Le premier jour du reste de ma vie

Mon premier Virginie Grimaldi (j'ai un peu du mal avec les romans feel good trop commerciaux).
Si j'ai bien aimé la façon dont le personnage principal reprend les rênes de sa vie (une femme au foyer bafouée qui quitte son mari du jour au lendemain), j'ai trouvé ce roman plaisant certes, mais trop léger pour qu'il me marque de son empreinte. A sa décharge, je crois que c'est le premier livre de l'auteure qui, depuis, a fait du chemin...
Enfin, il m'a fait rêver en découvrant les différentes destinations inscrites sur le programme de sa croisière !

Le premier jour du reste de ma vie relate l'histoire de 3 femmes en croisière solitaires. Si la plume est simple et fluide je trouve que ce n'est pas forcément le cas de l'action, et des décisions de certains personnages (surtout le Loîc Raison qui a une relation tellement étrange avec Francesca et Marie que ça ne sonne pas naturel).

J'avais déjà constaté que les personnages chez Grimaldi étaient binaire, cliché et se résumaient à leur traits de caractères principaux dans le parfum du bonheur, c'est encore le cas ici.

Si j'ai eu un peu de mal à passer outre ces défauts, j'ai pris beaucoup de plaisirs cependant à suivre la relation de ce trio féminin. C'est une belle histoire d'amitié. Plaisir vite remplacé par une nouvelle frustration au dénouement et à la résolution de certains problèmes auxquels les personnages féminins sont confrontés que j'ai trouvé être d'une facilité scénaristique et tiré par les cheveux.

J'ai un peu de mal avec l'humour carambar de Grimaldi (mais l'humour est personnel) et cette idée que ces femmes gravitent toujours autours des hommes même à la fin...
Lecture en demi teinte pour ma part entre sourire bienveillant et haussement de sourcils.

C'est le premier roman de Virginie Grimaldi que je lis et je n'ai pas été totalement emballée par l'histoire. On a l'impression que les personnages évoluent dans le monde des bisounours où tout est bien qui finit bien. Cela étant dit, ce qui permet d'arriver au bout de cette histoire un peu banale et prévisible, c'est cet optimisme qui est présent tout au long.

En effet, un roman ne doit pas forcément être crédible et refléter la réalité. On plonge dans un monde où les événements se déroulent comme on l'espère avec peu de suspense. C'est ce qui fait du bien au lecteur en quelque sorte, pour un moment de détente.

J'ai apprécié la plume de l'autrice et je compte découvrir ses autres romans.

J'avais pris plaisir à la lecture de "Tu comprendras quand tu seras grande" et "Il est grand temps de rallumer les étoiles", j'avais donc envie de lire le premier roman de cette auteure ...
Cette histoire de Marie qui, à 40 ans, décide de quitter Rodolphe, son mari depuis 20 ans ne m'a vraiment pas passionnée !
Quoi de mieux pour démarrer une nouvelle vie qu'un tour du monde sur un paquebot de luxe ? ?? Surtout si l'on y rencontre, dès le premier jour, des amies extraordinaires et puis, bien sûr, qu'on y trouvera même un merveilleux nouvel amour !
On est au pays des bisounours ! Tout est couru d'avance....
Je suis allée au bout de ma lecture mais j'ai fermé ce livre sur un BOF ! Me disant que j'en avais ainsi terminé avec cette auteure ... et puis en prenant un peu de recul, je me suis dit que c'était son premier roman ... que les autres ensuite étaient meilleurs....

Bof un peu de Bridget Jones, un peu de prie mange et aime ou mange aime et prie, ça marche aussi, un brin de la croisière s'amuse, un poil de 50 nuances de mauve pour la cullote qui descend sur les hanches de Marie et pour empaqueter le tout des chansons de Jean Jacques Goldmann... Bon Grimaldi est dans l'air du temps, pour midinettes égarées ou ménagères rêvant d'une autre vie, j'ai voulu voir et je reviendrais pas... Je préfère cent fois le film du premier jour de resté de ma vie...après je peux comprendre que ça plaise mais on est bien loin de tout ça quand même....

Pauvre Marie, ça ne va pas fort. La quarantaine, femme au foyer que les jumelles ont quitté, altruiste jusqu'au bout des ongles et marié à un beauf dont la principale activité , à part contrarier sa moitié est de balader son sexe dans des Léa ou Cynthia de passage.
Marie le quitte le jour de son anniversaire et décide d'embarquer pour une croisière autour du monde en solitaire (C'est le concept , interdiction de se mettre en couple sous peine d'être évacué : ce livre peut il être assimilé à de la science fiction ????). Bercé par le ronron de l'air iodé, elle va aller de surprise en surprise.
Mais pas moi. On aurait pu écrire la fin , le milieu les yeux fermés.
De caricatures en caricatures, de rebondissements prévisibles en punchline écrite par un marseillais échappé du tube cathodique, on visite des villes dont on aurait pu écrire la liste avant de débuter la lecture.
Marie, elle est fan de Goldman, il y aurait pu avoir un doute avec Céline ou Francis mais c'est JJg qui a l'honneur d'avoir ses textes recopiés, ce qui relève le niveau cependant. C'est la caricature de la femme qui propose aux regards communs une vie étriquée mais putain , ça va changer , le cri des mouettes , le buffet XXl, la soirée cabaret, tout ça , ça va transformer notre Marie.
Je passe sur les deux autres protagonistes .
Cependant, je remercie ce livre pour avoir prouver à ma femme que j'étais capable de faire deux choses à la fois : lire et téléphoner à ma mère, ce qui revient à l'écouter, facilitant la double tache. Pour un gars qui n'est pas foutu de servir les tomates et de discuter en même temps , je pense que je suis sur la bonne voie.

Ok , ce livre n'était pas pour moi, pourtant j'adore Coup de foudre à Notting Hill. mais là, c'est la classe, il y a de l'émotion , de vrais rebondissements, de l'humour .
Je sais bien que ce genre de livres a uniquement un but de détente mais j'avoue avoir trouvé cela très mauvais. Désolé.

A vrai dire je ne sais pas trop quoi penser de ce livre.
Autant l'histoire d'amitié m'a plu autant le reste pas du tout. Mon côté écolo a été révolté par cette croisière, ces activités de loisirs (dont la nage avec les dauphins) qui semblent tellement normales pour certains mais qui pour moi ont un goût amer.
Je passerai également sur les fautes de langage et l'absence de l'emploi de la négation qui semble manquer tout au long du roman.
On passera également sur le fait que l'intrigue est prévisible dès que l'héroïne croise le chemin de cet homme aux cheveux gris.
En bref c'est certes un premier roman sympa mais j'en attendais plus.

Histoire à l'eau de rose, à conseiller aux adolescentes qui veulent se lancer dans la lecture, roman léger, style simple, sans trop d'émotions, on décroche vite de l'histoire, à un moment j'avais juste envie de la finir .

J'avais entendu de bons échos sur Virginie Grimaldi, et comme j'aime faire les choses dans l'ordre, j'ai donc naturellement commencé par son premier livre.
Je m'étais mise dans de bonnes conditions, j'avais entamé ma lecture sur le ferry pour rejoindre mon travail en Corse. Puis j'ai vite déchanté. Impossible de s'attacher un tant soit peu aux personnages, ni à l'histoire, dont la fin est d'ailleurs... *soupir*
Au final ce roman n'a présenté aucun intérêt pour moi. Il a même disparu de ma bibliothèque. Impossible de remettre la main dessus. C'est dire !

Mais j'ai encore l'espoir d'être plus conquise en lisant d'autres romans de cette auteure.

Prévisible mais sympa