Nos étoiles contraires

J'ai mis beaucoup de temps avant d'écrire cette chronique. En fait, je crois que ce livre m'a tellement chamboulée que j'avais tout simplement peur de ne pas réussir à poser les bons mots sur ce que je ressens et de ne pas lui rendre justice.

Nos étoiles contraires est vraiment pour moi LE livre de l'année, celui qu'il faut avoir lu en 2013… un véritable bijou, un livre estampillé « grosse claque dans la tronche »…

C'est sûr qu'au premier abord, on se dit que ce livre doit être vraiment triste à en pleurer… « Une fille qui a cancer qui rencontre un garçon qui avait un cancer » eh bien non ! John Green est vraiment un maitre parce-qu' il a réussi à écrire un livre sur un sujet très dur et triste et à en faire quelque chose de profondément réaliste et à la fois horrible, beau et positif.

Le cancer est bien sûr le thème principal et il est omniprésent tout le long du livre mais pourtant, on n'est clairement pas dans l'apitoiement. C'est surtout une belle leçon de vie et une jolie histoire d'amour entre deux adolescents amoureux de littérature que la maladie n'a malheureusement pas épargnés. Augustus est un garçon plein de vie qui va permettre à Hazel de s'ouvrir, de sortir et lui faire comprendre qu'elle doit vivre sa vie et ses rêves. Que certes, son cancer fait partie d'elle mais qu'elle est aussi beaucoup plus que ça.

En plus de la belle histoire et belle morale, les personnages sont terriblement attachants, vrais, authentiques… tous. Je les ai tellement aimés que ce fut un déchirement de les quitter à la fin du roman. Malgré leur souffrance et leur maladie, Hazel, Augustus, Isaac ont su me faire sourire avec leur humour et leur intelligence, leur sens de la répartie.

Bon, je ne vous cache pas qu'on pleure quand même… Mon dieu, quelle fin ! Ça fait tellement longtemps que je n'ai pas pleuré autant pour un livre ! Mais Nos étoiles contraires, c'est ça : un concentré d'émotions pures, puissantes, intenses. C'est un livre magnifique et bouleversant sur la vie, sur la mort et sur l'amour qui nous fait passer en quelques lignes du rire aux larmes. Franchement, si vous ne devez lire qu'un livre cette année, ce devrait être celui-ci…
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C'est un très beau roman sur un sujet dramatique.
L'auteur a su nous montrer comment de grands malades vivent et supportent leur maladie en voulant surtout être comme tout le monde mais aussi en revendiquant leur différence.
Ce roman ne plonge jamais dans le mélodramatique, au contraire, il arrive que nous riions des aventures des jeunes héros.
Alors bravo à John Green !

Ce livre m'a fait passer du sourire aux larmes mais j'ai souri plus souvent heureusement.
J'ai beaucoup aimé le ton employé par Hazel pour parler de la maladie, pas de tabou, beaucoup de franchise et de l'humour à revendre. Elle est capable de profiter de la vie alors qu'elle sait que celle-ci sera courte et que ce n'est pas facile de vivre reliée en permanence à une bouteille d'oxygène.
Sa rencontre avec Augustus lui (leur) fait vivre une relation exceptionnelle emprunte de respect et d'amour. Ils s'adaptent chacun à l'état de santé fluctuant de l'autre.

"On est restés silencieux un moment, puis Gus a dit :
- Parfois, cette balançoire me manque.
- Celle qui était dans mon jardin ?
- Oui. Je suis tellement nostalgique que je suis capable de regretter une balançoire qui n'a jamais connu mon derrière.
- La nostalgie est un effet secondaire du cancer, ai-je dit.
- Non, la nostalgie est un effet secondaire de mourir, a-t-il répliqué." p. 247

Certains passages sont bien sûrs très émouvants, j'ai été très touchée par ce que vivent ces adolescents mais également par leurs parents.

La partie que j'ai moins aimée est celle concernant le projet évoqué dans la quatrième de couverture, cela m'a paru un peu moins réaliste que le reste. Ce sera mon seul bémol.

D'autres personnages sont également très touchants notamment Isaac qui perd la vue à cause de son cancer et sa copine qui le laisse tomber, ceci est une autre conséquence de la maladie de même que de perdre contact avec les amis qui s'éloignent.

Un livre sur un sujet fort qui est bien traité sans ton larmoyant mais au contraire avec humour et des personnages prenant la vie qui leur reste à bras le corps.



De cet auteur j'avais déjà lu mais pas trop aimé Qui es-tu Alaska ?


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Hazel a un cancer des poumons. Au groupe de soutien où sa mère l'oblige à aller, elle rencontre Augustus alias Gus, un rescapé qui a tout de même perdu une jambe. Ils se cotoient et apprennent à se connaitre ! Ils parlent surtout de lecture, plus précisément de leurs livres favoris ! Les sentiments évoluent très vite... tout comme la maladie...

Ce roman n'était pas encore sorti qu'il faisait grand bruit sur la blogopshère ! Je dois dire que l'histoire et l'auteur m'intriguaient beaucoup et c'est pourquoi j'ai eu envie de le découvrir.

Je connaissais l'auteur de nom car il a écrit "Qui es-tu Alaska?" qui a eu un véritable succès et que je dois toujours lire (oui oui c'est prévu ^^) ! Je suis donc très contente de le découvrir à travers son dernier roman.

L'histoire en elle-même s'annonce fort en émotion. Effectivement le thème de la maladie, en particulier du cancer, n'est pas très réjouissant et lorsqu'on lit un livre sur ce thème, on a tendance à vite tomber dans le pathos. ici ce n'est pas le cas, l'auteur se met réellement bien à la place des malades et fait oublier au lecteur tous les tabous autour du cancer. Les personnages en parlent librement et ne se taisent pas sur le sujet.

L'histoire d'Hazel et Gus est touchante et émouvante. C'est réellement une belle histoire et chaque fille rêverait d'avoir un Gus qui ferait tout ce qui est en son pouvoir pour réaliser les rêves d'Hazel.

Côté émotion, on pourrait croire que cette histoire sera forcément triste et morbide... eh bien pas du tout ! L'auteur a réussi son pari à savoir celui d'immiscer des petites touches d'humour par ci par là, ce qui permet au récit de bouger, d'évoluer, bref de le rendre vivant ! Les stéréotypes sont complètements balayés et ça fait vraiment du bien de lire une histoire comme celle ci !

J'ai beaucoup aimé le lien avec la lecture. En effet, Gus et Hazel échangent leur point de vue et argumentent, quitte à faire pencher l'autre vers son avis ! ^^

Bref, un roman jeunesse à découvrir par les ados mais aussi par les adultes !

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Ce livre, je le voulais depuis tellement longtemps que lorsqu'un ami m'a proposé de me le prêter pour en faire mon avis personnel, je n'ai pas su résister ! Je suis tombée sur tellement de bonnes chroniques que je ne pouvais pas passer à côté ! La couverture ne m'attirait pas plus que ça et sans ces avis, je ne pense pas que je l'aurais lu un jour.

Dans ce livre, nous pouvons suivre le personnage d'Hazel dans son combat pour survivre. En effet, elle est atteinte d'un cancer qui la tue un peu plus chaque jour. Pourtant, elle ne s'en plaint pas, au contraire. Elle est pleine d'entrain, d'humour et reste réaliste quant à sa maladie.
Elle ne peut vivre sans sa bonbonne d'oxygène près d'elle, sans cette canule qui l'aide à respirer.
Elle fait partie d'un groupe de soutien aux malades présidé par Patrick, un homme assez bizarre et trop atteint moralement par le cancer qu'il a eu. Grâce au fait que l'auteur ait écrit l'histoire à la première personne du singulier nous permet de mieux rentrer dedans et de ressentir, ou non, la même chose qu'Hazel.
Pendant l'une de ces séances, elle fera la connaissance d'Augustus, l'ami d'Isaac qui est une de ses connaissances. Une amitié se créera au fur et à mesure entre eux jusqu'à ce qu'elle devienne plus forte du côté du jeune homme.
Cette relation était certes prévisible, mais elle est belle et bien écrite. Je la trouve hachée dans le sens où Hazel ne sait pas si elle doit vraiment se faire un ami. Elle a peur de le faire souffrir, que ça évolue vers quelque chose de plus beau et de plus intime. Elle se considère comme un grenade prête à exploser à tout moment.

À force de se voir et d'échanger, ils se rendront compte qu'ils ont pas mal de points communs mais surtout un : la lecture. Hazel va lui prêter un livre qui se nomme « une impériale affliction » qui sera une révélation pour son ami. À chacune de leur conversation, ou presque, ils ne pourront pas s'empêcher d'en parler.
Lors d'un voyage à Amsterdam, où ils vont rencontrer l'auteur du roman, une Hazel se rend enfin à l'évidence : elle ressent bien plus qu'une forte amitié pour Augustus. Ils vont bien vite se rapprocher mais vient un événement qui va tout gâcher, ou presque.
Dès lors, ce sera le combat contre la maladie, ils ne seront jamais aussi proches, passant leurs journées ensemble, riant, parlant, regardant la télé.

La fin m'a fait couler quelques larmes. Bien que je m'y attendais, c'est toujours dur de lire un final pareil et qui fait autant mal. Je vais sûrement en décevoir plus d'un, mais cette lecture n'est pas un coup de coeur, ni un coup de foudre, comme je le pensais. Je pense qu'à lire tous ces avis, j'en attendais beaucoup trop pour réellement être prise dans l'histoire.

En plus de cela, je ne me suis pas réellement attachée à Hazel. Pourquoi ? Je n'en sais trop rien. Augustus m'a plus touchée avec sa maladie et Isaac aussi, mais par Hazel ^^' c'est dommage parce que je pense que j'aurais été bien plus dans l'histoire. Mais ça n'engage que moi.

Si parmi ceux qui lisent cette chronique, vous avez des avis qui divergent, n'hésitez surtout pas à venir donner votre avis, je serais heureuse d'en parler avec vous !

En résumé, une bonne lecture, agréable, drôle par moment, sensible et qui touche une réalité de tous les jours. L'auteur montre aussi le réel sens de l'amitié et les valeurs que nous inculquent nos parents. J'ai trouvé qu'à certains moments, cette histoire était une vraie leçon de vie.

-- Je suis amoureux de toi, a-t-il dit à mi-voix.
-- Augustus.
-- C'est vrai, a-t-il dit en me regardant, et j'ai vu ses yeux se plisser. Je suis amoureux de toi et je ne suis pas du genre à me refuser le plaisir de dire des choses vraies. Je suis amoureux de toi et je sais que l'amour n'est qu'un cri dans le vide, que l'oubli est inévitable, que nous sommes tous condamnés, qu'un jour viendra où tout ce qu'on a fait retournera à la poussière, je sais aussi que le soleil avalera la seule terre que nous aurons jamais et je suis amoureux de toi.
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MISE A JOUR DE MA CHRONIQUE!



J'ai fini » Nos étoiles contraires » il y a quelques minutes. Je sors de ce livre bouleversée.

Parlons tout d'abord de l'objet livre en lui même, je le trouve vraiment très beau, je trouve que les couleurs vont très bien ensemble et j'aime beaucoup la texture » douce » qu'il a.

Dans ce livre nous rencontrons Hazel qui est atteinte d'un cancer et qui se sait condamnée. Les médicaments qu'elle prends arrête l'évolution de sa maladie. Lorsqu'elle se rends au groupe de soutien elle rencontre Augustus qui lui a un cancer et est en remission.

On rencontre aussi Isaac à qui il ne reste plus qu'un oeil et qui va devenir aveugles. Ces trois la deviennent vite amis. Mais entre Hazel et Augustus cela deviens vite beaucoup plus que de l'amitié.

Entre ce livre et moi c'est une histoire d'amour assez particulière. Pour être tout à fait honnête en commençant ce livre j'avais un mal fou à me concentrer dessus. Je n'aime pas tellement le style d'écriture de l'auteur.

Ce livre est le premier livre de John Green que je lis.

Je me suis dis que j'allais passer outre cette idée et faire un maximum d'effort pour me concentrer sur ma lecture et sur rien d'autre.

Et je suis tellement contente d'avoir réussi.

Au delà des 100 pages j'ai commencé à beaucoup m'attacher à Hazel et Augustus mais aussi à Isaac et aux parents d'Augustus et Hazel.

J'avais constamment peur pour Hazel et Augustus. Je me disais à chaque passage » ce moment est trop parfait, trop formidable, je sens qu'il va se passer quelque chose qui cassera ce si beau moment « .

J'ai trouvé la relation amoureuse entre Hazel et Augustus tout simplement magnifique. Pourtant, je trouve, qu'on ne nous donne pas tant de détails que ça sur leur relation mais la façon dont sont tournés les phrases, on ne peut que se douter qu'ils s'aiment d'un amour fort et sincère.

Je savais qu'à un moment donné dans le livre un des personnages allaient nous quitter .. mais lorsque cela est arrivé, ça m'a bouleversé.

Je suis un peu déçue par la fin, j'aurais tellement voulu savoir ce que deviennent Hazel et ses parents et même Isaac.

Je finirais par ce dessin et cette citation du livre que je trouve tout simplement magnifique :

Je suis tombée amoureuse pendant qu'il lisait, comme on s'endort : d'abord doucement et puis tout d'un coup.
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Hazel est atteinte d'un cancer incurable qui lui oblige à trimbaler tout le temps une bombonne à oxygène. Alors qu'elle se rend à son groupe de soutien, elle rencontre Augustus. le coup de foudre. Mais Hazel a du mal à se décider, s'engager ou pas ? Se diriger vers ce monde inconnu mais qui l'intrigue.

Waouh. Voilà, ce mot exprime mon ressenti. Je ressors de cette lecture complètement bouleversé, une lecture qui m'a émue. Je crois que j'ai fini l'année avec un beau coup de coeur. Hazel est un personnage très attachant. Elle est vraiment forte face à tout ce qui lui arrive. Elle montre vraiment beaucoup de courage, elle va mourir mais elle profite de tous les moments. Ensuite, Augustus. Je suis tombée amoureuse de lui en même temps qu'Hazel.

Au début, j'ai eu un peu peur d'être déçue. « L'année où j'ai eu dix- sept ans, vers la fin de l'hiver, ma mère a décrété que je faisais une dépression.» Cette première phrase m'as peu enchantée, j'ai cru que j'allais rencontrer une adolescente au bord du suicide. Au contraire, j'ai découvert une jeune fille forte et qui as un humour sans limite ! le thème du cancer m'as un peu refroidi. Je me posai cette question avant d'ouvrir le bouquin, comment l'auteur va aborder le thème et me convaincre à continuer ma lecture. Il a réussi par ses mots, ses phrases, cette histoire. Il a aussi réussi à tourner le récit en histoire d'amour sans que ça m'insupporte que je trouve cela complètement bateau. C'est comme quand vous mélanger des ingrédients ensembles alors que ce n'est pas écrit dans la recette. Au début, vous avez peur que le résultat ne soit pas très bon, vous ne cessez de vous répétez « Je n'aurai pas du faire ça ! ». Mais au final, le résultat est délicieux.

J'ai retrouvé la plume de l'auteur John Green que j'avais découvert dans le théorème des Katherine, que j'avais tout simplement adoré. Mais je crois que l'auteur a du se surpasser en écrivant Nos étoiles contraires. On est au centre d'un ouragan qui nous emporte loin, vers l'histoire d'amour de deux adolescents. On est submergé par les émotions que l'on ressent. Je suis passé d'une émotion différente à une autre en un éclair. Il m'arrivait d'hurler de rire avant de sentir les larmes me montaient aux yeux. Nos étoiles contraires, c'est un mélange de sensations extraordinaire.

John Green m'as donné envie de lire ses autres ouvrages. Je n'hésiterai pas à relire ce livre des milliers de fois, je pense.

Second roman de John Green que je lis, et seconde claque que je me prends. Après "Qui es-tu Alaska ?", voilà que "Nos étoiles contraires" fait son entrée dans le club très fermé des livres qui m'ont bouleversé..

Ce livre aborde un thème que l'on retrouve peu en littérature, non pas celui de la maladie mais plutôt les à-côtés de celle-ci. La façon dont les personnes atteintes considèrent le mal qui les ronge, leurs relations avec les autres, leurs certitudes, leurs craintes, leur vie tout simplement..
Nous suivons donc Hazel, jeune fille de seize ans, qui est atteinte depuis quelques années d'un cancer en phase terminale, mais qui n'évolue plus grâce à la prise d'un nouveau traitement. Alors qu'elle se rend, pour faire plaisir à sa mère, à une réunion de soutien avec de jeunes gens qui, comme elle, se battent contre le cancer, elle va rencontrer Augustus, un garçon qui a perdu une jambe suite à cette maladie, mais qui semble désormais hors de danger. le courant va très bien passer entre eux, ils vont partager de nombreuses choses, notamment leur passion pour la lecture, et devenir très proches. Si Hazel ne souhaite pas se lier davantage à lui pour lui éviter d'être triste lorsqu'elle s'en ira, lui ne voit pas les choses de la même manière. Ce duo détonnant nous embarque alors dans leur histoire à rebondissements..

Ce livre est émouvant, c'est une belle histoire qui nous fait passer par tout un tas d'émotions. Il est évidemment difficile de ne pas pleurer, être triste ou ému, mais c'est également une livre qui fait rire. Les dialogues, les reparties entre les personnages m'ont beaucoup fait sourire, souvent à des moments où je ne m'y attendais pas, et j'ai trouvé ça très agréable.
Je me suis beaucoup attachée aux personnages d'Hazel ou d'Augustus qui ont chacun une façon de voir la vie, des idées précises sur ce qu'ils souhaitent, partageant une complicité forte et une très belle façon d'être ensemble en dépit des épreuves qu'ils traversent. J'ai également apprécié leurs parents respectifs, découvrant leurs comportements et réactions en fonction des évènements vécus par leurs enfants; Et enfin, leur copain Isaac, un pote en or, qui en bave lui aussi, mais qui m'a bien fait rire à plusieurs reprises, parfois à ses dépends d'ailleurs !
On passe vraiment de bon moments - et des moins bons - avec eux tous. le point fort de ce livre est la relation d'Hazel et Augustus, belle et touchante mais également le talent de l'auteur pour faire passer tous ces sentiments et ces émotions à travers ses mots. J'ai lu ce livre très rapidement, complètement prise dans cette histoire qui m'a chamboulée, curieuse de ce qui allait se passer par la suite, mais inquiète en même temps vu le contexte. J'ai quelque fois oublié que nos protagonistes étaient malades, ce qui m'a fortement étonnée !

J'ai refermé ce livre avec un sentiment étrange, difficile à décrire.. Contente de cette lecture, de cette histoire sur la vie et chamboulée à la fois par tout ça. Je sais en tout cas que je vais y penser encore pendant quelques temps !
Si vous voulez le découvrir, rendez-vous le 21 février 2013 dans votre librairie :)
Lien : http://cho0kette.blogspot.fr..

J'ai découvert ce livre totalement au hasard, au CDI de mon collège. J'avoue qu'au début, la couverture ne me donnait pas forcément envie de lire ce livre. Mais finalement, j'ai adoré, c'est mon livre préféré. Je l'ai dévoré en quelques jours à peine. Je l'ai lu plusieurs fois, et à chaque fois, je trouve la profondeur de réflection de l'auteur encore plus poussée, encore plus présente dans l'histoire. C'est un livre triste qui se finit mal, et qui explique les choses de manière franche et juste.
"Nos étoiles contraires" est un livre qui fait réfléchir, dont j'en recommande la lecture au plus grand nombre !

Si un livre m'a marquée c'est bien lui. Il fait rêver et pleurer en même temps et on ne peut qu'être touché par l'histoire d'Hazel et Augustus, deux personnages extrêmement attachants. Je l'ai lu une première fois au collège et 7 ans plus tard l'ayant aperçu dans une bibliothèque j'ai eu envie de le relire et j'ai été surprise de remarquer que je me souvenais de tout (moi qui d'habitude me rappelle jamais des livres que je lis !).
Bref c'est un livre qui fait passer par toutes les émotions et qui donne envie de vivre !