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4,18

sur 17581 notes
J'ai lu "nos étoiles contraires" très rapidement, pendant les vacances de Noël. Pas forcément le meilleur moment pour lire un livre sur un tel sujet!
Je suis rentrée tout de suite dans l'histoire, je me suis attachée aux personnages et j'ai trouvé ça vraiment sympathique... Bon il y a des moments j'avoue avoir trouvé ça un peu trop...mielleux mais l'histoire tient et je conseille vivement !
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Depuis le temps qu'on me parlais de ce livre, j'ai voulu m'y risquer avant la fin de l'année et quoi de mieux que le 30 décembre pour commencer ça lecture et je ne pensais pas qu'une fois ouvert je plongerais tête la première dans se roman pour ne plus le lâcher. Il ma fallut 6 heures pour en venir a bout et je crois que j'ai laisser une partie de moi en plus des larmes que j'ai pu verser avec cette lecture.

Il y a des livres qu'on es toujours prêt a ouvrir et il y en a d'autre.... ou on se sent tellement petit devant eux qu'on se rencontre qu'on ne sera jamais prêt a aller jusqu'au bout... mais pourtant, malgré les larmes, on va jusqu'au bout.

J'ai été en pleure dès le milieu du livre... pour la simple et bonne raison que John Green ne nous a pas édulcorer la maladie pour en faire un conte de fée ou tu se termine bien.
Non! Il a montrer la maladie dans toute sa gloire, quand on c'est que même après un combat acharner contre elle, on ne peut pas gagner car Gus le dis si bien "la maladie c'est nous" et se battre contre nous même c'est peine perdu.

Le dépression d'Hazel est bien décrite. Pourquoi se lever chaque matin? Avancer pour qui? Pour quoi? Aillant été moi malade il y a quelques années. J'ai combattu contre une partie de moi même et je me suis parfaitement retrouver dans les sentiments qu'échange Gus et Hazel et la vérité fait mal, mais nous rend un peut plus vivant chaque jours.

Je conseils a chaque personnes qui nous suit, de lire ce roman et d'en faire profiter au plus de monde possible.

J'aurais totalement du le laisser fermer, même si je ne regrette pas de l'avoir lu.....
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Il faut définitivement que j'arrête de lire les romans pour adolescents, car ils ne sont pas mon truc.

J'ai trouvé les personnages mièvres, j'ai eu l'impression que l'auteur lui-même ne savait pas comment se dépétrer avec son personnage de van Houten.

Alors oui, il plaira aux ados, mais il faut croire que j'ai passé l'âge.

Bref, je n'ai pas aimé.

Est-ce que par hasard je traverserai un passage "bougon" ? Affaire à suivre...
Lien : http://motamots.canalblog.co..
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Hazel a 16 ans et un cancer de la thyroïde. Obligée de respirer grâce à des bonbonnes d'oxygène, elle refuse de s'attacher aux gens. Condamnée, grenade prête à être dégoupillée comme elle le dit elle-même, avec la mort comme voisine.

Augustus, lui, va bien. Si tant est qu'un jeune de 17 ans atteint d'un cancer des os et amputé d'une jambe puisse aller bien. Mais son cancer à lui est en rémission.

Entre la première qui ne veut pas aimer et le second qui ne demande que ça, entre la maladie et les moments de répits, avec beaucoup d'humour et autant de larmes, une jolie histoire se construit.

Il n'est pas nécessaire d'en écrire beaucoup plus. Vous allez rire, vous allez pleurer, vous allez être charmés, vous allez gronder. Et vous dire qu'il n'y a pas de justice dans le monde.

Ah si, il y en a une : que John Green soit né, qu'il ait pris la plume et que Nos étoiles contraires soit arrivé jusqu'à nous.
Lien : http://therewillbebooks.word..
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"Certains infinis sont plus vastes que d'autres"

Waouh.
Il y a quelques mois, j'ai lu Qui es-tu Alaska?, que j'ai vraiment apprécié. de l'excellente littérature jeunesse. Fine, intelligente, très bien écrite. de celle qui donne envie de pouvoir choisir les titres à proposer aux élèves et que nous, adultes, pouvons leur piquer sans honte. Et lorsqu'on en parlait entre lectrices, ça se finissait généralement par "Tu as vu, le nouveau est sorti. Il a l'air excellent, il FAUT que je le trouve". Autant dire que l'attente n'était pas des moindres et que je risquais donc d'être déçue. Et très franchement, John Green a fait plus que répondre à mes attentes et c'est un vrai gros coup de coeur.

Bien sûr, le thème n'est pas folichon. Bien sûr, on sait qu'on risque de morfler. Mais ne vous privez pas de cette lecture par peur de n'y rencontrer que de la tristesse. John Green met en scène des adolescents malades, certes, dont la vie se construit en fonction de la maladie, mais qui ne se résument pas à leur maladie. Ses adolescents sont ceux que l'on rêve de côtoyer plus souvent : loin des clichés et stéréotypes habituels, et même s'ils se rebellent, ils sont intelligents, réfléchis, pleins d'humour et de répartie. Pleins d'humour noir, notamment : les vannes qu'ils se lancent concernant leur état respectif m'ont d'abord laissée sans voix, avant de prendre conscience qu'ils peuvent se le permettre, eux qui sont plongés jusqu'au cou dans le cancer, ses traitements et les effets secondaires de ces derniers. Ils n'abordent d'ailleurs pas les choses de la même façon avec leurs amis cancéreux qu'avec leurs parents. Ils font preuve d'une lucidité désarmante, n'éludant jamais le sort qui les attend et ça détermine parfois leurs réactions vis-à-vis des autres, de leurs parents notamment, qu'ils souhaitent épargner.
Hazel et Augustus, mais aussi Isaac, sont tellement vrais, tellement vivants (oui, malgré le thème) qu'ils en sont infiniment attachants; j'ai eu énormément de mal à les quitter. Je pense qu'Augustus est un des plus beaux personnages que j'ai rencontré. Et les personnages secondaires sont loin d'être en reste : les parents, qui gèrent comme ils peuvent, l'animateur du groupe de soutien, l'écrivain qu'Hazel et Augustus rêvent de rencontrer ou encore sa secrétaire, tous apportent leur pierre à l'édifice.
C'est triste et émouvant, cynique, mais aussi léger et très drôle et, sincèrement, on rit de bon coeur devant certaines scènes (la rencontre avec l'écrivain van Houten -descendant du créateur du cacao en poudre du même nom, j'adore!- ou les parties de jeu vidéo par exemple).
John Green a réussi là, pour moi, un coup de maître : à partir d'un sujet potentiellement assez casse-gueule, il nous offre un roman intelligent, drôle, beau et émouvant, qui met une boule dans la gorge et mouille les yeux mais sans que l'impression qui nous imprègne soit la tristesse, sans être mièvre ou déprimant. C'est beau et sensible, servi par une très belle écriture, fluide et naturelle. Mr Green, j'ignore quel sera votre prochain roman, mais vous avez mis la barre haut, très haut...
Lien : http://margueritelit.canalbl..
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Un livre ayant pour sujet principal le cancer, un livre jeunesse qui s'adresse donc à la jeunesse, avec pour héros 2 jeunes gens avec qui la vie n'a pas été généreuse.
Un livre difficile à lire pour des adultes, des parents. un livre que l'on lit avec la peur, une boule au ventre. Comme Hazel il n'est pas toujours facile de respirer.
Une écriture pleine de justesse, des mots simples d'adolescents touchés par une maladie qui ne laisse pas de doute quand à son issue.
Une histoire émouvante, éprouvante.
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J'ai trouvé ce roman très sympa sans être exceptionnel. Peut-être est-ce du au fait que je ne lis essentiellement que des romans dans ce genre, mais toujours est-il que je lui avais préféré toi et toi de Jenny Donham. Les sentiments était bien plus profond...

Si vous aimez les histoires tristes et tragiques d'adolescents, ce livre est fait pour vous!
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et voilà livre dévoré en une après midi je ne pouvais plus lacher le livre .j'étais tellement dans l'histoire Gus et d'Hazel que je passé du rire au larme ! et quel surprise dans ce livre je ne m'attendais pas à ça . je recommande vivement de le lire !
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On m'avait bien prévenue que j'allais avoir besoin de beaucoup de mouchoirs parce que The Fault in our Stars, c'est un livre qui vous fait pleurer à chaudes larmes. Et effectivement, j'ai pleuré. Mais ce à quoi je ne m'attendais pas, c'est que j'ai beaucoup ri aussi. En fait, je ne m'attendais absolument pas à voir un tel torrent d'émotions déferler sur moi au fil des pages.

The Fault in our Stars, c'est l'histoire de Hazel, seize ans, en phase terminale d'un cancer qui a rendu ses poumons HS. Seul un médicament miracle nommé Phalanxifor permet d'endiguer la progression de sa tumeur, lui accordant ainsi quelques années de sursis, mais elle sait très bien qu'elle est condamnée à plus ou moins long terme. Sa vie d'adolescente malade n'est pas des plus passionnantes, mais change du tout au tout lorsqu'elle fait la connaissance d'Augustus Waters, dix-sept ans, atteint lui aussi de cancer (on a dû l'amputer d'une jambe à cause d'un ostéosarcome), mais à la différence de Hazel, lui est en rémission. Ensemble, ils vont vivre une très belle histoire d'amour, qui les mènera jusqu'au bout du monde, en dépit de la maladie.

Je dois dire qu'au départ j'avais un peu peur de lire un livre dont le thème principal est le cancer, surtout parce qu'ayant moi-même perdu une personne très proche des suites de cette maladie, c'est un sujet que je connais bien, et je craignais qu'il soit mal traité et que le roman soit bourré de clichés. Heureusement, ce n'est pas le cas. Les personnages ne font pas que pleurer et se lamenter sur leur sort. Même si c'est triste (on se doute dès le début que cette histoire ne va pas bien se finir), et qu'on est obligé de pleurer à un moment où un autre, le ton reste tout de même très léger et finalement, j'ai plus ri que pleuré en lisant ce livre. En fait, plus qu'un livre sur le cancer, The Fault in our Stars est un livre sur la vie, l'amour, et la mort.

Les deux personnages principaux sont absolument adorables. Ils sont certes malades, mais ils sont surtout débordants de vie et essaient d'être des adolescents « normaux ». Ils lisent et se prennent de passion pour un livre un particulier qui rythmera l'ensemble de leur relation. Hazel regarde plusieurs épisodes d'America's Next Top Model d'affilée. Augustus joue les héros et se sacrifie pour des innocents dans des jeux vidéo sanglants. Bref, ils ont le cancer, mais ils ont aussi le désir de vivre comme les autres.
Leur histoire d'amour avance tout doucement, et j'ai vraiment aimé suivre sa progression, comment ils se rapprochent petit à petit de plus en plus. Et surtout, j'ai adoré leurs conversations, de leurs échanges de sarcasmes à leurs discussions pseudo-philosophiques sur tout et n'importe quoi.

Je pourrais trouver quelques défauts à ce livre, si je voulais – comme le personnage de van Houten qui est selon moi beaucoup trop exagéré, mais je ne le ferai pas, parce que ce ne sont que des détails sans grande importance. le plus important, et ce qui fait la force de ce roman, c'est la quantité d'émotions que l'on éprouve au fil des pages, cette capacité qu'a l'auteur de nous faire passer du rire aux larmes puis des larmes au rire en un clin d'oeil à travers l'histoire de ces deux héros plus qu'attachants.

En conclusion, The Fault in Our Stars est un livre qui restera longtemps dans ma mémoire, je pense. John Green a parfaitement su parler du sujet douloureux qu'est le cancer, et même si la mort est très présente dans ses pages, pour moi ce livre est avant tout une très belle ode à la vie.
Lien : http://i-read-therefore-i-am..
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Hazel 16 ans est atteinte d'un cancer de la thyroïde et ses poumons sont truffés de métastases, elle sait qu'elle est condamnée. Elle vit accrochée à une bonbonne d'oxygène qu'elle traîne derrière elle en permanence. Hazel se referme un peu plus chaque jour sur elle-même, elle est déprimée. Lors d'une de ses séances hebdomadaires avec d'autres jeunes de son âge également atteints de cancer, elle fait la connaissance d'Augustus un jeune garçon de 17 ans en rémission d'un ostéosarcome qui lui aura néanmoins valu une demi-jambe. Cette rencontre va tout changer…

Une histoire d'amour naît entre deux jeunes « éclopés » de la vie (c'est ainsi qu'ils se nomment eux même dans ce roman.), deux jeunes âmes brillantes, intelligentes, rêveuses qui se rencontrent à un moment de l'adolescente où chaque être humain aspire normalement à devenir quelqu'un, faire quelque chose de sa vie, se construire… eux savent tous les deux qu'ils n'aurons pas d'avenir.

Hazel est une jeune fille passionnée par la poésie et la lecture et qui réapprendra à vivre en dépit de sa maladie et à s'ouvrir aux autres grâce à Augustus. Augustus est synonyme de joie de vivre, beau, charmeur, intelligent l'ont ne peut que l'aimer et s'attacher à son personnage. Même lorsqu'il est au plus mal, son attitude enjouée et sa force délivre un formidable message, une rage de vivre, tentant de profiter de chaque instant comme s'il s'agissait d'un cadeau qui lui était offert.

Pour être honnête le thème de la maladie n'est pas ce que je préfère lire, je lis généralement pour m'évader, me distraire et non pour pleurer. Or l'auteur a réussi ici un véritable coup de maître car malgré la noirceur du thème abordé, ce roman est vraiment plaisant à parcourir. (Bien évidemment j'ai pleuré, j'ai eu la gorge serrée…mai probablement plus grâce à la force des mots employé par l'auteur que par les circonstances elles-mêmes.) John Green parvient avec brio à nous émouvoir mais sans jamais tomber dans le pathétique et le tragique. Ses personnages sont beaucoup trop intelligents pour cela.

En bref : Nos étoiles contraires est bien loin des romans fantastiques et épopées magiques dans lesquelles j'aime me plonger d'ordinaire et dont il est impossible de connaitre la fin, car dans ce genre de récit tout est possible ! Ici malheureusement dès les premières lignes on connait déjà la fin. Mais malgré cela il y a beaucoup d'humour et d'intelligence au sein de cette lecture. Et puis de la poésie, beaucoup de poésie… Pour finir je dirai que ce qu'il faut retenir de ce roman n'est pas uniquement la maladie et tout ce qui s'y rapporte mais surtout et en majeure partie l'Amour, un amour intense et passionné.
Lien : http://www.a-lu-cine.fr/nos-..
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