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En rupture de stock la première fois que je l'ai commandé, j'avais hâte de le découvrir. Ni une ni deux, je l'ai dévoré dès qu'il est arrivé chez moi.
J'ai adoré l'univers que j'ai découvert. Un monde parfois proche du notre mais avec aussi un milliers d'autres possibilités. Un monde où tout est possible. Ou presque. Et qui reste crédible. On y retrouve des problèmes très réels, un rêve au bord de la guerre civile, des problèmes politiques, d'argent, de drogues, d'amour, d'amitié, d'avenir... Un récit très complet. On découvre ce monde et sa façon de fonctionner. Puis on va de découvertes en rebondissements. On alterne entre la vie éveillée et la vie rêvée. On ne s'ennuie jamais, chaque page nous tient en haleine.
J'ai tout de même trouvé un peu confus certains passages sur les automates notamment le lien avec le Coin au Diable de Bruxelles. Et l'histoire des Oniromanciens n'est pas toujours facile à appréhender. Les seuls petits points noirs.
La fin est inattendue jusqu'à la dernière page. Elle n'est pas très optimiste malgré qu'elle laisse aux lecteurs le choix d'imaginer la suite.
Walter est un personnage très intéressant. Récit à la première personne, ça nous permet de vraiment le connaitre, de le comprendre et de bien le voir évoluer. Si il peut paraitre antipathique au début, on ressent vite de l'empathie puis de la sympathie. On voit vite son côté sombre. Une complexité qu'on retrouve aussi chez les personnages secondaires.

J'ai bien fait de persévérer pour obtenir ce petit bijou. Une lecture bien plus que plaisante.
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Une version steampunk et rock'n'roll d'Alice au pays des Merveilles, avec une plongée dans un monde onirique déroutant. Hauchecorne joue sur les codes hollywoodiens, en particulier le western, et multiplie les idées amusantes pour nous emmener dans une odyssée semée d'embûches et de dangers. le tout, servi par un style alerte et gouailleur. Il nous fait plonger dans l'imaginaire et ses engrenages.
Lien : http://appuyezsurlatouchelec..
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Comment peut on offrir une fin si touchante lorsque le début est si laborieux ?
Oui. J'ai failli cesser de vivre ce rêve et qu'elle n'aurait été ma faute ?!

Walter est un personnage cliché, on le sait, de l'argent, beau gosse, famille richouze, fils de, vivant aux States, la base quoi.
Mon langage reflète le niveau intellectuel de ce jeunot.
Souhaitant sombrer toujours plus dans le cliché, il se la joue à la Justin Biebber et se prends deux, trois, que dis-je pléthore de drogues pour bien se finir. C'est qu'il est malheureux le titi !
Bien sûr, il finit pô bien le tit' père : l'overdose.
Il enchaîne par un tour en HP, non pas Harry Potter les gars... chez les zinzins. Voilà tout le crédit qu'il leur donne ^^.
Pour pas faire tâche, il est expédié loin d'Hollywood en Belgique en cure de désintoxication.
Voilà le topo IRL.

La nuit, le petit Walty, il se paie du bon temps. C'est drôle de dire ça pour un marchand de rêve... le temps.
La nuit, il découvre un monde de songe et de brume. Une contre société qui se nourrit des rêves, cauchemars, regrets et désespoir de chacun.
Cette société bien sûr, c'est pas 1984, mais pas bien loin...une dictature. Il y a tout les codes de la SF : big brother (le gouverneur), les télés écrans (rétro vision), les rebelles (Outlaws) etc etc.
C'est bien sympa quand on connait un peu ses classiques du genre, car c'est clin d'oeil par-ci, musique par-là.
Ok. Je suis fan. Je l'annonce.

Waltounet va en prendre plein la tronche, il va tomber amoureux bien sûr, ça va mal se passer, il va se faire casser le portrait, il va être surveillé par le Gouverneur, sa copine va se retourner contre lui etc etc. Je vous l'ai dit, schéma classique.
Mais que c'est bon !!

Vraiment, ne lâcher pas la lecture, faites une pause, regarder un bon nanard car ça vaut vraiment le coup.
C'est bien écrit, c'est intelligent, c'est touchant, ça fait mourir de rire !
C'est cultivé, cultivant, ça mets la patate. Je ne voulais pas finir de lire et pourtant je voulais absolument savoir quelle saloperie il allait encore lui arriver.
C'est sympa aussi Ça. L'extension même du psyché humain. Je ne pense pas qu'il y ait besoin d'en dire plus en fait. Au contraire de beaucoup, notre imaginaire y suffit. le Ça c'est notre jardin secret imaginaire, notre reflet, le moi inavoué. Celui qu'on perd lorsque la désillusion nous arrive en pleine face à l'âge adulte, quand on perd quelqu'un qu'on aime, quand on veut faire la peau de la grognasse qui t'a piqué ton mec a 15 ans.

Franchement. C'est super.

Ça ne mérite pas de note, bouquin trop subjectif pour le coup.
Mais bon comme on a pas trop le choix sur Babelio. le max.
C'est juste TB. Terriblement bon.
Pouce vers le haut, clin d'oeil, emoji qui sourit.
Merci.
Comme dirait l'Âne "Je la veux encore !"
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Le monde des rêves pourrait s'apparenter ici à la noosphère, à l'esprit collectif de l'humanité, où toutes les époques se rejoignent et où toutes les inventions prennent vie. Bouillon de culture fortement prisé, le sable qui en émane attise toutes les convoitises (et donc celle de notre protagoniste, qui se réjouit de pouvoir enfin offrir le meilleur blockbuster possible). C'est aussi un endroit où l'on doit apprendre à apprivoiser son "Ça", bien que ce soit un aspect peu développé dans le livre. Et surtout, c'est un endroit qui abrite bien des avertissements : les Oniromanciens, premiers rêveurs et architectes, aujourd'hui disparus, auraient beaucoup à enseigner, surtout sur les erreurs de l'humanité.

Romance, western, tragédie, comédie, roman initiatique, ésotérique, science fiction, fantastique, pulp... Un livre aux facettes multiples où les temps sont bousculés, où l'on termine par la fin, où l'on saute à cloche-pied d'une réalité à l'autre, où l'on commence à Hollywood pour finir à Bruxelles, sans pourtant que cela cause préjudice à la lecture. Des personnages en apparence immatures qui gagnent en bravoure et en courage, un monde aux structures branlantes, des interactions inattendues entre l'Ever et l'Éveil qui renferment parfois de sombres secrets ou donnent lieu aux illuminations les plus brillantes.

C'est un roman qui se lit vite, qui tient assez en haleine, car les aventures sont nombreuses, les enjeux complexes, les retournements de situation garantis. Anthelme Hauchecorne a ici une écriture plutôt maîtrisée, dynamique, qui ne se prend pas trop au sérieux et qui convient autant à un public jeune qu'à un public plus confirmé. Je remercie les éditions French Pulp pour cette agréable découverte !

(voir la critique intégrale sur le blog)
Lien : http://lecombatoculaire.blog..
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Merci à NetGalley et French Pulp Editions pour m'avoir permis de découvrir ce roman.

Walter Krowley Junior habite Los Angeles. Il appartient à une longue lignée d'acteurs et de réalisateurs ayant fait leur preuve dans le monde d'Hollywood. Ayant manqué de la présence de ses parents dans son enfance, cet enfant a grandi et s'est construit seul, sans les armes et les repères nécessaires. Il s'est fabriqué un monde dans lequel il vit à travers ses rêves.

Je me suis laissé séduire par le titre et le résumé. J'ai voulu plonger dans une nouvelle tentative d'un roman fantaisy et fantastique. Cependant, je n'adhère toujours pas au genre.

Je reconnais que le livre est bien écrit, l'écriture est fluide. Je ne remets pas en question la créativité de l'oeuvre, son originalité. Je pense que ce roman plaira sans conteste aux amateurs du genre.

Je ne suis décidément pas fan de ce type de roman, surtout en cette période de Noel où je suis plus à la recherche de bons sentiments, de poésie et de romantisme.
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Que je suis mitigée après la lecture de ce roman.
Je dois dire que j'ai adoré l'univers dans lequel se passe l'histoire. L'idée de départ - le monde des rêves dans lequel seuls quelques Rêveurs (la majuscule a son importance) dans le monde peuvent se rendre, une fois qu'ils sont endormis - est développée d'une façon vraiment originale, et cet univers ne peut que nous intriguer et nous pousser à continuer la lecture. Car ici, pas de gentil monde des rêves où tout vos souhaits se réalisent, non. C'est même presque tout le contraire...
Donc voilà, j'ai adoré l'idée de départ, le monde développé par l'auteur, et j'avais envie de continuer ma lecture pour savoir ce qu'il se passerait ensuite,... mais qu'est-ce que j'ai pu détester ce personnage principal ! Sur les 3/4 du livre je n'étais pas d'accord avec lui, avec ses décisions. Je me suis même demandée à cause de lui (et je me le demande encore un peu) si ce roman n'était pas du young adult. Dès le départ, je n'aurais rien fait comme lui, et ça m'énervait. Sur la fin, c'est un peu passé tout de même, il réfléchit avant d'agir.
Je suis également d'accord avec d'autres lecteurs sur le fait que la sous-exploitation des "ça" est vraiment dommage. C'était une super idée, qui ajoutait vraiment quelque chose à l'histoire.
Ensuite, la fin m'a vraiment donnée l'impression d'être trop ouverte, comme si on visait un deuxième tome, qui nous expliquerait, par exemple, ce qu'il est advenu de Spleen, et nous donnerait plus d'explications sur son "ça" et son lien avec celui de Walt (même si j'ai ma petite idée là-dessus...). du coup, c'est assez frustrant parce que l'histoire aurait tout de même mérité une vraie fin complète, avec possiblement une ouverture discrète sur une suite.
Si deuxième tome il y avait, je dois dire que j'hésiterai à me lancer... Plutôt que d'accrocher au personnage principal, j'avais préféré Hope, mais maintenant, à moins d'un rebondissement tordu...
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Je ne peux pas commencer cette chronique sans remercier encore une fois Anthelme Hauchecorne qui a la générosité de m'envoyer chacune de ses nouvelles parutions, à chaque fois pour mon plus grand plaisir de lectrice ! Je vous invite à aller lire mes avis sur ses autres romans si ce n'est pas déjà fait, en suivant ce lien. Alors, qu'ai-je pensé de ce nouveau texte ? La première impression est déjà favorable : la couverture est jolie et les en-têtes de chapitres stylisés.

Journal d'un marchand de rêves présente Walter Krowley, deuxième du nom, jeune Hollywoodien qui, après un accident traumatique, découvre qu'un autre univers, pendant du nôtre, existe lorsqu'il est endormi. Il découvre rapidement que Doowylloh (le pendant d'Hollywood) est loin d'être accueillant, entre le Gouverneur et sa Garde de nuit, les électrons libres tels que l'aventurière Speen, les Outlaws aux sombres commerces, Banshee la mécano… Ce serait même plutôt dangereux. Mais quand l'Éveil est décevant, vivre dans l'Ever ne serait-il pas la clé ? À moins d'user du sable…

Ce roman est rédigé, comme son titre l'indique, sous forme de journal. Néanmoins, ne vous attendez pas à l'aspect journal intime avec à chaque nouvelle entrée le jour et l'heure. Walt saisit une occasion particulière pour coucher sur papier la réalité de l'Ever, raconter ses mémoires en quelque sorte, mais pas tant pour sa gloire personnelle que pour ne pas oublier, ne pas l'oublier. Et je n'en dis pas plus. Cette forme en tout cas permet la narration à la première personne est d'amener le•a lecteur•rice au plus près du personnage principal qui va nous raconter sans fard ses (més)aventures. le style est bien travaillé, que ce soit dans le langage des personnages ou dans les descriptions de l'Ever et de ses habitants. Les nombreuses références musicales, cinématographiques et de culture américaine sont un vernis de réalité quand on se perd trop de l'autre côté.

Le roman est classé en steampunk, et il est vrai que l'Ever, ce drôle d'équivalent dans le sommeil de notre monde, en a de nombreuses caractéristiques qui plairont aux amateur•rices du genre, dont je suis. Mais je préfère avertir : l'histoire ne se passe pas au XIXème siècle et le progrès des sciences n'est pas vraiment un thème principal du roman, qui ne correspond donc pas à la définition restreinte du steampunk. On est plutôt sur un roman d'aventure, des histoires de trahison, de famille, d'amour bien sûr, de haine aussi, de confiance dans l'autre, de nature humaine, de devenir un adulte, la meilleure version de soi qu'on puisse être, de puissance créatrice… Vous voyez, les sujets ne manquent pas. J'ai beaucoup aimé les éléments fantastiques, notamment les Ça, des entités attachées aux Rêveurs qu'on ne voit que dans l'Ever. Je regrette même qu'ils n'aient pas été encore plus développés. L'ambiance est un peu sombre, parfois franchement glauque (miam les miasmes de Brumaire !) mais le roman est moins monstrueux que d'autres du même auteur. On penche plus vers l'onirisme avec cet étrange monde des Rêves.

Le récit est bien rythmé et les 550 pages passent vite. de nombreuses fins de chapitre terminent sur des twists qui poussent naturellement à commencer la page suivante. En bref, je n'ai pas eu le temps de m'ennuyer. J'avoue qu'au début, je craignais une chose : ne pas accrocher à ce narrateur, personnage pas particulièrement sympathique, fils de stars irresponsable, mais il s'avère au fil des pages qu'il a un humour plaisant, pas méchant, et surtout qu'il est en fait attachant. Plus d'une fois, je me suis dit que certes, il avait besoin d'être un peu secoué, mais la vie, des deux côtés du sommeil, ne l'épargnait guère. J'ai aussi beaucoup apprécié les deux figures féminines les plus récurrentes du récit, Spleen et Banshee, qui sont loin d'être de petites choses fragiles.

Je ne vois pas quoi dire de plus pour vous allécher sans gâcher la surprise de découvrir vous-même ce roman qui m'a beaucoup plu dans tous ses aspects et dont, en plus, le livre-objet est soigné.
Lien : https://withoutmuchinterest...
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Bienvenue à Hollywood ! Monde de star faisant rêver les comédiens et futures stars ! Walt est le fils de deux de ces rêveurs ! Laissé à l'abandon par ses parents, il grandit seul, entouré de nounous. Il va se retrouver à composer avec une belle famille, et surtout avec une belle-mère envahissante.

Retrouvez la chronique complète sur Songe!
Lien : https://songedunenuitdete.co..
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J'ai emprunté ce roman dans la bibliothèque de ma fille pour remplir une catégorie d' un défi lecture...
La couverture est magnifique comme très souvent pour les livres de fantasy mais je me suis un peu perdue dans ce monde complexe des rêves .
En plus , je n'ai pas réussi à m'attacher au personnage principal Walter.
Cependant je tire mon chapeau à l'auteur pour l'écriture fluide , drôle avec de très bons dialogues ce qui m'a permis d'aller au bout de l'histoire.
Je ne suis pas entièrement déçue car je savais dès le départ que la fantasy n'était pas pour moi ... Ma fille est contente car je ne toucherai plus à ses trésors lol
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--- Une plume incroyable ---

Vous me pardonnerez l'expression, mais… je suis sur le cul ! le style envoûtant d'Anthelme Hauchecorne m'a transportée dès les premières lignes, et je n'en reviens toujours pas. Sa plume est à la fois poétique et dotée d'un humour subtil.

Bref, c'est d'une fluidité absolue, les pages se tournent à toute vitesse et, les chapitres étant assez courts, on ne voit pas le temps passer. J'ai eu l'impression que les mots filaient entre mes doigts !

Le talent de l'auteur transparaît jusque dans les titres de ses chapitres : « Cet ange reviendra des Enfers », « Les Poltrouilles ne savent pas rêver » ou encore « Promenons-nous avec la Mort ». Vous l'aurez compris, je suis sous le charme !

--- Prêt pour un voyage onirique ? ---

Je vous ai parlé de la forme du récit, attaquons-nous maintenant au fond. L'univers créé par Anthelme Hauchecorne fourmille d'idées. Ma découverte du monde des rêves m'a d'ailleurs fait penser à Monstres et Cie pour le système des portes et aux dæmons dans la série À la croisée des mondes pour les Ça, ces créatures auxquelles les rêveurs sont attachés et qui sont comme une extension de leur âme.

Pour autant, l'originalité de ce roman ne fait aucun doute ! C'est un mélange atypique d'humour, de bizarreries et de rebondissements. Même si, au début, je n'y comprenais pas grand-chose, cela n'a fait que renforcer mon envie de percer les mystères de cette intrigue extrêmement bien ficelée. Et, croyez-moi, ils sont nombreux !

La dynamique ainsi mise en place a néanmoins été finement étudiée, ce qui a permis d'aboutir à un résultat convaincant. En fait, Journal d'un marchand de rêves nécessiterait une deuxième lecture. Car, comme je l'ai dit, au début on se sent surtout ballotté dans tous les sens et on a l'impression que les choses arrivent un peu par hasard, mais pas du tout ! Les évènements sont liés, même si on ne le comprend pas au premier abord.

Quant à la fin, voilà ce que je me suis dit : la boucle est bouclée. Je ne vous en dirai pas plus, mais quel bonheur de voir les liens logiques s'établir enfin dans mon esprit, lorsque j'ai compris les dessous de l'intrigue.

--- Une troupe de joyeux lurons… ou pas ! ---

Les personnages sont à la hauteur de l'imagination de l'auteur : uniques, excentriques et terriblement attachants pour certains. J'ai adoré Walter et son autodérision, cela va sans dire. Comme moi, il s'est fait avoir à de multiples reprises, malmené par les ambitions des autres protagonistes.

Si je ne savais trop quoi penser de Banshee – elle est d'humeur changeante, ce qui ajoute au mystère du récit ! -, Spleen m'est apparue comme une perturbatrice hors pair et les Outlaws comme des mercenaires sans cervelle à l'exception peut-être de Butch Smoke, un véritable manipulateur. Bref, une belle panoplie de personnages aux intérêts divergents qui ne manquent pas de ressources. Actions et surprises garanties !

--- J'en redemande ! ---

Pour conclure cette chronique, je ne dirai qu'une chose : merci Anthelme Hauchecorne. Voici donc un auteur que je vais suivre à l'avenir, c'est certain. D'ailleurs, il m'a fait une très bonne impression lors des Halliennales. Avide d'échanger avec des lecteurs de tous horizons, il m'a demandé quelles avaient été mes dernières lectures et m'a même conseillé plusieurs ouvrages qu'il avait appréciés, notamment Les Seigneurs de Bohen d'Estelle Faye qui me tente tout particulièrement.

Mais, maintenant que j'y pense, je crois qu'il a essayé de me vendre la moitié des oeuvres du salon (sauf les siennes). le pire ? C'est que ç'a fonctionné, puisque je suis repartie avec le livre du stand d'à côté, le tome 1 de Mysteria de Valérie Simon. J'espère que celui-là aussi sera un coup de coeur !
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