AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
3,52

sur 67 notes
5
11 avis
4
17 avis
3
6 avis
2
3 avis
1
0 avis
Il y a Elsa Morante, Moravia, Pavese, Visconti, Pasolini.
Il y a l'Italie, la littérature, le cinéma.
Il y a l'amour, la passion, la destruction.
Il y a l'écriture superbe de Simonetta Greggio.
Mais il n'y aura pas eu de rencontre entre ce livre et moi.
Difficile de vous expliquer pourquoi. Je pense ne pas le savoir moi même. Peut-être trop intime, trop saccadé. Peut-être que la construction en courts chapitres sans chronologie m'a perdu. Peut-être n'était-ce pas le bon moment tout simplement.
En tout cas et à mon grand regret, je suis passée à côté.
Commenter  J’apprécie          113
Suspense...suspense. Retrouvez ma critique le 15 août !


Ajout du 15 août (comme promis et afin surtout de respecter la volonté de l'éditeur car cet ouvrage est annoncé pour la rentrée littéraire) :

Tout d'abord, je tiens à remercier Babelio ainsi que les éditions Flammarion pour l'envoi de cet ouvrage que j'ai eu la chance de lire en avant-première même si celui-ci ne sortira qu'à l'occasion de la rentrée littéraire.
« Il pleut », voilà l'amorce qui revient régulièrement dans de nombreux chapitres, comme une ritournelle mais qui n'annonce souvent rien de bon, ou alors des soucis en prévisions. Ici, Simonette Greggio nous invite à découvrir la vie, romancée bien sûr, donc si vous préférez une biographie fictive (bien que les dates soient scrupuleusement respectées), d'Elsa Morante. J'avoue à ma grande honte que je connaissais certes cette grande dame de la littérature mais uniquement de nom, tout comme j'ignorais qu'elle avait partagé sa vie avec un autre grand nom de la littérature italienne que fut Alberto Moravia. Mariage sans amour, celui auquel elle s'attacha le plus, fut Billy Morrow, un peintre sans talent à l'époque avec lequel elle ne partagea qu'une relation platonique étant donné que ce dernier était homosexuel. Elle ne cesse, enfin la vois de Simonetta Greggio, à travers laquelle c'est celle d'Elsa qui parle, ne cesse de déplorer son cher Billy, qu'elle a perdu trop tôt, tout comme nombre de ses amis d'ailleurs, Cependant, c'est le tragique accident (une période de troubles plane cependant sur cet accident tel qu'il est narré ici) qui coûta la vie à « son cher Billy » qui la traumatisa le plus. Elle eut également d'autres relations, extraconjugales cette fois-ci avec Luchino Visconti, ce dont Moravia n'ignorait pas, et je crois à la manière dont cela est raconté, que c'est elle qui en souffrir le plus ; Moravia ne s'étant jamais écarté d'elle ou ne lui ayant jamais fait le moindre reproche.
Un roman biographique plus qu'une biographie au sens propre du terme ; toujours est-il que le lecteur a l'impression de lire les mémoires d'Elsa Morante en personne tant l'auteure s'efface derrière elle pour lui céder entièrement la parole. Ce qui est sûr et certain (à mon humble avis), c'est que « Elsa mon amour » va longuement faire grand bruit (et en bien) lors de cette rentrée littéraire 2018 !
Commenter  J’apprécie          110
Magnifique hommage à Elsa Morante que l'on connait peu dans l'intimité. Beau texte, la dolce vita dans la souffrance et la poésie. A LIRE ABSOLUMENT
Commenter  J’apprécie          90
Dans ce court roman, Simonetta Greggio donne la parole à Elsa Morante qui fut l'épouse de Moravia (l'auteur du mépris, qui pour moi est davantage synonyme d'une très belle musique de film et d'une ou deux répliques cultes, que d'un livre).

Sur la forme, Simonetta Greggio combine à la fois, Elsa qui se raconte sur le mode du "JE", et en italique quelque lignes pour relater un épisode de la vie du personnage.

J'ai assez peu apprécié ce roman ; si je lui reproche, entre autres choses d'être trop court pour de la biographie, je lui suis pourtant gré d'être court et donc vite lu !!!

Je n'ai pas non plus aimé la construction. En outre, j'ai trouvé l'ouvrage trop succinct, trop survolé (pour qui aurait pu être passionné par Elsa Morante).

Mais ce qui m'a le plus "rebuté" c'est le personnage central du roman ; personnage que je ne connaissais pas, mais qui ne m'a pas vraiment intéressé.
Enfin, pour étant étiqueté comme roman, j'ai trouvé que tout cela manquait cruellement de souffle romanesque, et d'ambition.
Lien : https://leblogdemimipinson.b..
Commenter  J’apprécie          91
Avec amour, audace et simplicité, Simonetta Greggio se glisse dans la peau de l'auteure Elsa Morante, cette femme écrivain, poétesse, traductrice, qui épousa Alberto Moravie et qui décrocha le grand prix Stega en Italie en 1957 (première femme à être récompensée). Un récit fiction qui nous projette dans les textes, dans la tête, dans les grands tourments et les plus grands rêves d'une femme amoureuse, passionnante et fascinante ! Elsa Morante !

Dans "Elsa mon amour", il y a tout : la littérature, le cinéma, l'amour, l'Italie, Visconti, la passion, l'amour, la richesse, la pauvreté, la destruction, la vie. Elsa est encore plus vivante grâce à la plume de l'auteure à la fois plein d'amour, de lyrisme et de tourment.

Des détails biographiques, aux différentes citations, aux contextes historiques précis, montrent au grand travail de documentation de Simonetta Greggio, qui vise à retracer le parcours de vie d'une auteure atypique et majeure de la littérature italienne.

Un roman qui envoûte sur une femme d'exception, si forte et si fragile à la fois : magnifiquement beau !
Commenter  J’apprécie          70


Je commence par remercier Masse critique et les éditions Flammarion pour ce cadeau
L'italien étant ma première langue, je m'intéresse à son Histoire et à sa littérature.
J'avais lu « La storia » et « L'île d'Arturo ». C'est un bonheur de retrouver leur auteur. Deuxième bonheur important : Simonetta Greggio, beaucoup lue et toujours appréciée.
Me voici en territoire familier.
Le je narrateur n'est pas Elsa, mais Simonetta qui parle pour elle et prend soin de préciser qu'il s'agit ainsi d'une oeuvre de fiction. Les personnages et les faits connus sont réels.
Car seule Elsa connaît la vraie Elsa.

L'enfant Morante était précoce et savait lire à quatre ans avec l'aide de sa mère institutrice. Elle a écrit des histoires dès son plus jeune âge et avait la conviction d'être née pour cela.
Si j'avais lu l'écrivain, je ne savais rien de la femme. Celle que présente Simonetta Greggio a « un sale caractère » , « le verbe haut, l'imagination rapide » .Comme sa mère.
Elle vit pleinement ses colères, ses ivresses, ses passions. « La vie est une folie sinon elle ne sert à rien ». et aussi « Risquer ma vie à chaque amour ».
La nostalgie est la dernière compagne d'Elsa, dans sa « cabane enchantée au milieu du jardin », avec ses chats et sa chienne Neve.
C'est rempli d'émotions une fin de vie.
« Appréhender la lenteur, pour moi qui ai vécu le souffle court, c'est le dernier défi ». « M'appartenir, c'est les admettre (les vieilles blessures), les revivre, les nettoyer »
Ses amis disparus l'accompagnent : « Je vous vois mes jeunes et beaux amis, jeunes et beaux pour toujours ». « Je n'ai pas besoin de vos photos, vos visages défilent devant moi un par un « .

Elsa plus vivante que de son vivant grâce à l'écriture de Simonetta Greggio, son lyrisme, son amour enthousiaste qu'elle nous transmet si bien et qui m'émeut profondément.
La qualité du livre est due à son talent. Merci encore.
Commenter  J’apprécie          70
Un excellent roman d'une réussite éclatante. Elsa Morante est une femme qui a atteint la plénitude de ses talents et qui en a fait profiter les femmes de sa génération, nous sommes dans les années 40. Elle a vécu dans un milieu acculturé et a réussi à tirer des avantages de cette situation grâce à sa marraine . Ce monde n'était pas fait pour elle car elle était trop moderne pour l'époque, elle s'est battue, elle a renoncé à des choses pour pouvoir être elle- même, elle aurait pu se sacrifier et aurait été douée pour tout donner aux hommes qu'elle a aimés mais elle a fait un autre choix, elle a choisi d' être elle-même.
C'est une femme réaliste, bouillonnante, efficace dans ses pensées et lutteuse, car Elsa Morante, je pense, mais ce n'est que mon avis a fait un acte d'exorcisme en écrivant pour tuer les souvenirs damnés de son enfance. Elsa Morante a pu le faire parce qu'elle a été extrêmement douée et très intelligente pour tout.
Elle était une femme dans son coeur et dans son âme. Elle n'appartenait pas à un milieu dans lequel les jeunes filles étaient élevées comme des princesses. Elle a assumé son éducation grâce à sa marraine qui l'a trouvait déjà très intelligente et très mûre pour son âge.
C'est une lecture extraordinaire car on sent qu'Elsa est allée jusqu'au bout de ses élans et de ses rêves.
Simonetta Greggio pour moi est une grande romancière elle est un peu Elsa Morante car elle la décrit avec toute son âme et avec tout son coeur avec une grande authenticité et une belle sincérité de plus il y a une grande justesse de ton dans ce qu'elle dit et d'une belle acuité. Son écriture est harmonieuse et pleine de clarté que nous en redemandons. En lisant ces pages sur cette femme qui est extrêmement intelligente on se rend compte combien au fil du temps les critères qui servent de base pour juger une femme ont changé.
Bref, né d'un assemblage ou d'une conjonction la plus courte, Simonetta arrive à la conclusion qu'Elsa a réussi une victoire sur l'homme en général qui lui avait déclaré la guerre, une guerre littéraire bien sûr. On lui dira encore « madame » mais sur le ton de « monsieur ».
C'est un roman violent qui fait éclater les vitres mais ce que j'ai le plus aimé dans ce livre c'est l'écriture poétique de Simonetta. Une écriture éblouissante très bien menée avec une justesse de ton. Je déteste la pluie, mais avec l'auteure ses mots me font aimer cette pluie qui est omniprésente sans oublier les chats qui eux aussi nous accompagnent en tout lieu. Ils sont partout.
Simonetta est trop subtile pour nous embrigader dans un roman déluré, c'est vrai qu'Elsa sait braver tous les interdits et paradoxalement elle peut très aisément transgresser les moeurs de son époque. Elle fréquente le monde des lettres et les artistes. Elle s'amuse, elle séduit mais elle reste prisonnière de l'homme qu'elle aime à la folie Alberto Moravia.
Merci à Simonetta Greggio pour ce très beau livre que je n'ai pas fait dédicacer par elle lorsque je l'ai rencontrée à Aix en provence. Peut-être un jour la reverrai-je ?

Lien : https://leschroniquesdecoco2..
Commenter  J’apprécie          60
Elsa Morante est une autrice des années 50, connue pour avoir écrit L'île d'Arturo, pour lequel elle est la première femme à remporter le Prix Strega et est l'épouse d'Alberto Moravia, auteur du fameux Mépris, adapté au cinéma.

Femme de caractère et d'une grande sensibilité, elle dut affronter une enfance marquée par son passage chez sa tante qui l'utilisait comme petite-fille modèle lors de ses réceptions. Une enfant hantée par des cauchemars et surtout l'absence de son père biologique. Reconnue par un autre homme qui ne lui apporta pas un exemple de figure paternelle, elle eu des rapports compliqués dans ses relations amoureuses.

Simonetta Greggio lui redonne une voix. Elle nous entraîne dans les pas de cette femme, dans ses pensées et dans son art. Nous sommes Elsa, penchée sur son bureau, devant la feuille blanche, entourée de ses chats. Nous sommes cette adulte qui se souvient de ses cauchemars d'enfant. Nous sommes cette femme amoureuse, en colère contre son compagnon. Nous sommes ses cris de joie et de détresse.

A travers une narration descriptive, l'autrice nous conte la biographie de cette femme émancipée mais prise dans l'étau trop serré de son temps pour les femmes. Une volonté de se montrer forte, de prouver au monde qu'une femme peut écrire. Mais il y a toujours l'ombre de Moravia, qu'il ne faut pas blesser. On lui laisse la première place. Considérée à tords, seulement comme la femme de, Simonetta Greggio nous fait découvrir son talent.

le portrait d'une femme artiste qui mérite d'être lu !
Lien : https://topobiblioteca.wordp..
Commenter  J’apprécie          50
Le 20ème siècle semble avoir étant le siècle des femmes d'écrivain injustement connue et reconnue. Elsa Morante joue l'épouse bafouée de Moravia pendant plusieurs décennies, enfouissant son talent sous l'aura de son mari. Dommage pour la littérature européenne.
Commenter  J’apprécie          50
Je n'avais jamais lu Elsa Morante. Je ne connaissais rien d'elle. Seulement qu'elle avait écrit La Storia. Après avoir refermé le livre de Simonetta Greggio, j'ai l'impression d'avoir vu Elsa Morante se métamorphoser en deux jours – le temps qu'il m'a fallu pour lire Elsa mon amour. Tout prend vie au travers des yeux d'Elsa, comme une sorte de récit en calque: chaque crainte avouée, chaque souvenir remémoré, chaque silence muré dit d'Elsa plus que n'importe quelles autres paroles rapportées. C'est une intimité en mouvement que s'attache à créer Simonetta Greggio. Un portrait dans toute son inconstance et ses failles. Une fulgurance d'une rare beauté.

« Que reste-t-il de l'enfance si ce n'est des instants figés comme des photos dans la mémoire. le moment où l'on a cueilli une primevère, un printemps perdu d'il y a soixante ans, la curiosité répétée pour ce nid de roitelets qui obligea la mère oiseau à fuir, laissant mourir ses petits – et quelle honte en avait-on éprouvée –, la fois où, bras et jambes en croix, étendus sous cet arbre en fleur, on s'était dit : Je me souviendrai toujours de cet instant. Que reste-t-il de l'enfance, si ce n'est une passerelle magique jetée entre les deux rivages d'une vie, pour peu qu'on ait le courage d'imaginer qui on est, qui on veut être. Qui on a été.
L'enfance du début. L'enfance de la fin. »

Elsa Morante a vécu un parcours atypique fait de renoncements et de coups d'éclat. Elle avorte, fuit la guerre, veut bouleverser la société et surtout la littérature. On entre dans ses pensées de femme libre, cherchant à vivre de sa plume, à imposer son talent, on entre dans sa carrière, dans son Italie familière, mais on entre surtout dans son regard, celui qui nous raconte la vie tout simplement.

Simonetta Greggio prend la parole pour redonner voix à Elsa Morante. Et quelle voix ! D'un souffle ténu, elle époussette les contours de la vie de la romancière italienne pour la faire apparaître là, fragile, plus vivante que jamais. Un portrait d'une sensibilité folle, qui se construit par bribes. Elsa Morante se dévoile à nous en pudeur ; puis elle se fait plus furieuse et se sculpte dans toute sa provocation. C'est une véritable prouesse que nous livre ici Greggio : dès les premières pages du récit, sans même de préambule, on sent le texte tout entier se gonfler de la présence d'Elsa et chaque pensée, chaque ressenti, trahit sa présence. Dès le début c'est sa voix que l'on entend et qui ne nous quittera plus. C'est Elsa qui se raconte, Greggio disparaît. Elle ne refait surface que brièvement, avant certains chapitres, pour apporter une hauteur de vue sur la vie d'Elsa Morante. Pour replacer l'individu au centre de son époque, de son temps, elle qui avait toujours tendance à se désaxer pour fuir la vie et ses impératifs. On ne sait plus si on est face à l'écriture de Simonetta Greggio ou la voix d'Elsa Morante. Elsa mon amour est un portrait sculpté dans l'immédiateté des émotions, un portrait saisi là où la vie se fait volcan en fusion, impétueuse et changeante. La voix d'Elsa qui traverse tout le texte porte les stigmates des regrets et des désirs inavoués, des joies éphémères et celles qui semblent éternelles. Elle porte et transporte. Ce n'est pas de l'intimisme pour de l'intimisme, chaque ressenti personnel a vocation à être universel. A nous toucher dans ce que nous avons de plus dissemblable. Chaque paysage observé par Elsa est fait sien, chaque visage est refaçonné selon elle, chaque odeur, chaque rire, chaque frémissement du quotidien raisonne en elle puis en nous. Un effleurement du monde comme une caresse. L'écriture de Greggio est un frisson de joie qui parcourt le lecteur. Un frisson qui empoigne. Elle a su capter toute la fulgurance et le tumulte qu'une vie peut comporter. Elsa mon amour est une pulsation constante. Qui emporte les amitiés, l'amour et les pays dans son sillage. Une pulsation qui tranche, qui fait vibrer, qui raccommode. C'est peut-être la vie ou même la mort que l'on sent bruire derrière chacun des mots.

« Il fait un temps de chien cette année-là, avant même le début de l'hiver, un temps à dissuader de sortir. Dans les rues de plus en plus sombres du centre-ville, une forêt de parapluies se lève et s'épanouit au rythme des averses qui durent parfois tout le jour. La pluie tombe droit. Elle ruisselle sur les façades noircies des immeubles sans les laver. Au contraire il semble qu'elle les barbouille davantage, mêlant sa grisaille à la suie. Elle crépite sur les trottoirs. Au-dessus des avenues, le ciel n'est plus le ciel. Il paraît couler lui aussi comme un fleuve à l'envers, par-dessus les toits, un fleuve gris de nuages uniformes et tumultueux, roulant les uns sur les autres et tonnant parfois comme s'ils s'entrechoquaient. »

D'une élégance folle et farouche, Elsa mon amour s'affirme comme le roman d'une vie. Celle que Simonetta Greggio a su insuffler pour qu'Elsa Morante se détache du papier. Celle qu'elle a su capter dans l'essence de tous les instants. La justesse de ton de Greggio permet toutes les nuances ; elle peut draper les existences de toisons fragiles comme elle peut trancher à vif dans la chair. Elsa mon amour est tumultueux comme une passion. Délicat comme une floraison. Merveilleux comme seuls peuvent l'être les romans qui ont su capter l'essentiel et se délester du reste.
Lien : https://eterneltransitoire.w..
Commenter  J’apprécie          50




Lecteurs (172) Voir plus



Quiz Voir plus

Grandes oeuvres littéraires italiennes

Ce roman de Dino Buzzati traite de façon suggestive et poignante de la fuite vaine du temps, de l'attente et de l'échec, sur fond d'un vieux fort militaire isolé à la frontière du « Royaume » et de « l'État du Nord ».

Si c'est un homme
Le mépris
Le désert des Tartares
Six personnages en quête d'auteur
La peau
Le prince
Gomorra
La divine comédie
Décaméron
Le Nom de la rose

10 questions
851 lecteurs ont répondu
Thèmes : italie , littérature italienneCréer un quiz sur ce livre

{* *}