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3,86

sur 1553 notes

Critiques filtrées sur 2 étoiles  


Je n'avais pas particulièrement d'appréhensions avant d'entamer cette brique et le début me semblait prometteur.

Au départ j'accroche bien à l'intrigue mais finalement, je commence à trouver l'histoire lourde et assez dense. Je me perds dans les personnages et je sors les rames pour avancer.

Il y a trop de fausses pistes et de circonvolutions et arrivée à la chute, je suis finalement assez soulagée... Cette chute, parlons-en ! J'aurais pu la  trouver époustouflante si je n'avais pas eu autant de mal à avancer dans ma lecture.

Je suis finalement assez déçue de ne pas avoir accroché car tout dans ce roman aurait pu me plaire ; l'intrigue, l'atmosphère, l'époque,...

Je vous propose de vous faire votre propre opinion sur ce livre qui pourrait, je suis sûre plaire à beaucoup de monde !
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J'ai eu beaucoup de mal avec ce roman.., c est seulement à un peu plus de la moitié du livre (350pages) que le roman a commencé à un peu m'intéresser et encore… beaucoup trop de longueurs, de descriptions, de redondance sur les faits, ajouté à ça une plume plutôt crue, grossière, et des personnages détestables. Cependant, l'intrigue de l'histoire en elle même est plutôt intéressante c est ce qui m a permis de pouvoir aller jusqu' au bout de ce livre. C'est mon premier Grangé mais je ne suis pas sure de vouloir en relire.
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Après les nombreux retours dithyrambiques que j'avais pu lire à la sortie de ce livre, je m'étais laissée rapidement tenter pour ce qui allait être mon tout premier Grangé.

Le contexte historique de l'histoire (début de la seconde guerre mondiale en Allemagne) me paraissait être l'occasion pour découvrir cette plume puisque c'est la période de l'histoire que j'aime lire, peu importe le pays concerné.

Hélas, ce n'est pas une réussite pour moi. Très vite j'y ai trouvé des longueurs, des descriptions qui ne me semblaient pas opportunes et surtout une impression de tourner en rond. Et hélas, ça a duré. Il a fallu que j'arrive (péniblement) au dernier quart du livre (sur 652 pages quand même 😓) pour y trouver enfin un peu plus d'intérêt.

Les personnages ne m'ont quant à eux pas plus intéressée au départ. Un SS détestable, un psy complexé qui arnaque et séduit ses patientes et une psy alcoolique 😧. Ça ne fait pas rêver. Je les ai trouvés très caricaturaux quand même. Bon, on gagne à les connaître car sur la fin ils se sont rachetés. Mais peut-être un peu trop justement ! Je n'ai pas trouvé cela crédible !

Pour finir l'histoire … clairement je me suis ennuyée. Je n'ai vraiment pas été emportée par l'intrigue, ces longueurs m'ont définitivement perdue. Quelle est la part de fiction et quelle est la part d'Histoire, je m'y suis parfois perdue aussi, même si l'on voit que l'auteur s'est documenté considérablement. Mais justement peut-être trop car par moments j'avais l'impression de lire un manuel d'histoire. Et ces précisions étaient parfois peut-être pas mal à propos (encore que…🤭) mais pas forcément nécessaires à l'intrigue. Concernant la révélation du meurtrier, je reconnais que c'était plutôt bien fait et que je n'ai rien vu venir. Mais tout ça pour ça ? 😕
Petit bémol aussi sur une fausse piste qui reste inexpliquée et ça m'a frustrée.

C'est donc un rendez-vous manqué pour ma part et je ne pense pas réitérer l'expérience avec cet auteur. Mais ce n'est que mon avis et je vous encourage à vous faire le vôtre si vous étiez tentés car d'autres l'ont beaucoup aimé.
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Pas de transport d'extase pour moi dans ce nouveau Grangé. L'univers nazi est crédible mais sans surprise. Idem pour les personnages auxquels j'ai eu du mal à m'identifier : entre le duo de psychiatre dont on développe pas mal les vices mais assez peu la science et le SS, grosse brute sanguinaire mais qui trouve quand même que ce régime est tout pourri. Tout en ne voyant aucune contradiction à saigner tout ce qui bouge pour ledit régime, allez comprendre. L'intrigue en elle-même ne casse pas trois pattes à un canard. La quatrième de couverture dit « le Mal n'est pas toujours du côté qu'on croit... » Bah en fait, si un peu quand même… le petit personnage lesbien de ce thriller est une artiste qui évolue dans le milieu de la nuit du Berlin des années 20, dont la faune disparate est devenue persona non grata sous le régime assez peu bienveillant d'Hitler pour toutes les créatures ayant le malheur de ne pas avoir comme projet de vie de perpétuer la race aryenne.
Voilà plusieurs fois que je suis déçue par cet auteur que j'ai pourtant adoré. Je ne sais pas si c'est lui qui faiblit ou moi qui devient plus exigeante.
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Très poussif le démarrage des « promises » pas pressées de se marier ni prometteuses  !
Ne sachant trop comment commencer son offrande annuelle il nous fait part, pour d'échauffement, d'une excellente documentation sur  les chapeaux d'abord : trilbie, Homburg, Borsalino et fedora, képi vernis et galure a plumeau sans oublier la casquette nazie
Ensuite sur le plan exhaustif des Großes straßen de Berlin de l'entre deux guerre. Sans oublier de glisser des petits mots d'allemand que tout le monde est sensé connaître , Dirndl, KZ, Siegfried etc. pour nous rappeler qu'on est en Allemagne KOLOSSAL

Enfin une petite phrase réussit à placer trois nom de grandes marques de produits Martini ,Cartier et Muratti et bien d'autres ça fait chic et cher et on connaît son sujet !

Quand l'imagination se sera totalement éteinte, on en est pas loin,
Jean-Cricri pourra se recycler dans la la chapellerie, la cartographie, la documentation en CDI voire la publicité

Pour les détails
Jamais en panne de métaphore comme il appelle le gendarme un « Cruchot »  le nazi a droit à un « Siegfried » ça fait viril et ça sent le cuir (sable) chaud ce n'est pas Genet qui va dire le contredire
La Psychanalyse surtout coté fesses et simplifiée à l'extrême

On a l'impression que Grangé a beaucoup travaillé le décor : Berlin entre deux guerre, sujet à lui seul, avec ses rues, ses cafés, ses Homburg, l'adelholzener mineralwasser, sa Sprée, ses défilés nazis, ses cabarets homo (Il nous fait même le coup de « l'ange bleu » avec Dietrich en giton ), l'ambiance délétère et insouciante de ce début de guerre, une population fanatisée, les wanderfogels , le programme lebensborn, le stylo Dia à piston, Nosferatu etc. ( la totale : il n'a rien oublié )
Et puis ? Comme il faut bien un sujet et des personnages, il a plaqué dessus une pauvrette histoire de charcuterie mal fignolée dynamitée par ,malheureusement, des personnages inconsistants On n'y croit pas un seul instant
- le psy en Toulouse lautrec gigolo, la psy en poivrote aristo dans sa « nuit d'ivresse », et surtout le Siegfried qui fait penser à Jean marais avec ses cuisses blanchâtres dans « l'aigle à deux tête » en petite « Lederhose » (culotte de cuir) c'est dire le mastard viril et phallocrate
- Et les méchants « plus méchants que moi tu... » qui ne cassent pas trois pattes à un canard SA, SS,FM-SS, Totengräber, Hitler, Himmler mais pas de Mengele (pris par Guez et Lieberman)
Et les victimes
- les homos , les tziganes, les kalderech, les sinti, les lovara, exception faite des communistes
... Pardon j'ai oublié les juifs, un « détail »...
Et les femmes : gretchen fanatiques adeptes du service du Führer
Nein ! Femme jamais kommander. Mari porter kulotte même quand kulotte trop large. (en allemand Nein Frau bestellt nie, Ehemann trägt Höschen… quelque chose comme ça me dit google...)

Bref une KOLOSSALE documentation où tous les acteurs ont été convoqués et malgré cela, ça ne prend pas ! ACHT !

La réalité de 1940 ne peut être égalé en horreur surtout par une narration bourrée de poncifs éculés archi connus

Il faut arriver à la page 500 ( sur 652) pour qu'il se passe quelque chose d'intéressant mais le soufflé retombe assez vite

Cela m'attriste profondément que cet écrivain que je suis depuis le début, il m'avait épaté avec ses « cigognes et ses rivières », soit descendu à ce niveau de médiocrité

Bref à Noël je ne voulais pas du « dernier Grangé » car déjà le précédent ce n'était pas jojo mais bon mes filles me l'ont acheté pour pouvoir le lire après Voilà le fin mot de l'histoire
Heureusement je me suis bourré au Pirandello juste avant !
Heil jean-cricri ! Et surtout ne place pas le prochain bouquin au moyen-âge Umberto Eco l'a déjà fait
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Ouf ! C'est terminé ! Quel soulagement !

Ayant lu et adoré plusieurs ouvrages de Jean-Christophe Grangé, j'avais hâte de commencer celui-ci, rien qu'à la lecture du résumé. Et là, grosse déception...

C'était long, mais long... et d'un ennui... Des descriptions de lieux à n'en plus finir, des indications sur les déplacements des personnages dans Berlin dignes d'un GPS (il tourne à l'angle du bâtiment X puis longe la rue Y, jusqu'à l'intersection Z...), des listes et des listes d'architectes, cinéastes, psychiatres, acteurs, réalisateurs et j'en passe, des détails concernant le physique ou la psychologie des personnages principaux redondants ... Et à force, on se demande : mais où sont l'action et le suspens ? A mon sens, la réponse n'arrive qu'aux deux tiers du livre.

L'idée de base était intéressante : enquêter sur des meurtres dans un Berlin tenu par les nazis, mais malheureusement, j'ai trouvé la réalisation de ce roman complètement ratée. Je n'ai pas retrouvé l'auteur que j'appréciais.
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Très déçu. Un sentiment de lenteur qui a permis à l'auteur de faire 700 pages alors qu'il aurait pu en faire moitié. Dommage car la fin est originale mais mal menée, trop de fausses pistes. Grange a été beaucoup plus original. Je ne lirai pas la suite.
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La communication autour de ce roman historique, car c'est de ça qu'il s'agit, est volontairement ambiguë…thriller, roman historique, policier…. Sans doute pour attirer la communauté des fans de thrillers et de Grangé. Certes, une enquête policière parsème les pages mais ce sont surtout les descriptions détaillées et documentées de la vie quotidienne sous le régime nazi qui inondent les 653 pages très peu aérées de ce roman. Je l'ai ouvert pour vivre la passion et l'exaltation d'un thriller, j'ai rapidement réalisé qu'il s'agissait d'un pavé historique et je me suis forcée à l'achever parce que c'est un Grangé… Me disant que, peut-être, il y aurait ce « truc » que j'aimais tant chez l'auteur… Mais ce fut laborieux et c'est avec beaucoup de soulagement que j'ai tourné la dernière page.
Lien : https://branchesculture.com/..
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oh là là, dans le premier tiers, j'ai peiné, j'ai peiné, je me suis accrochée mais c'était dur ! J'ai eu envie d'abandonner deux fois en moins en deux cents pages....
et puis le rythme s'accélère un peu, quand les 3 compères décident de marcher (plus ou moins) de concert pour résoudre l'énigme.
Cependant, si l'histoire gagne en rythme, on est baladé de pistes en pistes et arrivé à la moitié, tout devient très vite prévisible, si on a quelques notions d'Histoire, dans la suite du roman ... On y retrouve l'eugénisme, un "classique" du nazisme et de JCG ... J'ai eu l'impression de lire une énième variation sur le thème, et "hop ! le tour est joué".
J'ai refermé le roman plutôt déçue par ce manque d'originalité, et SURTOUT gênée par le cadre choisi : l'Allemagne nazie.
Les personnages principaux me font penser à ceux de Houellebecq, auteur que je n'apprécie pas du tout : ils sont la caricature de la catégorie sociale qu'ils représentent, des anti-héros, antipathiques au possible; JCG tente bien d'humaniser le bourreau, de parler de vagues éclairs de bonté chez le cynique ou de sursauts et autres tentatives de bonnes conscience chez la médecin, je trouve cela au contraire écoeurant.
Ajoutons l'atmosphère lourde de l'Allemagne nazie à la veille de l'invasion de la Pologne (été 1939) puis dans la tourmente de la guerre: l'auteur nous jette une histoire dans L Histoire, il tente de nous immerger sous un vernis d'érudition historique qui veut surement atténuer, nuancer (mais pourtant ne cache cependant pas pour moi) la puanteur, le vice, l'inhumanité, l'atmosphère malsaine, l'hypocrisie, la violence, le racisme, la xénophobie.... de cette société. Impossible d'éprouver une quelconque sympathie pour aucun des personnages, de finir par prendre les méchants pour des gentils parce qu'ils sont moins méchants ou autrement méchants que les autres ...
Je suis allée au bout du texte, mais sans satisfaction finale. Comme les Babelionautes pour la majorité l'encensent, encouragée par des mots gentils sous mon premier commentaire intermédiaire, j'ai persisté : parfois le salut est dans les toutes dernières pages. Mais pour moi non. @La Terre des morts avait amorcé chez moi, fan de la première heure de JCG, de la réprobation et une nette prise de distance avec l'auteur. Cette lecture ne m'a pas ramenée à de meilleurs sentiments... et il est possible que ce roman marque la rupture définitive.
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je n'ai pas réussi à le finir. Cela manque de rythme. J'ai essayé de me forcer en lisant en diagonale mais je n'ai pas réussi à repartir. Les descriptions autzirbt pu être beaucoup raccourcies pour rendre le livre plus digeste. Cela a été compliquè de s'attacher aux personnages.
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