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sur 1383 notes
La vie des enfants Baudelaire, c'est tout un poème, mais un poème pas drôle du tout. Un incendie les prive de leur maison, de leurs livres, et accessoirement de leurs parents, qui avaient imaginé au cas où ils viendraient à disparaître, les confier à un parent. Pas de pot, après un bref séjour chez Mr Poe, les voilà recueillis par un horrible bonhomme, moche, sale, méchant et qui en veut à leurs sous, c'est à dire à l'héritage que leurs parents leur ont laissé mais dont ils ne pourront profiter qu'à la majorité de Violette, l'ainée des trois enfants.

Taillables et corvéables à merci, hébergés dans des conditions que la protection sociale de l'enfance dénoncerait illico (faire dormir un bébé dans un bout de rideau, tandis que les deux autres se relaient dans l'unique lit inconfortable et crasseux!), les deux ainés mettent à profit leur intelligence et leurs compétences pour se sortir de ce mauvais pas.

C'est une série à succès mais qui m'a bien déçue. C'est naïf, peu réaliste (car enfin, les enfants semblent plus regretter le confort de leur maison que l'absence de leurs parents, pas évoquée, pas génératrice d'un quelconque désespoir). Il est vrai qu'un clou chasse l'autre et que les circonstances les contraignent à agir pour se sortir du traquenard dans lequel ils sont tombés. Mais quand même.
Des petites notes d'humour, issues souvent des borborygmes de Prunille, allègent le propos, mais le sujet ne porte pas vraiment à rire.
On est finalement dans un récit aux allures de conte, pas loin du petit Poucet (enfants abandonnés par les parents, devant compter sur eux-même et leurs compétences pour survivre) , mais il manque une dimension allégorique. le récit semble trop ancré dans la réalité pour permettre le recul nécessaire.
La marge entre le ton plutôt léger et la gravité du fonds de commerce de l'histoire me laisse perplexe pour évaluer quel public est visé : les tout petits mais c'est quand même anxiogène à un âge où on ne généralise pas forcément, les plus grands, mais le style est quand même très peu élaboré, et truffé d'explications qui ne sont pas nécessaires pour des pré-ados.

Enfin une question : pourquoi faire référence aux deux grands poètes que sont Baudelaire et Poe? Les autres tomes de la série fournissent peut-être la réponse, mais je ne suis pas sûre d'avoir l'envie de poursuivre l'aventure.

Lien : http://kittylamouette.blogsp..
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En fait, cela faisait un petit moment que j'entendais parler de cette série sans avoir eu l'occasion d'en lire ne serait-ce qu'un seul. Voilà qui est chose faire mais je m'arrêterai là et ce pour deux raisons : non pas parce que je n'ai pas aimé mais simplement parce que je ne possède que cet exemplaire à la médiathèque dans laquelle je travaille et aussi, parce que, même si je sais que cela va aller de pis en pis, je voudrais pouvoir croire en la possibilité d'une fin heureuse pour nos trois petits orphelins.

Violette, Klaus et Prunille Baudelaire ont tout pour être heureux : ils vivent dans une belle maison remplie de livres avec des parents aimants mais tout bascule du jour au lendemain au Mr Poe , le banquier de famille vient les trouver sur la plage pour leur annoncer une terrible nouvelle : non seulement leur superbe maison est partie en fumée mais en plus de cela, les voilà désormais orphelins. Les recueillant pour un temps chez lui, Mr Poe ne peut cependant pas les garder chez lui. Il doit les confier à leur très très lointain parent, le comte Olaf dont ils n'ont d'ailleurs jamais entendu parler et si il y a une raison à cela, c'est que cet homme est égoïste, cupide et extrêmement cruel. Dès lors, la vie de nos trois héros se change en véritable cauchemar, d'autant plus qu'ils n'ont pas d'autre choix car ils n'hériteront de l'immense fortune de leurs parents que lorsque Violette, l'aînée, aura atteint sa majorité. Quatre ans d'attente attendent donc nos trois orphelins et le lecteur ne peut imaginer l'enfer qui les attend si ils sont destinés à passer ces quatre années d'existence auprès de cet homme cruel qui n'a pas eu la bonne grâce de les recueillir chez lui mais était uniquement intéressé par l'argent que ces derniers pouvaient lui apporter. Cependant, il y a un hic mais en tant qu'homme machiavélique, Olaf va tout mettre en oeuvre pour pallier à cet obstacle qui se dresse face à lui. C'était cependant sans compter sans l'intelligence et la vivacité d'esprit de nos deux aînés mais seront-ils assez forts pour se sortir de cette situation ?

Un ouvrage très bien écrit et qui se lit très rapidement. Certes, l'histoire n'est pas des plus réjouissantes mais nos trois amis savent néanmoins nous faire sourire de temps à autres. A découvrir par curiosité et à faire découvrir !
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Livre acheté il y a un petit bout de temps que j'ai ressorti à l'occasion d'un déménagement et à cause de sa faible épaisseur.

Lecture effectivement très courte car peu de pages (moins de 200 pages) et caractères grand format, tome lu en 3h malgré le style de l'auteur. Je l'ai terminé car il était très court mais je n'achèterais pas la suite. Que je vous explique maintenant pourquoi !!

En premier lieu, le style de l'auteur. À cause de lui, ce livre me semblait avoir été écrit pour des enfants très jeunes. Alors qu'en fait, il peut être lu à partir de 11 ans. Pourtant d'après certaines explications dans le corps du texte, il semblait être destiné à des enfants commençant juste la lecture. Quand j'étais plus jeune, je préférais chercher un terme que je ne connaissais pas dans le dico plutôt que d'avoir l'explication tout cuit dans le bec. Un roman n'est pas sensé être un dico, que je sache... Quand il s'agit d'un terme inventé, OK, mais pas quand il s'agit d'un mot de la vie courante (« des tomates, qui sont en fait des fruits, tout comme les cerises et les fraises » et d'autres du même acabit).

Ensuite, dès les premières pages, cette histoire m'a fait me souvenir d'un film vu il y longtemps sur des orphelins et un parent plus qu'avide de leur fortune. Je l'avais moyennement aimé. le livre me fait le même effet en moins de 50 pages malgré les différentes recommandations de « bonne lecture » sur Babelio.

Par ailleurs, le style de l'auteur est plutôt fade et terne et ses personnages n'ont aucune profondeur ni consistance. Ils sont réduits au strict nécessaire et leur description est plutôt répétitive dans leur trait de caractère. Dommage que derrière un résumé si attractif, il n'y est que du vide et beaucoup de bruit pour rien.

Comme vous l'aurez compris, cette découverte n'a pas été une réussite pour ma part et je ne continuerais donc pas l'aventure avec les orphelins Baudelaire et leurs déboires. J'ai suffisamment de livres dans ma PAL (pas loin de 400, un déménagement, ça aide à compter) pour m'encombrer avec des séries dont je n'ai pas apprécié le premier tome. Mais comme on dit, « Chacun ses goûts », vous l'apprécierez peut-être plus que moi.

Sur ce, bonnes lectures à vous :-)
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Chers Babeliotes, si vous vous apprêtez à lire cette critique, je vous enjoins à fermer immédiatement cette fenêtre et aller faire quelque chose d'amusant, tel que gambader nu dans l'herbe, car rien de bon ne peut sortir de ce triste tome 1...

C'est avec plaisir ( plaisir malsain? ^^) que je me suis replongé dans le tome 1 de cette série qui m'a accompagnée durant toute mon adolescence. Tome 1 d'une série de 13 tomes, chacun composé de 13 chapitres, tout est dit : le malheur frappe! Les victimes sont trois enfants, les Orphelins Baudelaire, qui ont vu leur vie basculé du jour où leurs parents ont péri dans un incendie, les laissant au soin d'un tuteur fourbe, diabolique et crasseux, le Comte Olaf, qui a pour ambition de faire main basse sur la fortune de ses Orphelins. Or comme l'affirme ce bon mais inefficace Mr Poe, exécuteur testamentaire, "nul ne peut toucher à la fortune Baudelaire avant la majorité de Violetle", l'aînée du trio. Mais le Comte est retors et met en place machination sur machination pour parvenir à ses fins. le tome 1 pose les bases de la série : les particularités des Orphelins, leurs situations, une description physique du Comte Olaf et de ses acolytes, la personnalité de Mr Poe, etc. L'humour, à condition d'aimer le sarcasme, l'ironie, l'exagération comique etc sont autant de leviers utilisés.

Plus que l'histoire, déjà originale en soi, c'est la narration qui me séduit tant dans cette série. En effet, "l'auteur", Lemony Snicket ( pseudonyme de Daniel Handler) est un personnage à lui tout seul de cette série. Il s'agit d'un enquêteur qui se doit de retracer les funestes aventures des Orphelins. A chaque tome, dans le résumé comme dans l'histoire, Lemony Snicket nous enjoint à refermer le livre pour se tourner vers des lectures plus réjouissantes. A chaque fin de livre, il y a un document qui consiste en une série d'instruction adressée à l'éditeur pour dénicher le tome suivant, ainsi que certains détails sur ce que peut contenir le récit. Détails également que l'on peut constater dans l'ultime dessin de chaque tome ( dans le tome 1, un serpent). le narrateur intervient tout au long de l'histoire, et donne au détour des petites leçons de français ( expression, vocabulaire, leçon de vie, etc). Les accroches de chaque chapitre font toujours sourire. Si bien, que l'on s'aperçoit que l'on veut autant en savoir sur les Baudelaire que sur Lemony Snicket lui-même qui semble attachée, d'après la dédicace, à une certaine Béatrice.

Un tome jeunesse qui se lit vite mais qui a le mérite de déborder d'originalité. Si on y est sensible, on n'est pas déçu!

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Voilà une jolie découverte que cette série jeunesse. L'histoire de départ n'appelle pas vraiment à l'originalité : 3 orphelins se retrouvent recueillis par un tuteur qui veut juste profiter d'eux et qui les traite mal. Là où ça sort de l'ordinaire, c'est la façon dont l'auteur a traité le sujet. le narrateur s'adresse directement au lecteur en le mettant en garde régulièrement de la tristesse de l'histoire es Baudelaire. C'est bourré d'humour, ça ne tombe jamais dans le pathos, et les personnages sont de vraies caricatures. J'ai beaucoup aimé les références littéraires (Edgard Poe) et les jeux de mots.
J'ai vu aussi les 2 premiers épisodes de la série, correspondant à ce premier tome, qui est très réussie, et a très bien traduit l'ambiance étrange que j'ai ressenti à la lecture.
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Je découvre à peine les péripéties de ces trois frère et soeurs, et déjà je me questionne... Mais POURQUOI je ne l'ai pas lu plus tôt???
Je découvre les aventures de Violet, Klaus et Prunille. Trois enfants qui subissent l'acharnement du mauvais sort. Confié à leur oncle Olaf à la mort de leur parent, ils vivent des moments difficiles. L'histoire est narrée grâce à un cynisme et un humour noir délicieux.
Cette histoire est conté par Lémony Snicket, qui n'hésite pas à employer le "je" et à intervenir dans l'histoire pour discuter avec le lecteur. J'ai adoré ces passages car je m'imagine à 10 ans, entrain de lire ce livre. Je pense que ma lampe poche aurait fait des ombres chinoises toute la nuit pour dévorer l'entièreté de la collection.
C'est pour moi innovant car on a l'impression d'être spectateur d'une pièce, et d'avoir comme au cirque, un Monsieur Loyal qui décrit les pérégrinations des enfants.
Et les enfants, parlons en. Face à diverses situations douloureuses, on penserait assez aisément qu'ils se laisseraient aller au chagrin, et subiraient leur sort sans broncher. Or, on remarque d'emblée que leur caractère et leurs passions différentes fera avancer les choses dans une bonne direction : Il y a toujours une solution, malgré que le tableau se présente mal.
C'est un vrai plus à cette histoire car cela donne le sentiment au lecteur (à l'enfant) d'être fort, volontaire, courageux face à tous ces événements. Comme dans "Une histoire sans fin" : qui n'a pas rêver d'être Bastien et de lire et vivre l'histoire.
Avec mes yeux d'adulte, je peux trouver des défauts à cette lecture : le ton parfois péremptoire, des explications avant même de savoir ce qui va se dérouler, un vocabulaire parfois compliqué pour un public jeune, ou au contraire des explications à rallonge (pour ceux dont le dictionnaire n'est pas l'ami^^) : ce premier tome ne laisse rien passer aux enfants, et peut paraître dur : la perte des parents, la maltraitance, des thèmes angoissant pour un jeune enfant. Mais paradoxalement, se mettre face à ses peurs permet d'appréhender différemment les choses.
Mais je ne peux pas regarder ce livre comme un livre de Stephen King ou de Maxime Chattam... Car il n'est pas fait pour nous adulte. du coup, mon moi enfant se fera une joie de dévorer la collection !
J'ai hâte de découvrir la suite des tomes.
Lien : http://lecturedaydora.blogsp..
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Ce livre est un bon livre jeunesse relatant les aventures de trois orphelins bien élevés et futés, mais peu chanceux dans la vie, bravant un enchaînement de péripéties. le livre est dirigé vers un jeune public et le style de l'auteur y est adapté tout en étant riche en vocabulaire.
L'histoire est intéressante et j'ai aimé le côté cynique de l'auteur.
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J'ai acheté les trois premiers tomes de la série après avoir vu le film sorti en 2004. J'avais trouvé l'idée plutôt originale, et j'avais réellement envie de savoir si l'auteur allait avoir l'audace de créer la fin dramatique qu'il nous promet dès les premières lignes de son histoire. Et j'avoue que comme beaucoup d'autres romans, ils sont restés dans ma pile à lire très très longtemps. Et puis l'envie m'est venue.

Je connais plus ou moins l'histoire, grâce au film, je savais donc à quoi m'attendre. Pas une lecture très gaie, des enfants qui deviennent subitement orphelins et que la vie n'épargne pas. Pas très réjouissant. Et pourtant, Daniel Handler arrive très facilement à nous captiver. Il faut dire que dès le début, les choses sont très claires. Ce roman n'est pas fait pour faire sourire, et si on a l'audace de continuer, il faut s'attendre à d'autres catastrophes. Et malgré cela, on continue notre lecture. Un brin sadique ? Non, je ne pense pas, c'est tout simplement le style de l'auteur qui est prenant, et qui nous oblige, en quelques sortes, à poursuivre. Entre sarcasme, humour noire et boutade, Daniel Handler nous narre ainsi une histoire pleines de rebondissements et où on ne s'ennuie pas une seconde. Il faut dire que questions embrouilles, les orphelins sont plus que gâtés.

Et puis, on s'attache très vite à Violette, Klaus et Prunille. C'est aussi sûrement cela qui nous pousse à continuer. Car au fond de soi, on se dit que l'auteur ne peut pas être si cruel, et au fil des pages on continue à croire que l'espoir va bien un moment donner pointer le bout de son nez. Ce sont ces deux éléments qui vont me faire poursuivre l'aventure. J'adhère totalement au style plutôt étrange et original de Daniel Handler et je veux savoir !

Le seul point négatif serait Olaf... Oui, je hais ce personnage. Vraiment, chacune de ses apparitions me faisaient hérisser le poil. Un très bon méchant, peut-être trop bon en fait... Mais je trouve néanmoins, qu'il colle tout à fait à cet ambiance gothique de l'histoire, très sombre. D'ailleurs, lorsque je m'imagine les personnages évoluer, je n'arrive pas à les voir en couleurs... Preuve que l'ambiance et l'histoire ont très bien su m'atteindre. En espérant maintenant que les prochains tomes seront aussi intéressants.
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Daniel Handler, alias Lemony Snicket, a choisi avec sa série des orphelins Baudelaire de prendre le contre-pied des contes de fée. Il s'agit des désastreuses aventures de ces trois enfants. Et histoire d'enfoncer le clou, le premier tome s'intitule Tout commence mal. Outre le nom de famille qui avait attiré mon attention, cette vision de l'auteur me plaisait bien.

Donc, tout commence mal en effet. Comme leur désignation l'indique, les orphelins Baudelaire n'ont plus de parents. Ils sont morts lors de l'inexplicable incendie qui embrasa leur demeure. Violet, Klaus et la petite Prunille se retrouvent gros de chagrin confiés par Mr Poe (leur chargé de succession) à un certain comte Olaf, un oncle jusqu'alors inconnu. Celui-ci est un quelconque histrion (artiste de génie selon ses dires) qui vit dans une maison où mieux vaut avoir tous ses rappels de vaccin et ne pas être allergique à la poussière, aux acariens, etc. C'est dans ce "foyer" que les trois enfants vont devoir vivre. Qui plus est sous la férule tyrannique et machiavélique Olaf qui ne vise que l'héritage des enfants.

Heureusement, ces trois orphelins sont loin d'être dépourvus de ressources. Violet, l'aînée, est une inventeuse de génie. Klaus, son cadet, dévore les livres depuis tout petit et est doté d'une mémoire et d'une intelligence prodigieuse. Quant à la petite Prunille, sa dentition n'a pas son pareil... Et surtout ils sont unis pour déjouer les horribles pièges de leur "cher" oncle.

Ce premier tome pose les bases de la série en en présentant les principaux protagonistes. On se prend très vite d'affection pour le trio débrouillard et fortement complémentaire. le comte Olaf, lui, est un méchant comme on adore les détester. Un vrai salé type que rien ne rachète. Vil, fourbe, sournois, cruel et instable sont autant d'épithètes qui lui collent à merveille.

La façon de l'auteur d'aborder l'histoire de ses jeunes héros est intéressante et originale. Malgré le titre de sa série, celle-ci ne manque pas d'humour et de beaux moments de bravoure. Bref, tout est concocté pour donner envie de tourner les pages puis de se lancer  sans attendre dans le tome 2.
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Lus il y a plusieurs années, je ne suis pas sure de pouvoir me rappeler de chaque tome bien précisément. Je vais donc faire une critique globale qui n'ira de toute façon que jusqu'au tome 7 qui est le dernier que j'ai lu.

Tout va mal pour les orphelins Baudelaire, il ne leur arrive que des malheurs, et rien ne s'arrange au fil de leurs aventures, on peut même dire que l'on va de mal en pis !

J'ai été conquise par les trois premiers tomes qui m'ont laissé de très bon souvenirs et pour lesquels l'histoire est un peu plus nette que pour les quatre suivants. Mais j'ai effectivement été lassée par la suite qui ne fait que répéter ce même schéma que l'on retrouve dans pratiquement tous les romans. Les orphelins sont attachants mais de manière générale les personnages manquent un peu de relief, on est effectivement dans du roman jeunesse qui donne envie de lire mais qui ne va pas chercher beaucoup plus loin que le filon de départ.

Est-ce que je lirai la suite un jour ? Peut-être mais pas tout de suite. Cependant je pense que c'est une bonne approche pour les publics plus jeunes.
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