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sur 2396 notes

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
Meurtrie par une peine de coeur, Sofia quitte Paris pour revenir vivre dans son village natal du sud de l'Italie. Elle y retrouve avec plaisir l'ambiance chaleureuse de la petite communauté qui gravite autour du café tenu par la charismatique Mamma Maria.


Malgré mes résolutions d'éviter désormais le genre feel good qui m'a souvent déçue, j'ai fini par lire ce roman, prix Babelio 2020 dans la catégorie littérature française. Mal m'en a pris : les personnages, si lourdement typés italiens qu'ils en paraissent caricaturaux, évoluent dans une histoire désespérément candide, débordante de clichés et de bons sentiments, maladroitement saupoudrée d'une pincée d'ingrédients touristiques et gastronomiques censés faire rêver et saliver, mais qui, mal servis par une écriture plate et ordinaire, donnent le sentiment d'évoluer davantage dans une brochure publicitaire que dans une oeuvre littéraire.


Si vous êtes adeptes des romans feel good, celui-ci vous fera voyager dans une Italie de cartes postales. Mais il ne vous convertira pas au genre si ce n'est pas déjà votre tasse de thé.

Lien : https://leslecturesdecanneti..
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Je ne sais pas comment s'attribue le prix Babelio mais arrivée à un tiers de ce roman j'abandonne ! le thème tristement banal d'une jeune femme qui échoue dans le sud de l'Italie après avoir fuit son pays aurait cependant pu être traité avec originalité et émotions. Ici je ne trouve que caricature d'un village almafitain,avec des clichés démodés sur ses habitants...certes les descriptions m'ont donné envie de soleil et d'une bonne glace mais trop de livres m'attendent pour perdre du temps avec celui-ci.
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Après avoir lu et adoré Ciao Bella, je m'attendais à retrouver le même plaisir de lecture. La déception a été à la hauteur de mes attentes. L'intrigue ne m'a pas du tout parlé. Comme tout le monde je suis sensible au sort des migrants, mais ce n'est pas forcément un sujet sur lequel j'ai envie de lire à roman. Ça ne m'a donc pas passionnée du tout. Sofia, le personnage principal est sympathique mais sans plus, un peu cul-cul sur les bords. Maria est quand à elle détestable. le personnage est à la limite du harcèlement psychologique quand elle parle à sa belle-fille, multipliant piques et mesquineries. Je n'ai pas du tout apprécié ce comportement. Rien ne justifie cela. Rafaella est d'une patience à tout épreuve. Respect ! Les 50 dernières pages voient Maria s'adoucir mais ça ne redore pas son image avec moi. le roman est gentillet, cousu de fils blancs et je n'ai pas retrouvé ce qu'il m'avait tant plu dans le précédent. Dommage.
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Parfum très très léger d'Italie, hélas.
Je ne comprends pas que le prix Babélio 2020 ait pu lui être décerné.
Les autres points négatifs ont été soulevés par bon nombre heureusement de lecteurs, j'en ajoute un de plus "Le choix du langage pour mamma Maria" ne correspond absolument pas à son âge, invraisemblable.
L'histoire sur l'accueil de la migrante et de son fils est un tantinet trop moralisateur pour ma part.
J'adore l'Italie et j'ai la chance d'être à une trentaine de km du premier village italien , donc j'ai tout le loisir de m'y rendre très souvent (enfin avant la crise sanitaire, depuis je suis encore un peu bloquée) et je n'ai pas ressenti à travers les lignes (même si très fluides) l'atmosphère si particulière que j'apprécie, vraiment trop soporifique ici.
Point original : l'application proposée pour animer la 1ère de couverture, pas mal je reconnais.
Ainsi que la playlist d'Adriano Celentano.
Mais c'est bien insuffisant.

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Avant de commencer ce livre, je savais déjà que ce ne serait pas un grand moment de littérature, mais plutôt une lecture légère, qui permet de se vider la tête pendant les vacances d'été. Même si ce n'est pas mon genre littéraire de prédilection, je n'ai rien contre un roman « feel-good » de temps en temps (à condition qu'il soit bien exécuté), et en cette année si particulière, j'avoue que j'espérais retrouver un peu le goût de l'Italie et sa douceur de vivre à travers ce livre.
Alors OK, les personnages sont sympathiques, le cadre est plaisant, l'histoire est gentillette et se lit facilement, mais est-ce que ces ingrédients suffisent à en faire un bon roman ?
Pour moi la réponse est clairement non.
Il y a trop de clichés et de bonnes intentions à mon goût, l'héroïne est « cucul la praline », et j'ai trouvé l'écriture superficielle.
J'ai un peu de mal à comprendre comment ce livre a pu obtenir le prix Babelio, mais après tout, s'il a enthousiasmé autant de lecteurs, c'est peut-être tout simplement que ce roman n'était pas pour moi.
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J'ai voulu tester cette auteure après en avoir beaucoup entendu parler en bien. du coup, j'étais persuadée que j'allais passer un bon moment. Malheureusement, l'ennui était au rendez-vous. D'habitude, les courts chapitres donnent du rythme, ici, ça m'a laissé une impression d'histoire décousue. Plus les pages défilent, plus on se demande quelle va être l'intrigue. Et j'en suis désolée car j'aurais voulu rêver, j'adore l'Italie.
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Mamma Maria 🌞🇮🇹

J'ai lu il y a quelques jours ce roman de Serena Giuliano, et j'ai rarement été aussi déçue par un livre !

J'ai fait confiance à Bookstagram pour ce roman, je ne savais pas de quoi il parlait quand je l'ai acheté. Eh bien on ne m'y reprendra plus !

Sofia, traductrice ayant vécu une rupture à Paris, revient dans son village natal italien. On suit sa petite vie, et surtout le quotidien des habitués du café de Mamma Maria.

Je m'attendais à un feel good, le soleil italien, une reconstruction, mais pas du tout. Les quelques moments feel good sont d'un cliché, tout comme les personnages (on en parle de la méchanceté et prétention de Maria ?), sans parler du retournement de situation principal qui arrive au bout de 30 pages, qui n'est pas indiqué dans le résumé et qui franchement m'a presque fait lâcher ma lecture.

Au-delà de cela, j'ai trouvé ce titre extrêmement donneur de leçon, voire limite sur certains points, alors que, no spoil, la morale est "aimez vous les uns les autres".

J'étais enthousiaste à la lecture des chroniques sur la bibliographie de l'auteure, mais je ne pense pas découvrir ses autres titres.
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Compte tenu de la canicule, de mon cerveau ramolli, je me suis dit qu'un feel-good se jouant sur la côte amalfitaine (que j'adore) , serait la lecture idéale.
Grosse déception !
Le sujet du sort des migrants ne me laisse pas indifférente, loin de là. Mais cette histoire nous la joue à l'eau de rose, il y a sûrement des Franco prêts à subvenir aux besoins d'une femme et de ses deux enfants, mais ils ne doivent pas être légion en Italie du sud où la vie est économiquement compliquée.
L'écriture est plate, les dialogues attendus, les personnages caricaturaux…
Bref, je me suis ennuyée, si ce n'avait été le plaisir de retrouver le cadre magnifique et le limoncello de mes séjours, j'aurais abandonné !
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Ce roman fait partie du courant appelé Feel good, la couverture est attrayante, pleine de promesses et puis très rapidement le tout fait "pchitt", il n'y a plus rien ou presque. Ni l'accumulation de bons sentiments et de B.A. ni la juxtaposition de quelques éléments "touristiques" ne sont suffisantes pour nourrir cette histoire qui manque de souffle, de contenu, de profondeur. C'est mignon, gentil et, au final, un peu indigent. L'Italie méritait mieux. Souma et son fils aussi.
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Abandon de lecture…
Maria est la patronne d'un petit café en Italie, elle mène tout son petit village à la baguette. Sophia est une de ses fidèles clientes, elle est jeune, un peu triste, déçue par l'amour. Les protagonistes de l'histoire sont tous les clients de Maria ; une petite troupe de pensionnés qui jouent aux cartes, les enfants du village qui rentrent de l'école, et les adultes qui ont grandi dans le village.
L'écriture est belle et fluide, malheureusement c'est plutôt l'histoire qui m'a un peu embêté. J'ai trouvé ça tellement facile, certaines décisions, certaines réactions, certaines conversations même. Dès le début, on voit approximativement vers quoi on va et malheureusement, je trouve tout cela fort peu crédible. Je dis bien malheureusement car j'aurais aimé que cela me semble crédible… du coup, systématiquement, je remets en cause chaque phrase que je peux lire et ça en devient insupportable pour moi. J'ai suivi de nombreuses chroniqueuses qui ont passé un excellent moment de lecture et qui rêvaient de venir s'assoir à la terrasse de Maria, donc ne vous arrêtez pas forcément à mon avis et découvrez vous-même ce petit coin d'Italie.
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