Miserere

Ce livre, ce roman, était posé en bas de mon immeuble en « servez-vous ». C'était le seul livre en français du tas. Habituellement, je ne me sers pas. J'aime acheter les livres que je lis dans ma petite librairie de quartier. Mais, là, je connaissais Grangé pour les rivières pourpres, le vol des cigognes et autre concile de pierre, alors mes mains se sont élancées et se sont servies.
Le thriller (ancien roman à sensation) n'est plus un genre, un style, une forme, que je prise, ou que je sniffe. Ma préférence va au roman noir sans suspense, sans surprise, au roman noir où les actes des personnages sont justes les conséquences de leurs choix malheureux et qui entraine d'autre conséquences (Ellroy par exemple).
Dans ce thriller, on est juste sur des « pures » flic-non-flic, maltraités par la vie qui recherche la « Vérité », caché derrière une réalité terrible qui n'est pas de leur fait ni de leur faute. Et les méchants sont vraiment méchants. Pourquoi ? Parce que !
Grangé n'a pas créé des personnages pour lesquels j'ai éprouvé de l'empathie ou de l'admiration. Et l'enquête mené avec ses fausses pistes attendu et ses révélation tout autant attendu m'ont ennuyé. La fameuse phrase que je déteste tant a été écrite, « on n'est pas dans un roman ». J'ai eu une lecture sans passion et sans émotions.
Toutefois, je reste quand même émerveillé par le mystère de l'écriture, de l'acte d'écrire. du papier, des mots et une autrice, un auteur qui sert de médium talentueux pour accoucher d'une histoire. Je n'attaquerais jamais Grangé en Dignité ! Il a fait le travail.

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Un duo de flics (ou plutôt d'ex-flics) rassemblés par le plus grand des hasards, peu respectueux des règles et très fragiles psychologiquement se passionnent pour une affaire qui part d'un "simple" meurtre et qui finit par une affaire internationale .... Et pour arriver à cela, l'auteur se permet toutes les invraisemblances ... J'ai connu des thrillers plus efficaces avec moins d'artifices .... très déçu..

Grosse déception pour ce premier livre audio.
Jacques Chaussepied (inconnu pour moi) est la voix de ce livre, et je pense qu'il est pour beaucoup dans le fait que je n'ai pas apprécié cet audio-livre : voix très grave, ton très monocorde, vague changement pour certains personnages (voix légèrement plus aigu pour les paroles du "jeune" contre les paroles bien graves du "vieux"...).
Et puis l'histoire de Grangé, ce vieux flic qui mène une enquête sans trop y croire, bourré de cliché, et le jeune flic paumé qui l'aide, bourré de cliché... du coup, je n'y ai pas cru non plus.
J'avais aimé, il y a longtemps, les Rivières Pourpres, puis avais essayé le Concile de Pierre et m'étais ennuyé.
Alors je crois que je vais arrêter les Jean-Christophe Granger car je n'aime pas me faire du mal.

Un duo de flics improbables. Lionel Kasdan - ancien flic à la retraite qui fait comme si il était toujours en activité, attaché à ses racines, un peu homophobe sur les bords et Volokine alias Volo, un jeune flic fou ,accro à l'héroïne et qui est sensé être en cure de désintox- décident de faire équipe...

Comme à son habitude, Grangé nous emmène dans une sorte de thriller religieux/politique/historique vraiment très long. Finalement ca ressemble aux rivières pourpres...C'est du déjà vu...je crois que Grangé et moi, c est belle et bien terminé.

Plutôt un policier noir, qu'un bon roman qu'on prend plaisir à lire. Rien de tout cela, l'auteur a trop d'imagination, un peu comme le roman Da Vinci Code. Beaucoup de personnages, histoire invraisemblable, comparable à " Les rivières poupres" du même auteur, chaque livre que j'ai du de Grangé j'étais content de le terminer. Sans plus : aucun beaux sentiments si ce n'est des meurtres, des vengeances, le nazisme, un bon scénario pour film policier, sans plus.
J'ai lu deux romans de cet auteur et je pense à m'arrêter ici.

C'est mon premier bouquin de Grangé.
Je me rends compte que je n'aurais pas dû commencer par celui-là. La faute à pas de chance (une couverture bleue, une brique : tout ce qui m'attire et puis le premier sur la rangée à la bibliothèque …)
J'ai beaucoup aimé le duo de policiers, ce qui les réunit et ce qui les oppose. Je les trouve bien travaillés.
Par contre le scénario, c'est du n'importnawak. L'intrigue est tellement façonnée en profondeur que c'en devient invraisemblable. Il y a de la recherche là-dessous, je n'en disconviens pas : on apprend pas mal de choses sur le Chili, les nazis, la guerre d'Arménie mais bon, restons sérieux.
A lire en vacances, comme je l'ai fait. le prochain sur ma liste est « le concile de pierre ».

Décue, décue, décue...l'intrigue certes est construite, les personnages - un duo classique de policiers paumés - est crédible, mais alors l'écriture est lourde, lourde, lourde...On est étonné de retrouver M.grangé derrière cette plume...Mais bon , en vacances avec de longues heures de transport, ça peut passer...on ressort distrait, malgré tout.

Pas facile la lecture de ce roman policier. C'est une réaction disons épidermique mais cette lecture m'a fait mal à la peau...Je me suis sentie aspirée par cette univers de souffrance. de la torture en Amérique du Sud, en passant par les sévices contre les juifs durant la seconde guerre mondiale , les états de manque de drogue de Cédric et les blessures du passé de Kasdan, on en sort jamais. Eh puis, il y a les meurtres sordides pour lesquels les deux protagonistes enquêtent en dilettante...C'est une atmosphère confinée et étouffante à laquelle la fin, trop abrégée à mon goût, apporte à peine un souffle de rédemption.

La critique a beau l'encenser, je ne trouve pas que ce soit LE meilleur Grangé que j'ai lu jusqu'à maintenant. Dès le début, le décor est posé : meurtre étrange au sein d'une église (décor qui ne changera que peu par la suite, d'ailleurs. Dommage), enquête menée par un flic à la retraite (Kasdan), qui court-circuite ses anciens collègues pour mener sa propre enquête parallèle et trouver l'assassin qui a osé profaner son sanctuaire.
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Roman surestimé de Grangé, je m'attendais franchement à quelque chose de beaucoup plus puissant, de la part de cet auteur que j'adore tant. Une fois de plus l'auteur et moi tombons d'accord sur plusieurs point de notre société actuelle, notamment une communauté en particulier. Même si je trouver la plume imbattable de cet auteur, ce roman est celui sur lequel j'ai le moins accroché. L'idée des enfants tueurs aurait été intéressante si ça avait été des enfant de Bogotá ou d'ailleurs des enfants élevé à la dure mais des enfants français franchement, non ça le fait pas. de plus deux flics qui en sont pas qui enquête sans être embêté par quiconque sauf à la fin pour faire bonne mesure, c'est totalement peu crédible. Une baisse de régime équivoque notre Grangé sur ce livre. Ne parlons même pas du cri qui tue, on est carrément dans de la science fiction ! J'aime bien quand c'est tiré par les cheveux mais là sa frôlait le ridicule d'un bout à l'autre. Deux flics trop caricaturaux qui ressemblent à pas grand choses. La scène de l'affrontement entre nos deux héros et les gosses tueurs est risibles aussi. Franchement une balle en pleine tête et s'en est fini de ce gosse ressemblant à un pygmée. Bref ma première grande déception de Grangé après Congo Requiem.