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Critiques filtrées sur 3 étoiles  
J'ai retrouvé le commissaire Ricciardi avec plaisir , et avec lui ,
tous les personnages des précédents volumes .
Dans ce roman , pas vraiment d'enquête mais beaucoup de réflexion , d'introspection ...comme d'habitude , ni coups de feu ni poursuites
ni bagarres . C'est un roman d'atmosphère , encore plus que les précédents .
Le " personnage " principal dans cette histoire , c'est l'amour :
l'amour contrarié , l'amour défendu , l'amour de raison , l'amour perdu ,
l'amour impossible , l'amour qui conduit au sacrifice ...
Cet opus est agréable à lire mais il ne m'a pas emballé comme
les précédents ... des longueurs , des descriptions poétiques , aucun rebondissement sauf dans les toutes dernières pages et presque aucune répartie ironique de Bambinella ou du docteur Modo .
Cette petite déception ne m'empêchera pas de lire le prochain roman
de Maurizio de Giovanni !
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Un polar d'un auteur que je découvre, mais que je n'ai pas pu apprécié à sa juste valeur, ou plutôt à leur juste valeur, frustré au sortir de ma lecture, ayant l'impression, le sentiment, tout du long, qu'il me manquait quelques éléments pour apprécier complètement l'histoire de ces "Phalènes", qui ont tendance à se rapprocher de notre commissaire Ricciardi, et qu'il veut éviter, peut-être de peur qu'elles ne se brûlent.
Phalènes et/ou femmes...
Oui le sentiment qu'il me manquait quelques éléments qui auraient aidé à une meilleure, non pas compréhension, mais perception et appréciation de ce roman.
La tante de Ricciardi qui décède, Rosa, et une disparition qui "marque" notre commissaire, du coup j'ai 'impression que tout le monde connaissait cette Rosa (lectrices et lecteurs entre autres) , ...sauf moi, et normal, je n'avais encore rien lu de de Giovanni.
Une "Enrica", qui semble amoureuse - elle ne fait pas que "sembler"- du commissaire, mais qui ne peut "se permettre" de l'aimer! du coup, va-t-elle céder aux avances de Manfred, l'officier allemand? Il s'est passé à coup sûr quelque chose, avant, dans une autre des enquêtes de Ricciardi!!!
Une "Livia", cerainement la plus belle femme de Naples, qui ne compte plus se soupirants, mais qui n'a d'yeux que pour Ricciardi, lequel...l'ignore!!
Et enfin, Bianca, contesse de Roccaspina, qui sollicite notre fameux commissaire, pour enquêter sur l'assasinat d'un avocat, usurier, ayant prêté de l'argent à son mari, lequel l'aurait tué d'un coup de couteau, et tenant contre vents et marées à assumer la paternité de l'acte!
Sous fond d'une célèbre chanson d'amour napolitaine où il est question de phalènes qui risquent de se brûler les ailes en s'approchant de trop près de leurs amoureux (...!!!), une enquête dans une italie fascisante -à ce sujet, j'ai trouvé que l'auteur aurait pu faire ressortir davantage certains éléments historiques de cette époque, quelque peu "survolée"-, avec un Ricciardi depressif, plongé dans ses tourments existentiels, broyant du noir.
Une enquête qui traîne un peu en longueur, et en langueur, car les états d'âme du commissaire prennent un peu trop le pas sur les faits devant amener à la "manifestation de la vérité".
Par contre, une précision et une plume acérée, précise, habile, poétique, dans la description des moments de "blues" de notre représentant de l'ordre.
Je lirai autre chose de de Giovanni, que je découvre donc, bien longtemps après les ouvrages de Valério Valéri et son commissaire Soneri, Georgio Scerbanenco, Dona Léon, Camilleri...
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