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3,85

sur 489 notes
Quasiment 2 ans après le tome 7 , je décide enfin de me remettre à cette saga ! Heureusement pour moi ,l'auteur résume les tomes précédents donc pas de souci pour se raccrocher à l'histoire et reconnaître certains personnages secondaires .
L'histoire de Kahlan et Richard est toujours aussi prenante ,ils sont face à Jagang et les soldats de l'Ordre mais dans ce tome Richard doit régler un problème plus personnel avant de rejoindre la bataille car il est menacé par son propre Don et un poison... Il doit donc se battre pour sa survie .
Une fois de plus ,ce tome se lit tout seul ! Bon par contre une chose m'a chagriné , c'est le discours de Richard face à un peuple qui refuse de se battre : une phrase peut le résumer "parfois tuer n'est pas seulement justifié mais hautement moral ! ". Et pendant des pages et des pages ,il explique qu'il faut assassiner pour triompher . C'est pas vraiment ma philosophie , certes lorsqu'on lit les Abercrombie ,les héros se comportent de la même manière mais ils ne prônent pas le meurtre et ils ont conscience du gâchis.
Bref ceci à part ,je vais continuer à suivre la lutte des d'harans contre l'Ordre parce que c'est tout de même addictif .
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Salut les Babelionautes
Avec ce tome 8 de "L'Épée de vérité" L'empire des vaincus, Terry Goodkind rajoute encore un royaume a sa Saga.
Après leur aventures dans la capitale du l'Ancien monde, Altur'Rang, ses habitants débutent la lutte pour leur liberté.
Kahlan et Richard, accompagné par leur amis, vont devoir combattre pour un peuple ayant une curieuse philosophie, la non-violence.
Pendant ce temps Zedd et Abie vont essayer d'infliger de lourdes pertes humaines aux armées de l'empereur Jagang mais ils sont fait prisonnier et forcé par un odieux chantage à révéler les secrets de la citadelle du Sorcier.
Comme dans les autres tomes de cette Saga, L Auteur imagine de nouvelles façon de prendre l'avantage dans la lutte qui l'oppose aux défenseurs de la coalition érigé par Richard.
Contre toutes attentes, je commence a apprécier cette oeuvre que beaucoup de lecteurs encense ou déteste.
Comme d'habitude je n'oublie pas de remercier le traducteur, Jean Claude Mallé, qui a assuré la traduction de toute la Saga.
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Richard, Kahlan, Cara, Jennsen, Tom, Friedrich, et Betty la chèvre ; après avoir quitté les Piliers de la Création, font route vers le Nord pour retrouver ses troupes et continuer la lutte. Sauf qu'en chemin ils tombent sur Owen, un exilé du peuple des Bandakars. Il demande au seigneur Richard Rahl de l'aider à libérer son peuple " pacifiste " du joug de l'Ordre Impérial qui les prive de liberté... sauf que paradoxalement il empoisonne Richard en guise d'ultimatum de l'antidote contre son aide.

On va découvrir à quel point la philosophie des Bandakars : la majorité qui a tort à raison,  combiné au déni, les condamne à l'esclavage tant physiquement que psychologiquement avec les conséquences de non-assistance à personne en danger et surtout la mise en danger d'autrui, par le fait de ne jamais punir le mal de le laisser prospérer, empirer et condamner triplement leurs victimes. Cette histoire est un parallèle avec les violences quotidiennes qui gangrènent notre existence.

On verra comment c'est quasiment impossible de faire rentrer la vérité dans le cerveau de gens qui vivent comme les 4 singes du déni. (Yeux fermés pour ne pas voir ; oreilles bouchées pour ne pas entendre ; bouche fermée pour ne pas parler en bien ; et la pire, ne pas utiliser son cerveau pour distinguer le mal.)

Mais notre Richard va tenter, car s'il ne réussit pas, le poison, et le don intérieur le tueront. Et cerise sur le gâteau... il y a un sorcier au service de Jagang et transformé par les soeurs de l'Obscurité en Chapardeur : un voleur d'âmes qui commande les forces de l'Ordre qui ont envahi le peuple des Bandakars !


Pendant ce temps-là, en Aydindril, le grand-père maternel de Richard : Zedd et la Dame des Ossements : Adie, ont été capturé par des trous dans le monde. La bataille semble perdue...


Ce huitième tome : l'Empire des Vaincus, était une très bonne suite, et vivement le prochain tome ! :)
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Richard et Kahlan tente de rejoindre leur troupe pour combattre leur ennemi de toujours l'Empereur Jagang.
Toutefois en route ils font la connaissance d'Owen, un être particulier, descendant des trous dans le monde. Owen est lui aussi insensible à la magie comme Jensen, la soeur de Richard. Sauf que ...Owen a des desseins mal attentionnés, il va empoisonné Richard pour que celui soit contraint de l'aider.
Richard va t il s'en sortir? Est ce qu'il s'apprête à vivre va l'aider dans sa quête de destruction de l'Empereur?

Comme d'habitude on s'attache à Kahlan et à Richard même si les remarques de ce dernier nous irritent de temps à temps mais on lui pardonne cela reste quand meme un héros.
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Allez, c'est parti pour cette huitième critique!

ATTENTION SPOILER!!

Ce tome est la suite logique du tome 7. En effet, après avoir découvert sa demi-soeur, parfaitement insensible à la magie, Richard va être confronté à tout un peuple ayant les mêmes caractéristiques que Jensen.
Au début, nos héros se mettent en route pour rejoindre leur armée (et donc l'intrigue principale). Pourtant, un évènement imprévu vient détourner une nouvelle fois nos héros de leur quête.
J'avoue que cela m'a un peu énervé au début, car après un tome 7 qui ne faisait pas beaucoup avancer le schmilblick (mais qui était néanmoins très bien), j'avais envie que l'histoire principale reprenne le dessus.
Hélas, ce n'est pas du tout le cas dans celui-là.
Cependant, en dépassant ma frustration passagère, je me suis quand même laissé embarquer dans cette nouvelle aventure.
J'ai bien aimé d'ailleurs comment celle-ci débute, à savoir par l'empoisonnement de Richard par Owen.
Cela nous montre le visage d'un peuple complètement abusé par leurs convictions pacifistes, mais qui veut toutefois s'en sortir.
Personnellement, j'ai adoré le " Oh je t'empoisonne, mais je ne veux ABSOLUMENT pas te tuer!!". Ça m'a bien fait rire, et ça montre vraiment la vision irrationnelle du peuple des bandakars.
Richard, comme d'habitude, va donc à lui tout seul changer la philosophie de milliers de personnes (un peu comme dans le tome 6). Je ne suis pas contre cela, bien sûr, car c'est l'essence même de la saga, à savoir la supériorité des idées sur les affrontements physiques. Et Richard incarne parfaitement le symbole de cette philosophie de vie.
Ce que je n'aime moins, en revanche, ce sont les discours philosophiques à n'en plus finir. Quand Richard parle aux bandakars pendant plus de cinquante pages, j'ai vraiment hésité à les sauter tellement elles étaient barbantes!
Bref, si on met de côté ce petit aspect "technique", j'ai trouvé ce tome assez fluide, avec un cheminement régulier.
J'ai également adoré le personnage du chapardeur, amenant dans l'histoire un nouvel adversaire de taille pour Richard.

Ce tome 8 se laisse donc lire aisément, malgré quelques passages assez lourds, et l'on prend un certain plaisir, comme toujours, à se laisser embarquer.
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"L'Empire des Vaincus" bénéficie de la grande maîtrise de l'écriture de Terry Goodkind. On y retrouve beaucoup d'intrigues, de l'action, beaucoup de prometteuses pistes qui mettent l'eau à la bouche au moins jusqu'à la moitié du roman.

Mais, étrangement, rien ne se confirme et ce qui aurait pu (aurait dû !) conduire à une déferlante de révélations, à une fin fabuleuse plus que possible... se termine de façon incompréhensible en "queue de poisson", en rien. Ce n'est pas habituel chez cet auteur qui nous a donné le meilleur pendant 7 tomes.

C'en est au point que l'on a l'impression que l'auteur s'est fatigué et a terminé le roman en quelques pages sans saveur parce qu'il n'avait plus envie de raconter son histoire...

Cependant, en faisait l'effort d'oublier la frustration, on réalise que ce volume est une pièce importante du puzzle que constitue l'Épée de Vérité.

L'histoire, donc, est malgré tout intéressante car elle nous fait découvrir un autre peuple, d'autres lieux, mais surtout elle révèle la dynamique qui sous-tend toute la trame de ce roman-fresque.

Dans ce tome, nous prenons conscience des écueils qui planent comme une épée de Damoclès sur l'avenir du monde et des hommes.

Par ailleurs, il convient de noter que le tome suivant ("La Chaîne de Flammes") est un PETIT BIJOU !
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J'ai bien aimé ce tome qui fait beaucoup réfléchir sur la violence, la liberté, la force de la vie.

Terry Goodkind sait nous entrainer dans son univers, il nous emmène dans sa philosophie de la vie car l'épée de la Vérité, c'est cela, une profonde réflexion sur la vie, la liberté de chacun et notre volonté d'être ce que nous souhaitons.

Il mène toujours la vie dure à ses personnages, Kalhan et Richard n'ont pas fini de souffrir et d'être séparés. Leur quête est longue car se battre pour la vie est loin d'être évident quand le monde bascule dans la terreur, la violence et la mort. Pourtant ils le font avec une incroyable détermination, au nom de l'amour de la vie.

Ces livres peuvent donner du courage quand on vit des choses difficiles dans notre vie. Ces derniers temps, j'ai appris de mauvaises nouvelles me concernant. Mais je vais prendre l'exemple de Richard et de Kalhan et me battre pour la vie, ma vie.
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Ce volume est à nouveau centré sur Richard et Kahlan. Les choses vont toujours aussi mal pour nos héros. Zedd et Adie se font capturer, Richard se fait empoisonner et perd peu-à-peu ses pouvoirs. L'Empire des vaincus sont les trous dans le monde ou les piliers de la création, que l'on a découvert au volume précédent.

Ces sans-magie, que les sorciers de jadis ont enfermés ensemble, sont des pacifistes forcenés.

On retrouve le style Goodkind des précédents volumes avec une histoire dynamique, mais toujours les mêmes petits travers à se laisser aller à philosopher.

Richard aura l'occasion de faire quelques belles tirades pour exhorter ces pacifistes à prendre les choses en main !!

Un bon cru, mais qui laisse toujours un peu sur sa faim. Richard est toujours plus ou moins traqué par Jagang et n'a toujours pas l'initiative et on se demande quand il va la reprendre.
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Encore un tome mi-figue mi-raisin :
- Le démarrage est lent. l'auteur donne l'impresson de faire du remplissage sur les premiers chapitres.
- Mais la suite et la fin sont vraiment dignes d'intérêt.

Comme d'habitude, le style de l'auteur (ou sa traduction je ne sais pas) est très variable. Passant du narratif assez élaboré aux répétitions totalement "cul-cul la praline" et lourdingues, il faut par moment s'accrocher. Désormais habitué, je saute des paragraphes entiers car je sais d'avance ce qu'ils contiennent.

Mon avis final est très positif pour le fond de l'histoire, mais toujours aussi mitigé pour le style.
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Après un tome 7 un peu difficile, le tome 8 revient sur les principaux protagonistes de la série. Nouveau tome, ancienne toile de fond - la guerre avec l'Ordre Impérial - et nouvelle intrigue du tome : les bandakars. Ce tome m'a mis les nerfs à rude épreuve, car j'ai trouvé ce peuple de "piliers de la création" carrément horripilant ! Tout comme Richard, les défauts de leur vision du monde et leur "pacifisme" m'ont énervé plus d'une fois... Si bien que j'ai fini par croire qu'il s'agissait d'une cause perdue et que ce tome finirait en queue de poisson ! Mais c'est sans compter sur notre héros, prêt à tout pour venir à bout de tous les obstacles.
Dans ce nouveau tome, on fait également la connaissance d'un nouvel obstacle : Nicholas, le Chapardeur. Ce personnage était vraiment passionnant, je regrette qu'il ne subsiste pas au delà du tome 8. Cela fait un peu de "sang frais" face à Jagang qui commence un peu à s'éterniser...
L'intrigue avec l'Ordre Impérial n'avance donc pas des masses dans ce nouveau tome : chacun continue de placer les pièces de son échiquier, de porter un coup à l'autre... La progression est lente mais permet malgré tout de focaliser le tome sur l'intrigue des Bandakars.Goodkind réussit, comme à son habitude, à entremêler les enjeux de différents scénarios sans ennuyer son lecteur ou le perdre...
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