (eh oui, je suis très longue à la détente en matière de thrillers). Parmi les huit romans présents dans ma bibliothèque j'ai choisi celui qui avait la meilleure note sur Babélio… tant qu'à faire, autant choisir celui qui avait le plus d'aficionados !! J'ai un peu hésité (992 pages) car je ne suis pas fan des pavés ; mais deux lectures récentes de pavés réussis (‘'Au revoir là-haut'' et ‘'Le Prince des Marées'') m'ont un peu fait revenir sur mes préventions …
Que dire de ce roman ? Au risque de me répéter : ma-gis-tral. Et d'autres adjectifs me viennent sous la plume : violent et addictif, bouleversant et destructeur, flamboyant et brutal. Et j'ai eu un coup de coeur pour Marianne, si seule ( ‘'je crois que j'ai seulement manqué d'amour… le genre de manque qui vous assèche de l'intérieur'') mais battante (‘' Ils ne m'ont laissé aucune chance… Mais j'existe encore… Ça leur ferait trop plaisir que je cesse le combat … Je ne leur ferai pas cette joie'')
Je lirai d'autres romans de cette autrice… mais pas tout de suite, car c'est sombre, très sombre
Bien que je me sois délectée auparavant de la plume noire de Karine Giebel et que j'en redemande, les presque mille pages de Meurtres pour rédemption m'ont laissée complètement sonnée, bouleversée, les yeux humides …
Marianne, à peine vingt ans, a été jugée pour meurtres et condamnée à la prison à perpétuité. Avec elle, on va plonger au coeur du milieu carcéral, un monde impitoyable de férocité, de terreur et de violence où lutter pour sa survie physique et psychique est le seul but possible, jour après jour, sans fin, sans espoir.
Pourtant un peu de lumière pénètre au fond de son cachot grâce à l'amitié improbable d'une détenue ou la bienveillance d'un maton et éclaire ainsi les failles, les faiblesses et la fragilité de Marianne sous sa carapace de tueuse. On apprend à la connaître, on s'y attache, on l'aime aussi.
Et on se prend à dévorer le roman, à s'accrocher au plus petit espoir chapitre après chapitre, à espérer au fil des pages la rédemption pour Marianne.
Ce roman est si bien ficelé et le scenario tellement crédible qu'on en vient à se demander, une fois le livre refermé, si après tout cette histoire n'est pas réelle.
Il est des livres qui restent gravés dans la mémoire. Pour moi, c'est sûr, Meurtres pour rédemption sera un « inoubliable ».
Un véritable coup de coeur pour ce thriller magistral !
Marianne, à peine vingt ans, a été jugée pour meurtres et condamnée à la prison à perpétuité. Avec elle, on va plonger au coeur du milieu carcéral, un monde impitoyable de férocité, de terreur et de violence où lutter pour sa survie physique et psychique est le seul but possible, jour après jour, sans fin, sans espoir.
Pourtant un peu de lumière pénètre au fond de son cachot grâce à l'amitié improbable d'une détenue ou la bienveillance d'un maton et éclaire ainsi les failles, les faiblesses et la fragilité de Marianne sous sa carapace de tueuse. On apprend à la connaître, on s'y attache, on l'aime aussi.
Et on se prend à dévorer le roman, à s'accrocher au plus petit espoir chapitre après chapitre, à espérer au fil des pages la rédemption pour Marianne.
Ce roman est si bien ficelé et le scenario tellement crédible qu'on en vient à se demander, une fois le livre refermé, si après tout cette histoire n'est pas réelle.
Il est des livres qui restent gravés dans la mémoire. Pour moi, c'est sûr, Meurtres pour rédemption sera un « inoubliable ».
Un véritable coup de coeur pour ce thriller magistral !
Un pavé de 1000 pages lu en une semaine à peine, autant dire que la lecture fut prenante.
Meurtres pour rédemption est un livre choc, d'une noirceur terrible, et pourtant on y entrevoit parfois la lumière.
L'univers carcéral est dépeint dans toute la première partie avec minutie et, il me semble, réalisme, et l'on y suit Marianne, jeune détenue de vingt ans, dans ses pensées et ses tourments, mais aussi ses espoirs.
Cette première partie est très réussie et même si l'on frôle parfois la surenchère de violence, complètement addictive.
La deuxième partie m'a parue moins réaliste et de ce fait un poil moins intéressante, mais l'envie de connaître le destin de Marianne a été la plus forte.
L'écriture de l'auteure, nerveuse, sèche, est un point fort et sert parfaitement l'histoire.
C'était mon premier Karine Giebel, ce ne sera certainement pas le dernier...
Meurtres pour rédemption est un livre choc, d'une noirceur terrible, et pourtant on y entrevoit parfois la lumière.
L'univers carcéral est dépeint dans toute la première partie avec minutie et, il me semble, réalisme, et l'on y suit Marianne, jeune détenue de vingt ans, dans ses pensées et ses tourments, mais aussi ses espoirs.
Cette première partie est très réussie et même si l'on frôle parfois la surenchère de violence, complètement addictive.
La deuxième partie m'a parue moins réaliste et de ce fait un poil moins intéressante, mais l'envie de connaître le destin de Marianne a été la plus forte.
L'écriture de l'auteure, nerveuse, sèche, est un point fort et sert parfaitement l'histoire.
C'était mon premier Karine Giebel, ce ne sera certainement pas le dernier...
On m'avait dit que c'était son meilleur roman … je n'ai pas été déçue. C'est au-delà de la violence rencontrée dans « le purgatoire des innocents » qui n'était pas non plus un roman de fillettes …
Plusieurs volets dans ce récit :
L'univers carcéral et ses « contrats », les affaires cachées de la République, ça c'est pour les faits. La vengeance, l'amour, la haine, la cruauté gratuite et la rédemption, ça c'est pour les sentiments.
Un style efficace au service de l'atmosphère pesante et angoissante de l'intrigue dont on découvre les clés en toute fin du roman après s'être fait balader à merveille … tout comme j'aime. Beaucoup de sang, de coups tordus, de psychopathes et on ne sait plus qui sont les bons et qui sont les méchants (sauf Justine) car ils sont tous aussi pervers et fêlés les un(e)s que les autres. Mais qu'aurait-on fait à leur place ?
Je vois bien ce roman adapté au cinéma … Vite … au prochain !
Plusieurs volets dans ce récit :
L'univers carcéral et ses « contrats », les affaires cachées de la République, ça c'est pour les faits. La vengeance, l'amour, la haine, la cruauté gratuite et la rédemption, ça c'est pour les sentiments.
Un style efficace au service de l'atmosphère pesante et angoissante de l'intrigue dont on découvre les clés en toute fin du roman après s'être fait balader à merveille … tout comme j'aime. Beaucoup de sang, de coups tordus, de psychopathes et on ne sait plus qui sont les bons et qui sont les méchants (sauf Justine) car ils sont tous aussi pervers et fêlés les un(e)s que les autres. Mais qu'aurait-on fait à leur place ?
Je vois bien ce roman adapté au cinéma … Vite … au prochain !
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