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Mamma Maria c'est partir (en Italie bien évidemment) sur la côte Amalfitaine. Au fil de ses romans
Serena Giuliano nous fait découvrir son pays et nous donne l'envie de prendre un billet d'avion pour partir sur le champ.
Ici nous sommes dans un petit village où la vie tourne autour du café de Maria. Il est le coeur même du village, chacun s'y arrête pour y siroter un café, faire une partie de scopa, prendre des nouvelles du village, profiter d'un bain de soleil en terrasse ou y travailler.
Nous y croisons Sofia qui se pose en terrasse pour travailler, elle est traductrice de roman et aime cette ambiance avec en musique de fond les tasses qui s'entrechoquent, et les papis qui viennent jouer aux cartes. Elle y a ses habitudes, son cadre, sa famille. Paris est maintenant loin derrière elle, même si elle pense souvent à son ex…
Un matin, Franco, 82 ans, n'est pas à son rendez-vous matinal au café. Tout le monde s'en inquiète et c'est à Sofia qu'il va demander de l'aide.
C'est un roman où il fleure bon le limoncello et le soleil. C'est un moment de plaisir, parfois difficile mais aussi gourmand. Un roman qui ne fait pas grossir mais qui donne foie en l'être humain.
Le personnage de Maria m'a beaucoup émue, pas forcément au début, mais la connaître c'est faire à coup sûr une belle rencontre!
Sur ce, je m'en vais déguster un Amalfitano!