Les thés meurtriers d'Oxford, tome 1 : Chou à la crim'

Une jeune célibataire de vingt-neuf ans, des pâtisseries appétissantes, un chat, et un meurtre...
- Bookoholic, je te signale que tu as déjà fait la critique de Meurtre et pépites de chocolat il y a six mois.
- Rassure-toi, je ne radote pas, et je sais que le pitch de départ de A scone to die for est semblable au Chocolate Chip Cookie Murder. de ce fait, j'avais peur que les romans se ressemblent trop, et en effet, on relève plusieurs points communs:
1. Une jeune femme qui tient un commerce de pâtisserie.
2. un chat à la personnalité affirmée.
3. La meilleure amie et associée.
4. Un village où tout le monde connaît tout le monde.
5. La mère entremetteuse.
6. La présence de deux spécimens mâles plutôt séduisants.
Cela mis à part, A scone to die for s'avère différent par bien des points.
Mais avant toute chose, arrêtons-nous sur le titre. Il faut savoir que chacun des titres originaux (une dizaine de tomes) présente un jeu de mot, notamment en référence à une chanson anglophone. La traduction du premier titre est bien tenté, mais ne vous y trompez pas, il ne s'agit pas de choux à la crème, mais de scones.
A propos de jeux de mots, cette histoire, qui se passe en Angleterre, est pleine d'humour so British, notamment avec les quatre commères du village. J'ai lu un passage en publique et croyez-moi, j'étais bien contente d'avoir mon masque pour une fois.
Quant au meurtre et sa résolution, l'ensemble reste assez cohérent. Contrairement au beau-frère d'Hannah, Devlin me semble plus compétent, et même si Gemma même sa propre enquête, la police fait son travail.
Bref, j'ai préféré l'histoire de Gemma et le charme britannique de ce cosy mystery. La recette de scones à la fin donne envie et le glossaire à la fin de la version originale est intéressant, même si je connaissais déjà certains mots et même si j'avais compris les autres grâce au contexte.
( Mais alors, pourquoi ces deux romans ont la même note?
- Excellente question! A vrai dire, je chipote beaucoup plus avec le temps, et j'ai trouvé une incohérence.
ATTENTION, SPOILER ALERT!: L'incohérence concerne un changement d'heure. On peut facilement passer à côté, mais personnellement ça m'a turlupiné un bon moment. J'ai retourné le problème dans tous les sens. J'ai pensé que c'était moi qui ne comprenais pas, mais j'en ai discuté avec ma BBFF qui est arrivée à la même conclusion. A moins qu'on soit passées toutes les deux à côté de quelque chose... Ceux qui ont lu le livre, n'hésitez pas à donner votre avis en MP.
FIN DU SPOILER ALERT
Je me demande s'il y a des incohérences dans tous les cosy mysteries. Des facilités, des invraisemblances, je veux bien, mais des incohérences qu'on aurait pu régler facilement... C'est ce qui lui a coûté une demi-étoile.
Mais cela ne m'empêchera pas de lire la suite de la série, car ces livres se dégustent comme un scone tout chaud accompagné d'un thé.
Merci à ma BBFF chérie pour cette découverte!

Je l'ai lu d'une traite tant c'était addictif ! C'est un de mes premiers cosy mystery et j'ai adoré l'ambiance de ce petit village près d'Oxford avec son salon de thé bien douillet rempli de douceurs qui donnent vraiment l'eau à la bouche ! Je 'n'avais qu'une envie goûter tous les plats… L'enquête était fort sympathique, les petites vieilles m'ont bien fait rire, l'héroïne est courageuse et pétillante j'ai hâte d'en savoir plus sur l'évolution de sa relation avec un certain inspecteur. Par contre j'ai eu beaucoup de mal avec les parents de l'héroïne… j'espère qu'ils vont évoluer au fils des tomes… Et pour finir Oxford.. quel lieu envoûtant et mystérieux, j'ai encore plus hâte de découvrir cet endroit après ma lecture !

Premier tome d'un très bon cosy mystery. Gemma est une enquêtrice malgré elle qui n'a pas d'autre choix que d'enquêter sur le meurtre d'un odieux personnage dont le corps a été retrouvé dans son salon de thé. Cette série débute avec un rythme soutenu, très peu de temps mort et il est difficile de décrocher de l'histoire et de l'enquête. J'ai trouvé beaucoup de points communs avec les enquêtes d'Hannah Swensen : héroïne attachante et courageuse, pâtisserie, recette, chat malicieux, humour, mère à fuir, béguin pour un policier, peu apprécié de sa mère et potentiel amoureux médecin, potentiel gendre adoré de sa mère. Village très bien décrit et habitants qui dépotent. Tome très prometteur, vivement la suite.

Gemma, 29 ans, revient vivre dans son village natal, à proximité de l'université d'Oxford, après avoir passé plusieurs années en Australie dans un job très bien payé mais ennuyeux. Elle décide d'ouvrir un salon de thé anglais pittoresque mais voilà qu'un touriste américain y meurt, étouffé par un scone. Ce premier tome de la série des thés meurtriers d'Oxford n'est certes pas de la grande littérature ni un thriller qui nous tient en haleine jusqu'à nous empêcher de dormir. Il est cependant divertissant, l'humour anglais y est permanent et on s'attache aux personnages même s'ils sont souvent caricaturaux. Lecture rapide et agréable qui a le mérite de nous donner envie de visiter les lieux et de nous mettre l'eau à la bouche quand on est amateur de pâtisserie.

Gemma Rose a décidé de changer de vie. Originaire d'Oxford, elle y a fait ses études, et a ensuite intégré une grande entreprise. de retour d'Australie, elle achète un salon de thé dans le village de Meadowford, et acquiert très vite une petite notoriété. Seulement, un touriste américain, par ailleurs odieux, est retrouvé dans la cour du salon de thé, mort par étouffement. Avec les scones de Gemma !!!!
Pour tenter de sauver la réputation toute neuve de son établissement, celle-ci va mener l'enquête, aidée (ou pas) par quelques clientes d'un certain âge, mettant ainsi au jour une affaire bien plus complexe qu'il n'y paraît…
Après l'histoire d'Israël Keyes, j'avais besoin de légèreté. Me voilà donc dans ce salon de thé bien particulier d'Oxford, pour déguster un « chou à la crim ‘ », où j'ai trouvé ce que je cherchais. C'est effectivement léger, divertissant, sans prise de tête, et c'est tout ce que je demandais. Si l'intrigue policière n'est pas la plus alambiquée qui soit, elle tient la route, de même que les différents protagonistes. Et surtout, grâce aux quatre mamies commères du village, c'est franchement drôle. Mention toute particulière pour les descriptions d'Oxford, ses pubs et son université, qui permettent presque au lecteur d'y déambuler…

Énorme plaisir que cette lecture détente! Un bon cosy polar comme je les aime!
Un cosy polar c'est un policier sans trop de violence, pas de description glauque, pas de torture et de violence à outrance. La mort d'un personnage (auquel on n'est pas trop attaché) sert de prétexte à l'enquête avec un personnage principal qu'on suit et qui ne fait pas partie des forces de l'ordre, mais va aider l'enquêteur (ou enquêtrice) de la police à résoudre l'affaire. Et généralement, il y a un petit truc romantique entre la madame non policière et le policier.

Voilà pour lé définition du cosy polar, et donc ce livre est est l'illustration parfaite: un meurtre dans un salon de thé, la patronne du salon de thé qui enquête, le policier qui est un ex, la résolution finale après des rebondissements, c'était parfait!
J'ai bien aimé certaines choses assez originales pour le genre (la personne qui a tué...) et l'héroïne est attachante.
A la fin, on retrouve la recette des scones, à tester!

Bien sûr ça m'a beaucoup évoqué Agatha Raisin, mais l'héroïne est tellement plus sympathique!

C'est un genre qui se développe beaucoup en ce moment mêlant pâtisserie et petits meurtres entre amis (Agatha Raisin, Julie Cavallo, Les Thés meurtriers d'Oxford, etc. )

Roman délicieux et qui donne envie de faire des scones à l'heure du thé! Très classique dans la forme : décision personnelle et professionnelle qui modifie la vie du perso principal: femme, célibataire / retour aux sources: elle quitte une grande ville pour une vie "au village" / endroit touristique : à proximité d'Oxford / meilleure copine, famille difficile, galerie de personnages locaux pittoresques et n'oublions pas le chat / et bien sûr l'enquête amatrice. Bref, tout y est et ca fonctionne bien. Contrairement aux Agatha Raisin que je n'arrive pas à aimer, les Thés meurtriers de H.Y.Hanna semble être ma tasse de thé! L'écriture à la première personne est agréable, on se fond dans le personnage. Impatiente de lire le tome 2 que je viens de commander.

Quelle délicieuse découverte que cette saga des thés meurtriers d'Oxford !

J'ai dégusté ce premier tome comme un tea time so british, et je me serais bien resservie en scones et crème pour prolonger le plaisir 🥰
Sans grande originalité, cela fait l'unanimité ici, ce cosy réunit tous les ingrédients pour que la pâte monte et prenne correctement. Un joli village anglais, une héroïne jeune, dynamique, au caractère bien trempé, un petit chat pas trop loin, du thé, des gourmandises, un meurtre loufoque, un monsieur pas trop dégueulasse à regarder/imaginer (ici l'inspecteur Devlin), des petites mamies commères mais toujours prêtes à aider, sans oublier une petite enquête pleine de joyeux rebondissements à mener. le tout amené par une plume drôle, moderne et fluide.

Les lignes défilent, les pages se tournent, le cerveau est en ébullition. C'est un moment de lecture qui se déguste, ou plutôt qui se dévore. Il est difficile de déposer le livre tant que l'assiette n'est pas terminée 😅

Défi relevé pour , qui s'en sort à merveille et m'a donné envie de découvrir (très) vite le second tome.

Un petit cosy mystery sympathique. Je ne suis pas fan des romances dans les enquêtes mais là, la barre n'est pas franchie donc ça passe.
La relation mère fille me fait rire. L'amitié est présente. L'héroïne me rappelle quelqu'un avec ce cerveau qui n'arrête jamais.
Le clin d'oeil au chat est vendeur et m'a eu je le reconnais. Vive Muesli.

Gemma a plaqué sa vie de jeune cadre dynamique à Sydney pour revenir près d'oxford ouvrir un salon de thé avec sa meilleure amie, Cassie. Ça ne fait pas la joie de sa mère qui ne comprend pas cette lubie.
Mais Gemma veut réaliser un rêve et si ce touriste américain arrogant n'avait pas été retrouvé mort dans la cour de son salon de thé avec un scone préparé par Flétcher, le cuisinier de Gemma... l'essor du salon de thé était assuré mais voilà le meurtre ne fait pas bonne publicité.

Ajoutons à ça l'envie de la mère de Gemma de la caser avec Lincoln, le fils de sa meilleure amie et "medecin" et le retour dans sa vie de son ex, devenu flic, l'inspecteur O'connor, et on comprend vite que Gemma va avoir du mal à trouver le sommeil.

Un bon moment de lecture. A voir ce que donnera la suite.

Tellement de clichés

J'ai enfin pris le temps de terminer le premier tome des Thés meurtriers d'Oxford, commencé il y a plusieurs mois et que j'avais mis de côté.
Honnêtement, je ne suis pas plus emballée que ça.
Tous les ingrédients du cosy mystery sont bien là pourtant.

Gemma, jeune femme à la brillante carrière décide de tout plaquer pour réaliser son rêve. La voilà propriétaire d'un charmant salon de thé dans un petit village des Cotswolds où elle a grandi. Même si elle est contrainte de retourner vivre chez ses parents, Gemma est heureuse car les affaires démarrent bien. Jusqu'au matin où un touriste est retrouvé mort, étouffé par l'un de ses scones, sur la terrasse du salon de thé. Elle décide donc de percer le mystère de ce meurtre avant que la réputation de son établissement en prenne un coup…

Tous les ingrédients sont bien là comme je le disais et c'est peut-être ce qui m'a posé problème. J'ai eu l'impression d'avoir déjà lu ça.
Une mère qui veut absolument la marier. L'inspecteur, forcément ancien grand amour de sa vie, qui tourne la tête mais il y aura aussi l'outsider. Triangle amoureux. Forcément. Les vieilles dames acariâtres, le chat, les pâtisseries… Toutes les cases sont bien cochées.

J'ai soupiré devant l'indécision de Gemma face à sa penderie. J'ai craqué sur le long paragraphe autour des pommes de terre.

OK il y a également l'enquête. Mais elle est presque accessoire. C'est un mélange de Meurtre et pépites de chocolat et Les détectives du Yorkshire.
Je ne me suis pas assez attachée à Gemma pour passer outre ce manque d'originalité.
Par contre les descriptions de l'université d'Oxford m'ont enchantée.

Je crois que le cosy mystery c'est vraiment à petite dose chez moi car j'ai l'impression de toujours lire la même chose…
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