J'avais découvert la plume de
Michel Honaker, avec le livre
le val de la morte embrassée, un livre que j'avais beaucoup appréciée et je suis à nouveau conquise par la plume de cet auteur avec
Carabosse : la légende des cinq Royaumes.
L'auteur nous plonge tout de suite dans un univers où magie, royaumes et quêtes dominent.
On va suivre Florestan, un jeune homme de vingt-cinq ans qui dispose de la couronne royale depuis quelques jours suite au décès de son père, roi Etienne, roi du royaume de Vaudémont. On retrouve ce jeune roi en pleine bataille face aux Dongles qui ne supportent pas le pouvoir et les monarques des Cinq royaumes. Il va trouver refuge chez le comte Claudio Vituperi qui a deux filles : Cara et Léonore. Rapidement l'amour va entrer en scène, mais une des soeurs sera lésée et elle n' appréciera pas d'être mise sur la touche. Grâce à l'aide du Vent Mauvais, appelé également tueur silencieux elle va le faire savoir et préparer sa vengeance.
Il s'agit là de la première partie, bien sûr d'autres éléments entre en scène, mais je préfère vous laissez la surprise lors de votre lecture.
Ensuite, nous allons plonger dans la seconde partie où on retrouve le roi Florestan en compagnie de sa reine et de leur enfant... nommée Aurore. On va apprendre que le palais de Bois-Dormant va être plongé dans le sommeil afin de contré le maléfice jeté par Carabosse et ils ne pourront qu'être réveillé par un Prince.
Lire Carabosse a été un très bon moment, ce récit est extrêmement bien écrit, les descriptions nous envoûtent et nous donne l'impression d'être au coeur de ces univers et de vivre dans cette atmosphère. Une fois commencée c'est un roman difficile à lâcher.
Ce que j'ai également apprécié c'est l'humanité que l'auteur donne à ces personnages, même si ce sont des êtres maléfiques on ressent de l'empathie pour eux. J'ai beaucoup aimé le personnage de Trublion qui est au début de l'histoire le fou du roi et petit à petit il va devenir bien plus. Enfin, j'ai adoré découvrir le fameux prince qui n'est pas forcément celui que l'on croit...