Tortues à l'infini

Il faut aller bien pour lire cette histoire, car la vie de la jeune Aza n'est pas simple. Les angoisses, les peurs d'elle-même, de la maladie, des bactéries la rongent.
Mais c'est un beau roman. L'amitié, la force, le courage l'aident à avancer. Malgré la maladie le personnage fait son bonhomme de chemin. L'auteur n'hésite pas à utiliser l'humour pour relativiser et permettre au personnage de dépasser ses souffrances.
J'ai passé un bon moment de lecture. Je recommande vivement ce roman aux adolescents qui ne vont pas bien (l'adolescence est difficile pour beaucoup, même quand on n'a pas de pathologie identifiée), c'est une bouffée d'air frais qui permet de percevoir les bons côtés de la vie même quand tout parait sombre. (ce que j'écris peut paraître mièvre mais ce n'est pas du tout le cas de ce roman).
Une bonne et belle lecture. Je découvre la plume de cet auteur et j'ai bien envie d'aller lire ses autres livres.

J'ai enfin lu ce livre qui trônait en haut de ma pile à lire depuis des mois. Et honnêtement, il m'a bouleversée.

Aza est une lycéenne orpheline de père "atteinte" de pensées obsessionnelles. Elle et sa meilleure amie Daisy vont entendre parler d'un millionnaire porté disparu . Une grosse récompense est promise à celui ou celle qui aurait des informations sur lui. Et il se trouve qu'Aza connaît le fils aîné de ce millionnaire. Les deux amies vont donc décider de se lancer sur la piste de cet homme, ce qui amènera Aza à faire la rencontre de Davis, le fils mystérieux de celui-ci.

En tant que personne non sujette aux troubles obsessionnels compulsifs, je ne suis jamais parvenue à vraiment comprendre ce phénomène. Mais le merveilleux auteur qu'est John Green a réussi à mettre des mots sur cette spirale infinie de pensées dans laquelle sombre souvent Aza, a réussi à me faire ressentir ce qu'elle pouvait ressentir, a réussi à me faire partager sa douleur.
Ce livre a été un réel coup de coeur pour moi. Car au-delà des TOC d'Aza, ce roman raconte une magnifique histoire d'amour, le besoin d'être entouré et de se sentir aimé et cette recherche de soi-même lorsqu'on est adolescent. Et ce raconté avec humour et émotion comme sait si bien le faire John Green!
En somme, je conseille ce livre à tout le monde, sans exception.

Bonjour !
J'AI LU : Tortues à l'infini de John Green publier dans la maison d'édition Gallimard.

Alors franchement Aza est un personnage magnifique et attachant.

Tout au long de l'histoire on la suit elle et sa maladie mais aussi Davis et la disparition de son père. C'est une histoire qui concerne l'auteur (apparemment) et je trouve que Aza est un très bon personnage.

Il n'y a qu'un seul personnage que je n'ai pas aimer c'est Daisy, contrairement à plein de gens je n'ai pas aimer ce personnage elle dit à Aza qu'elle la trouve égoïste parceque elle ne pense que a elle et sa maladie et qui ne s'intéresse pas à la vie de sa meilleure amie Daisy mais elle ne se rend pas compte de la gravité de la maladie de sa copine.

J'ai vraiment aimer le livre, il y a beaucoup de citation noter dans ce livre parfaite pour cette fameuse histoire !

Je le conseille à ceux qui sont intriguer par ce genres d'histoires et ceux qui aiment John Green.

A bientôt et bonne lecture à tous ! ^^

Aza Holmes est en Première au lycée et lutte constamment contre ses angoisses et des pensées intrusives qui virent à l'obsession. Elle s'enfonce souvent sur des peurs autour des micro-organismes qui vivent en elle et notamment la bactérie du Clostridium difficile (CD) qui est présente naturellement chez certains individus, mais peut devenir fatale lors de son dérèglement après une prise d'antibiotiques. Lorsque le milliardaire Russell Pickett, la meilleure amie d'Aza : Daisy, insiste pour mener l'enquête afin de récupérer la récompense. Première étape : aller voir Davis, le fils du disparu, voisin et copain d'enfance d'Aza. Commence alors une folle histoire d'amour, d'amitié et de recherche d'identité.

Six ans après Nos Étoiles contraires, John Green revient enfin avec un nouveau roman qui parle cette fois-ci la douleur psychique et la difficulté de vivre avec une maladie mentale. On retrouve tout de suite la force narrative percutante de cet écrivain qui sait aborder les maux adolescents avec un certain brio. Il nous offre ici un récit personnel et touchant sur les troubles obsessionnels compulsifs dont il est lui-même atteint depuis toujours.

Aza est donc un personnage d'autant plus puissant pour le lecteur. On s'attache irrémédiablement à elle et son histoire complexe qu'elle nous livre à travers un regard incisif et réaliste. Sa personnalité oscille entre un humour certain doublé d'une belle envie de vivre et ses angoisses abyssales. Aza lutte constamment contre elle-même et la spirale infernale de son trouble psychique.
À ses côtés se dresse la pétillante Daisy, fan de Star Wars et auteur d'une fanfiction romantique entre Rey et Chewbacca. La jeune fille est une alliée indéfectible pour Aza qu'elle surnomme affectueusement Holminette.
Dernier adolescent de ce tableau : Davis, le fils de Russell Pickett qui s'est enfui pour échapper aux forces de l'ordre et recherché pour fraude et corruption. Davis est un garçon torturé, obligé de s'occuper d'un jeune frère à la tristesse incommensurable. Là encore, il y a une belle profondeur dans ce protagoniste attachant en pleine quête d'identité.
Autour de ce trio se dresse une foule de personnes secondaires qui apportent un véritable intérêt à la trame du récit.

John Green crée donc des personnages variés mués par de nombreux problèmes personnels. Alors que chacun se cherche, notamment à travers diverses discussions et de l'introspection d'Aza, un petit aspect thriller se développe autour de la disparition du père de Davis et Noah. Si ce n'est pas tout à fait le but du roman, ça reste une ligne directrice plutôt agréable à suivre qui met un peu de piment dans la totalité de l'histoire.

Quant aux angoisses d'Aza, elles sont puissantes et nous plongent dans le tourment permanent qu'elle vit avec une justesse inégalée. D'un point de vue personnel, j'ai été chamboulée par certains passages qui m'ont rappelé certains (mauvais) souvenirs. C'est toutefois un roman plein d'espoir, de vie et de réalisme. le tout fait parfois mal, mais souvent sourire et réfléchir à la vie.

En Bref :
John Green nous livre ici un roman touchant qui remue au plus profond de soi. Il aborde, avec son génie narratif habituel et sa plume percutante, un certain nombre de problèmes de l'adolescence ainsi que la souffrance psychique. Cette dernière est retranscrite avec une rare justesse et une grande intelligence.
Lien : http://lespetitsmotsdesaefie..

Aza 16 ans vit une adolescence compliquée à Indianapolis!
Elle est en effet torturée depuis son enfance par ses troubles obsessionnels compulsifs, sa vie et ses rituels vont être complètement bouleversés lorsqu'elle va décider avec sa copine Daisy, d'enquêter sur la disparition soudaine du milliardaire Russell Picket.

Elle n'avait pas prévu non plus de tomber amoureuse du fils Picket, Davis.

J'ai trouvé ce roman excellent, peut être l'un des meilleurs de l'auteur!
Il arrive a travers le personnage d'Aza a bouleverser le lecteur sur ce que sont les TOC !
On ressent vraiment un livre très personnel de l'auteur, lui même atteint de ses troubles.

Je pense, je suis même sûre qu'il n'y a pas assez de mot sur Terre pour décrire ce roman magnifique,bouleversant et surtout extrêmement bien écrit.
Je confirme que c'est le roman le plus personnel de John Green et d'après moi c'est aussi son meilleur.
C'est l'histoire d'Aza une jeune fille de 16 ans qui à une maladie mentale, elle à des pensée très envahissante trop... d'ailleurs ce que j'ai vachement aimé c'est que jusqu'à la fin on ne mentionne pas le nom de la maladie, John nous laisse deviner
On la rencontre au moment où un millionaire disparaît, il est en fuite... et le destin à décidé que ce millionaire n'est autre que le père d'un ami d'enfance de Aza, avec sa meilleure amie elle va menée l'enquête
Une autre chose que j'ai beaucoup aimée c'est le fait que cette histoire ne porte pas sur l'amour (enfin un peu mais pas énormément) et ça c'est trop bien!
bref...je vous le conseille vivement parce que c'est un chef-d'oeuvre !

Par où commencer… J'ai d'abord été intrigué par le titre. Et, c'est un John Green. J'ai aimé tous les John Green que j'ai lus. Pourtant, en lisant la 4 ème de couverture, je n'ai pas du tout accroché. Comme le prix était élevé, il est resté en magasin.

Puis, il est arrivé par magie dans ma chambre après un petit détour par la médiathèque. Dès la première page, j'ai adoré ! Et puis, plus je tournais les pages, plus je me demandais où j'étais tombée… Au bout d'un moment, je ne comprenais plus où John Green veux nous emmener. Mais j'ai continué à lire. Je n'ai pas pu arrêter, il fallait que je sache la suite.

Aza est très étrange et en même temps sur certain point j'avais l'impression de la comprendre. J'ai aimé essayé de comprendre le fonctionnement d'Aza. En fait, l'histoire parle de la maladie mentale, des troubles obsessionnels et de comment ils peuvent être vécus.

Au final, pour moi, Tortues à l'infini ne raconte pas une histoire. C'est seulement un passage, un bout de la vie d'Aza, qu'elle partage avec nous. J'ai vraiment apprécié ce roman même s'il m'a parfois désorienté.
Lien : https://lacultureestmoi.word..

Quelle merveilleuse pépite !!
Ce fut mon tout premier John Green et j'ai vraiment été épatée de la qualité de "Tortues à l'infini".
Tout d'abord, j'ai lu les critiques du livre - en particulier un - et je ne comprends toujours pas son 2 étoiles. Pour moi ce livre mérite 3 étoiles et + mais à voir en fonction de chacun. Je trouve intéressant de voir les avis des autres alors je vais écrire le mien :

Déjà, j'ai énormément annoté ce livre en citations.
J'ai vraiment été touchée par Davis et Aza qui ont perdu un de leur parent étant jeune. Ils sont tous les deux "marginaux"( je ne sais pas comment le dire ) à la société: Davis est fils d'un milliardaire et Aza a des pensées si obsessionnelles qu'elle consulte une psy. Ils vivent chacun de leur côté avec une rivière qui séparent leurs deux maisons. Ils se sont connus lors d'une colonie, il me semble, puis on perdu tout contact jusqu'à que le père de Davis prenne la fuite et qu'une récompense de cent mille dollars soit en jeu.
Dès lors, Aza va reprendre contact pour gagner la récompense.

Ce n'est pas le fait qu'elle veuille la récompense qui m'a touchée ;)
Mais la relation qui va se développer entre les deux individus.
Davis doit s'occuper de Noah, son jeune frère de 13 ans, qui est complètement désespéré. Et Aza, est elle aussi désespérée par ses pensées.

Je ne sais pas ce qui m'a le plus marquée mais ce que je sais, c'est que ce livre est vraiment CONSEILLE.

J'aime beaucoup la plume de John Green et ses nombreuses citations. Certaines de ses phrases sont vraiment marquantes à mes yeux. du début à la fin.

De tous les livres de John Green que j'ai lu, c'est celui-ci que j'ai préféré. La façon qu'il a, dans cet ouvrage, d'aborder avec justesse les troubles obsessionnels m'a complètement bouleversé. Ses mots sont si justes, si profonds, qu'il est impossible de demeurer insensible au calvaire que vit Aza, un personnage que j'ai cru détester au début mais que j'ai fini par adorer. Encore une fois, cet auteur de génie parvient à aborder une infinité de thèmes complexes de par ses personnages pourtant banals en apparence. C'est une oeuvre pour laquelle j'éprouve un étrange lien que je ne pourrais pas forcément expliquer. Je me suis sentie très reliée à Aza, et avais parfois l'impression que les lignes que je lisais venaient de mon propre esprit. Je vous recommande vraiment cet ouvrage, et rien de ce que je pourrais dire ne saurait refléter quel effet percutant il peut faire.

J'ai été happée par la vie d'Aza, de Daisy et de Davis. Tour à tout tendre, sérieux, drole et parfois même tragique, ce livre est une tranche d'adolescence.
Aza souffre d'un trouble psychique, parfois la vie qui devrait couler toute seule est un torrent de remous. Davis est drôle, fils de milliardaire, et pourtant une fissure le ronge de l'intérieur. A deux, ils parviennent à trouver le bonheur, à combler les failles parfois...
John Green dépeint avec beaucoup de justesse la spirale des pensées d'Aza, son incapacité à se sortir du mal-être malgré sa conscience d'y sombrer. C'est une lecture à laquelle je repense souvent, qui m'a laissé une trace...