Toutes blessent la dernière tue

Très bon livre en lien avec l'esclavagisme masqué dans nos sociétés dites évoluées.
Une très belle histoire, bien écrite, étayée ... tragique.

Grosse claque une pépite

Un suspense haletant où règnent violence, passion, peur, pitié... Une protagoniste plus qu'attachante grâce à une histoire bien ficelée. Une surenchère de violence qui frôle tout de même l'exagération mais n'altère en rien l'envie de tourner les pages.

j ai beaucoup aimé ce roman de Giebel.j etais restee sur un de ces romans trop violent pour moi, le purgatoire des innocents, et je craignais un peu de retrouver la meme violence; mais celu ci est parfait, rythmé, captivant, avec un personnage central present tout au long du livre et tragiquement attachant. je suis reconciliee avec madame Giebel

Une belle histoire d'amour...à la Karine Giebel :)

J'avais été déçue par les 2 précédents titres de Karine Giebel, à savoir « de Force » et »Satan était un ange ». Je les avais trouvés sans surprise. Alors quand j'ai vu que cette fois il s'agissait d'un ouvrage de plus de 700 pages, je me suis réjouie : j'allais retrouver la recette de « meurtre pour rédemption », il allait y avoir de la matière, les personnages seraient creusés, le décor et le contexte également, tout cela avec de l'intrigue… ! Je suis mitigée sur la forme : on en est loin…Un peu trop « prêt à lire », l'écriture est si simple, peu travaillée…Je pense que Karine Giebel peut faire tellement mieux !!
Sur le fond, je reconnais : addictif, se lit très vite, on a envie de savoir, on est tenu en haleine. le sujet est difficile, révoltant souvent. Je dirais donc pour conclure que c'est un bon polar mais sans plus, il ne restera pas marqué dans mon esprit.

C'est dur, on a mal mais on veut connaitre la suite. On se demande jusqu'où peut aller l'horreur et la cruauté. Mais on apprend aussi ce que peut être un amour entier.

Du grand Karine Giebel
Il faut dire qu'en débutant ce livre, je ne m'attendais pas à lire un jolie roman rempli d'amour et de joie mais j'étais loin d'imaginer ce à quoi l'auteure allait nous confronter
Vous suivrez la vie, ou plutôt la survie de Tama, une esclave des temps moderne, de ses 8 à 18 ans, ayant vécue plus de malheurs que n'importe qui pendant 1000 vies.
Le coeur serré durant ces quelques 700 pages face à l'innommable, je reste cependant sur ma faim lors du dénouement, finalement presque prévu à l'avance lorsque l'on a l'habitude de lire du Karine Giebel

Dur mais on ne s'arrête pas!