Quand nos souvenirs viendront danser

Aïe une vraie déception à la lecture de ce roman de l'auteur pourtant j'avais beaucoup aimé ces derniers, le premier n'étant pas une réussite à mes yeux.

Et pourtant en arrivant aux remerciements j'ai bien senti que ce roman tenait vraiment à coeur à Virginie Grimaldi mais la mayonnaise n'a pas du tout pris.

Nous sommes impasse des Colibris, le maire veut raser les maisons de ce lieu pour construire une école, mais c'est sans compter les habitants de cette impasse qui se baptisent les Octogéniaux qui ont de superbes idées pour empêcher cela d'arriver.

Comme dévaliser les boulangeries ou les supermarchés de la ville, les personnages ne sont pas crédibles pour un sous que ce soit dans le présent ou dans le passé, aucune émotion ne passe dans ce récit qui devrait au moins sentir la nostalgie.

Le pire du pire étant quand l'auteur évoque la télé-réalité ou nous touchons le fond, en cette période morose j'étais quasiment certaines que l'auteur ferai mouche avec ce récit et pourtant je me suis bien trompée.

Malheureusement comme beaucoup d'auteur connu Virginie Grimaldi reste dans la trame qui fonctionne pour elle sans proposer vraiment de nouveauté.

Je suis déçue par ce roman de Virginie Grimaldi traitant encore de la vieillesse. Je ne reviendrai pas sur l'histoire. J'ai attendu en vain que celle-ci décolle. J'avais bien aimé "tu comprendras quand tu seras grand" qui est une sorte de suite de ce livre.
Mais ici pas d'humour, pas de légèreté. C'est un livre trop bavard, trop guimauve, pas du tout feel good mais plutôt mélodramatique, trop plein de nostalgie et alors la fin... entre la téléréalité et l'épilogue...
Comme points positifs, je retiendrai le personnage de Gustave que j'ai eu plaisir à retrouver et l'amour tendre de Marceline et Anatole, les chapitres courts.

Je viens de le terminer et quand je lis les avis 5 étoiles sur Babelio, j'ai l'impression que je n'ai pas lu le même livre...
Je ne comprends pas , j'ai adoré et ri avec les deux" Chère Mamie", les trois précédents... et là, derrière une belle couverture jaune du Livre de poche, c'est la catastrophe!
Une histoire de départ peu originale, des secrets...ah bon? des personnages peu attachants , des brouilles , plein de maladies (et pas des petites...) , des deuils, etc...
Il ne mets pas de baume au coeur .
Je suis tellement en colère d'avoir lu ce genre de roman ficelé dans un bel emballage. Je ne m'attendais pas à tant de froideur.Le fait, peut-être, qu'il soit raconté par Marceline...
Une chose m'a plu: les remerciements.
Franchement, l'autrice est capable de nous raconter de belles histoires, mais là, c'est bâclé, désolée.
A vous de vous faire votre avis, visiblement, beaucoup sont enchanté.

L'histoire est originale, les personnages sont amusants et la plume de Virginie Grimaldi est toujours aussi vive...
... mais ça ne l'a pas fait.
Jusqu'à présent, l'auteure avait réussi à équilibrer humour et émotion sans que ça tombe dans la farce. Dans ce livre, c'est trop dans le grotesque, ou trop dans l'émotion. Les passages déterminés à faire rire sont trop évidents, ceux censés tirer les larmes également, et dans leur originalité, les personnages en deviennent caricaturaux.
Lecture décevante de mon côté, donc.

Un livre «feel good» de temps en temps fait du bien, et rompt la violence rencontrée dans les thrillers, mes lectures de prédilection. Ici, les bons sentiments, l'humanité et l'humour débordent à chaque ligne.

« Les octogéniaux »
Le scénario plaisant met en scène un panachage de personnages sympathiques. La bienveillance et l'humour imprègnent chacun des personnages, parfois teigneux et revêches. Cette petite brochette d'allumés, rebaptisée pour l'occasion « octogéniaux » donne un caractère explosif à leur engagement solidaire qui vise la défense de leur quartier.

L'idée d'une expropriation d'un lotissement peut paraître cohérente dans une société où évolution urbanistique est une constante. Les habitants, ces voisins devenus octogénaires, y vivent depuis plusieurs décennies. Ils y ont vieilli côte à côte toutes ces années. Alors, inévitablement, les chamailleries, les rancoeurs et les jalousies se sont succédé. Mais ils ont su former une solidarité combative face à cette décision administrative. Une lutte improvisée qu'orchestre le petit-fils journaliste de la narratrice Marcelline.

Le récit de Marcelline
Marcelline, raconte le combat de cette bande de « vieux » surnommés les « octogéniaux » attachés à leur quartier, le coeur de leurs souvenirs. Leurs stratagèmes pour maintenir l'existence de leur lieu de vie ne manquent pas de piquant ni d'originalité. À ces chapitres s'intercalent des pages du journal intime de Marceline. Elle détaille les moments –clés de sa vie indiscutablement liée au quartier, à ses voisins, à la fois amies, amis, adversaires, alliés. le récit est plaisant, se lit bien, un bon page-turner.

MAIS ce n'est pas mon préféré des livres de cette auteure : la sauce n'a pas pris avec moi. Trop d'ingrédients présents rendent la salade indigeste, la mayonnaise n'a pas pris. V. Grimaldi sait rendre le thème fétiche des personnes vieillissantes agréable parvenant à éclairer leur sénilité d'une vision touchante (cf : Tu comprendras quand tu seras grande). de manière sereine, avec humour elle illustre la résilience aux désagréments ou affres de la vie engendrent. Mais cet ouvrage en surabonde ; la vie de Marcelline répertorie presque toutes les plaies de la vie : fausse couche, ado difficile, brouille familiale, perte d'un enfant, la maladie, la mort, le veuvage… ce catalogue donne une recette « facile » pour émouvoir.

Alors, évidemment à côté de ce lot d'émotions, les nombreuses petites phrases incisives et bourrées d'humour compensent largement le côté larme, qui devient le faire-valoir du roman. le tout permet d'accepter l'exagération de la situation, parfois grotesque. Trop selon moi.

Une déception
Je ne retiendrai pas ce livre comme le meilleur feel-good de l'année (sorti en poche en 2020), mais je respecte les nombreuses personnes qui l'ont encensé. Peut-être suis-je trop exigeante  ?
Lien : https://lesparolesenvolent.c..

J'ai découvert Virginie Grimaldi, il y a un peu moins de 7 ans, en lisant un article sur son blog. J'aimais voir "Ginie" dépeindre avec humour des épisodes de sa vie quotidienne. 
Son écriture est très visuelle, et ses romans (en tout cas les deux que j'ai parcourus) se lisent très facilement, très rapidement... tellement que j'ai lu deux fois son premier livre "Le premier jour du reste de ma vie" à deux ans d'intervalle, ayant oublié l'avoir déjà lu.
Attirée par le titre, j'ai aimé découvrir l'histoire des personnages tout au long de l'intrigue et comprendre, au fur et à mesure des chapitres consacrés aux souvenirs, comment leurs vies se sont liées et déliées au gré des aléas de la vie. 
Par contre les passages sur le présent m'ont nettement moins convaincue. 
Car, dans ce roman, Virginie Grimaldi alterne les chapitres dédiés au présent et ceux reprenant les événements passés. C'est en effet soixante de souvenirs, tour à tour joyeux et tragiques, que la narratrice retrace dans son carnet de souvenirs.
Comme son titre l'évoque, "Quand nos souvenirs viendront danser" est un livre sur le temps qui passe et sur la vie dans ce qu'elle a de plus précieux : la valeur de l'instant présent mais aussi l'importance de chérir la mémoire du temps passé. 
Un sujet qui avait tout pour me plaire et, pourtant, je n'ai pas été particulièrement séduite, sans doute attendais-je plus ou autre chose... 

Parfois on sent qu'un livre a des qualités sans toutefois parvenir à accrocher du tout; c'est exactement ce qui m'est arrivé ici. Au début j'ai ri de bon coeur aux aventures de ces octogénaires, savouré les dialogues pétillants et apprécié les remarques caustiques de la narratrice. Mais assez rapidement le ton a changé et la reconstitution des soixante années de voisinage m'a laissé de marbre, de même que les états d'âme de la narratrice. Je ne dois pas faire partie du public cible de l'auteure...

Bon, je suis allée jusqu'au bout mais voilà, je ne suis pas fan. L'histoire est gentille, assez commune et ne casse pas trois pattes à un canard mais elle se laisse lire. du "feel good" pas compliqué.
Virginie Grimaldi écrit bien si ce n'était l'humour à grosse pelleté qui gâche la simplicité de son histoire. Autant être franche, c'est lourd, ça tombe à plat et c'est énervant.
Bref, je n'ai pas réussi à m'attacher aux personnages sauf à Marceline, la narratrice, dont la pudeur et la simplicité rattrape le récit.
Donc voilà, les 2 étoiles vont à Marceline qui aurait sans doute pu être mieux servie dans un autre roman.
De mon côté, je ne poursuivrai pas avec Virginie Grimaldi.

J'arrête. Parfois après 2-3 romans "sérieux" je ressens le besoin d'une lecture légère, sans prise de tête, sans avoir le besoin de réfléchir. Alors Grimaldi c'est bien tout ça, j'en ai lu 4 ou 5 déjà, donc je sais de quoi je parle. Mais malheureusement ce n'est rien de plus. C'est téléphoné et très plat, les histoires sont ficellées au fil rouge, les personnages caricaturaux. C'est le cas dans tous les romans de Grimaldi, et celui-ci ne fait pas d'exception. On suit le même schéma de chapitres courts, d'enchainement d'épisodes du presents et du passé, des révélations vers la fin. C'est gentil, c'est facile, c'est des sujets du quotidien où n'importe qui peut se reconnaître, vocabulaire simpliste, accessible à tous, je vois bien pourquoi elle vend. J'avais déjà fait ce constat dès le premier contact avec elle, mais je continue à tomber sur ses romans dans ma librairie d'occasion, et je repars avec sans réfléchir. Mais cette fois-ci c'est pour du bon.

j'ai décidément énormément de mal avec cette auteure. c'est le deuxième livre que je lis d'elle. le premier, j'ai abandonné (chère mamie au pays du confinement), celui ci je me suis fait violence pour aller au bout. j,y suis arrivée 😉.
Mais je n'ai pas été transporté. Marcelline n'est pas une grand mère qu'on a envie d'adorer, au contraire, elle mérite des claques.
L'histoire est mignonne mais sans plus.