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Citations sur Le cas Fitzgerald (25)

Il y a trop de bons livres pour perdre son temps avec les mauvais. (page 327, haut de page)
"Je suis un peu surprise par cette phrase. Pour ma part je me la répète souvent. Je la dis chaque fois que je prends un livre qui ne me plait pas ou peu. Mais je suis tout à fait d'accord. Je ne veux pas perdre trop de temps. Je ne peux pas lire tout ce qui me fait envie !!!!!
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- Il n'y a pas de confidentialité sans confiance. Pour l'instant, vous et votre cabinet m'inspirez plutôt de la méfiance.
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Trey, l'évadé permanent, aimait raconter ses aventures. Il s'en était toujours sorti parce qu'après chaque évasion, il avait un plan de sortie de crise, alors que la plupart des gars se contentaient de trouver le moyen de s'échapper. Pour les vols, c'était la même chose. A quoi bon passer des jours et des semaines à tout organiser, si ensuite, on était dans le brouillard. Il fallait tout planifier, du début à lka fin. c'était la clé de tout.
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Elle prit le roman de Leigh Trane et alla s’installer sur la terrasse, sous un parasol. Il était plus de 11 heures, la mi-journée en Floride, et le soleil tapait fort. Tout ce qui n’était pas à l’ombre était brûlant. Le récit de Leigh parlait d’une jeune femme célibataire qui se réveillait un jour enceinte sans savoir qui était le père. Elle avait beaucoup bu l’année précédente, fréquenté des tas d’hommes, et sa mémoire lui jouait des tours. Avec un calendrier, elle remonta le passé et trouva finalement trois prétendants possibles à la paternité. Elle enquêta sur chacun d’eux, avec le projet, un jour, quand l’enfant serait né, d’attaquer le vrai père en justice et de demander une pension.
C’était une bonne intrigue, mais l’écriture était si contournée, si pompeuse, qu’on avait du mal à entrer dans l’histoire. Les scènes étaient confuses, on ne savait jamais vraiment ce qui se passait.
Leigh Trane, à l’évidence, avait une plume dans une main et un dictionnaire dans l’autre, car le texte était émaillé de mots compliqués, pour la plupart inconnus de Mercer. Pour rendre le tout encore plus indigeste, les dialogues n’étaient pas identifiés, aucun guillemet ! Souvent, on ne savait pas qui parlait.
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Pour Princeton, ils étaient inestimables.
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