Les aventures de Tintin, tome 15 : Tintin au pays de l'or noir

Haddock : Mon nez ! mille millions de mille sabords !… Mon nez !…
Abdallah : Encore !… Encore brûler ton nez !…
L’émir Ben Kalish Ezab : Allons, refaites-le, ne fût-ce que pour lui faire plaisir… Un rien l’amuse…

Hergé a toujours eu le don de prémonition et la crise que déclenche l'épidémie d'explosions du début de cet opus annoncé les crises du pétrole futures ...
Les duponts sont en grande forme et sontresponsable d'une grosse partie des gags., qu'ils partage avec la petite peste d'Abdallah, prunelle des yeux de l'émir Ben Kalish Ezab...
Le méchant de service est Müller cette fois ci !
Le tout dans un décor des plus réaliste entre désert, médina et palais princier.
A relire encore et encore !

(Tintin) Pourvu...pourvu que ce ne soit pas un mirage !

Les Dupont-D:
- Et hop ! encore un mirage !
- Tu crois ?... Ça n'en a pas l'air... A ta place je ferais un petit virage et ...
- Moi, faire un virage pour un stupide rimage ?... Euh... Un rivage pour un mirage... Non, un mirage pour un virage... euh... Enfin, jamais de le vie: je continue tout droit

- Un pas de plus et je tue le gosse !...
- Chic ! Comme dans un vrai film de gangsters !...

Tintin : Müller, c’est le véritable nom du professeur Smith.
L’émir Ben Kalish Ezab : Où est-il, ce misérable reptile, que je le fasse empaler !…
Tintin : Müller, Altesse, est entre les mains de la police, et je lui ai donné ma parole qu’il serait jugé régulièrement.
L’émir Ben Kalish Ezab : Par Allah ! que vous êtes compliqué, vous autres Occidentaux !… Nous sommes plus expéditifs, nous !…

Moi faire un virage pour un stupide rimage ? Euh... Un rivage pour un mirage ... Non un mirage pour un virage... euh... Enfin, jamais de la vie : je continue tout droit !

(Dupondt) Tintin !
(Tintin) Les voilà !
('Dupont) C'est lui !... c'est bien lui ! ... Ah ! quelle joie ! ... Ah ! que je suis heureux...
(Tintin) Ce bon cher vieux Dupont !
(Dupont) ... de retrouver mon chapeau !... C'est vraiment de la chance !

Wouin ! Wouin ! Wouin ! j' veux rester avec Mille-Saborts, tonnerre de Brest ! ...

Pauvre cher petit chérubin !... Ces séances de pose étaient pour lui un véritable supplice... Le peintre, il est vrai, est devenu fou peu après...