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sur 1140 notes
Rob est un jeune homme de bientôt 36 ans, il vient de rompre avec Laura. Il dirige un magasin de CD et prend plaisir à évoquer certaines chansons et parfois de les relier à ses anciennes conquêtes. Quand il voit débarquer une chanteuse américaine, il s'y intéresse mais garde toujours un oeil sur Laura...

Je dois avouer que Rob m'a bien agacé. Il essaye de savoir ce qu'il se passe entre Laura et son nouvel ami mais s'empresse ensuite d'aller voir une fille. Là, j'ai pas bien compris... Bref, sinon il passe beaucoup de temps à se plaindre et à se comparer aux autres mais ne fait pas grand chose pour changer la donne. Heureusement que Nick Hornby met pas mal d'humour pour diluer l'auto-apitoiement de cet anti-héros. J'ai bien aimé l'épisode de la sélection de ses 5 meilleurs tubes... Je relirai bien cet auteur mais peut-être pas dans l'immédiat.
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So british ! le style, le cynisme, l'humour, les personnages.
J'aurais mis 4 étoiles sans hésiter si ce n'est quelques lourdeurs. le personnage s'enlise dans sa vie et c'est tellement bien écrit qu'on fini par ressentir un peu de la même lassitude.
Mais j'essaierai volontiers un autre livre de Hornby car le style est délicieusement amer.
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Londres, années 80, Laura, jeune avocate prometteuse, a largué après 10 ans, Rob, looser de 36 ans, DJ 'has been' maintenant propriétaire fauché d'un mitteux magasin de disques.

Celui-ci revient sur ses échecs amoureux, essaie de comprendre et surtout reprendre Laura. Se laissera-t-elle convaincre, vu qu'en plus, Rob est un glandeur pas toujours fidèle et vraiment chiant!

Pas désagréable à lire, Rob, comme tout looser est attachant et Laura est trop chouette...

C'est pas mon cas mais les nombreuses références pop musiques de l'époque raviront les amateurs!
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Rob a 35 ans, il est disquaire à Londres. Et Laura vient de le quitter. Déboussolé, persuadé que son destin est de se faire plaquer, il passe en revue sa vie amoureuse et revient sur ses cinq relations sentimentales les plus marquantes. « Ce serait bien de penser qu'avec l'âge, les choses ont changé, que les relations sont devenues plus subtiles, les femmes moins cruelles, les carapaces plus épaisses, les réactions plus fines, l'instinct plus développé. » (p. 13) Sa conclusion est assez simple : en amour, il est resté un adolescent. « On dirait que toutes mes histoires d'amour sont une version bâclée de la première. » (p. 13) Avec désillusion et amertume, Ron échoue à comprendre les grands mystères amoureux. Il plie devant les joutes des « oui » et des « non ». À 35 ans, il est plus que temps pour lui d'arrêter de rêver au grand amour. Mais il ne cesse de s'interroger sur les raisons qui poussent les femmes à le quitter : est-ce le destin ? A-t-il une emprise sur sa vie amoureuse ? Sur sa vie en général ?
Rob aime la musique, plus exactement la pop music et si possible sous sa forme vinyle. Il baigne dedans et toute sa vie peut s'illustrer en mélodies pop. Loin d'être anodine, la pop semble être plus qu'une bande originale, elle sous-tend l'existence de Rob, en est la cause et les conséquences. « Personne ne s'inquiète d'entendre les gosses écouter des milliers – vraiment des milliers – de chansons qui parlent de coeurs brisés, de trahison, de douleur, de malheur et de perte. Les gens les plus malheureux que je connaisse, sentimentalement, sont ceux qui aiment la pop music par-dessus tout. Je ne sais pas si la pop musique est la cause de leur malheur, mais je sais qu'ils ont passé plus de temps à écouter des chansons tristes qu'à vivre une vie triste. À vous de conclure. » (p. 25) Les Beatles, Neil Young, Elvis Costello, Otis Redding, Bob Dylan et bien d'autres composent un orchestre aux sons doux-amers. D'une face A à une face B, Rob vit sa vie en musique, pop bien entendu.
Rob a du mal à se considérer adulte. Il compare sans cesse son existence à celle des autres et le constat est le même que précédemment, il est resté un adolescent. « le sexe est à peu près le seul truc d'adulte que je sache faire ; bizarre, donc que ce soit aussi le seul truc qui me donne l'impression d'être un gosse de dix ans. » (p. 105) L'imminence de son anniversaire aggrave son humeur morose et ses doutes existentiels. Se dirige-t-il pour autant vers un rock and roll suicide ? Même pas, il se laisse porter et l'issue, bien qu'attendue, n'est pas vraiment de son fait.
L'humour est caustique et désabusé, mais également pétri de nostalgie. À presque 36 ans, Rob jette un regard attendri sur une jeunesse disparue bien silencieusement. « Moi je suis là, dans ce petit appartement minable, tout seul, et j'ai 35 ans, j'ai un commerce minuscule qui périclite, et mes amis ne semblent pas des amis du tout, seulement des gens dont je n'ai pas perdu le numéro de téléphone. » (p. 64) le seul contrôle qu'il semble avoir sur la vie, ce sont les palmarès qu'il établit à propos de tout et n'importe quoi : dans une liste à cinq entrées, il pense pouvoir organiser sa vie avec plus de facilité. Mais finalement cinq entrées, c'est bien peu pour saisir toute l'ambiguïté et la fragilité d'une existence. Et personne ne peut vivre de listes.
Ce roman de Nick Hornby est très sympathique, même s'il tend parfois vers une guimauve de mauvais aloi. Encore un roman sur les trentenaires ? Oui, encore. Mais pour aimer celui-là, il faut aimer la pop music. Quelle chance, c'est bien mon cas ! Pour les autres, mieux vaut peut-être s'abstenir.
Le film de Stephen Frears avec le talentueux John Cusack dans le rôle principal est fidèle au livre en dépit de quelques raccourcis et inventions. le monologue de John Cusack rend à merveille les réflexions solitaires du héros. Et par-dessus tout, la bande originale est une réussite. le livre listait des titres, le film leur donne la parole. Rien que pour cela, j'ai préféré le film. À vous de voir !
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Rob est notre anti-héros, le narrateur et de son propre aveu "l'heureux propriétaire d'un magasin de disques en faillite" à Londres dans les années 90. Il vend du vinyle, des enregistrements "Haute Fidélité" à l'ère du CD.

A 35 ans, Rob vient encore de se faire larguer parce qu'il vivait encore avec une femme absolutely out of his league, une jolie avocate: Laura dont il n'était même pas vraiment amoureux. It's a man's world. Ca égratigne son ego de loser. Pendant que Rob se complait dans son rôle de victime de la minorité de femmes qui lui plaisent, ça ne l'empêche pas de traiter toutes les autres comme un véritable mufle (toute ressemblance avec des coaches en séduction qui se sentent opprimés par le féminisme serait bien sûr fortuite "si ce n'est toi, c'est donc ton frère ou bien quelqu'un des tiens car vous ne m'épargnez guère vous, vos bergers et vos chiens" le loup tenait à peu près ce langage dans le loup et l'agneau de Jean de la Fontaine.)

Il retrace ses ruptures sordides. Rob est aux hommes, ce que Bridget Jones est aux femmes, et l'auteur de ce chef d'oeuvre Nick Hornby à la littérature: la lose intégrale. Mais ce que j'en pense, on s'en fiche, puisqu'il a fait l'objet d'une adaptation cinématographique.

On est supposé trouver toute cette bassesse et cette mesquinerie, absence d'honneur extrêmement drôle. Je suis bien sûre que ce personnage médiocre est représentatif de la plupart des hommes comme l'est Bridget de la plupart des femmes et ça me ruine le moral.
Un malheur n'arrive jamais seul, c'est un catalogue de références de pop culture suranné dont je me moque éperdument ( je suis seulement allé en chercher une: l'actrice de la série "la loi de los Angeles")

Comme je suis cogné la moitié de ce livre de m... je me fais la joie de partager les meilleurs moments.


Rob compte le nombre des ses partenaires sexuelles pour s'en enorgueillir.

Rob s'enorgueillit de coucher avec la chanteuse de country américaine quand il sait que l'ex de cette chanteuse est une vedette. C'est son jackpot! I fucked someone who fucked someone famous! C'est pathétique, c'est consternant.

"Quand j'ai vu Laura [...] j'ai su que je voulais qu'elle revienne. Mais c'est sûrement parce qu'elle m'a rejeté[...] si je peux me persuader qu'elle veut un tout petit peu de moi, je ne voudrais pas d'elle et je pourrai continuer à chercher quelqu'un d'autre"

Eh ouais, pendant que certaines personnes un peu dégourdies comme moi (non, je ne suis pas modeste, mais je ne suis pas la seule a avoir vécu ça) se sont aperçues à l'âge avancé de treize ans et dont ils ont tiré la leçon pour éviter de blesser ou d'utiliser quelqu'un juste pour satisfaire leur ego, d'autres continuent ad vitam aeternam.
Bon le gars c'est pas Hitler hein, (bam et un point godwin, un!) mais ça, c'est le comportement humain ordinaire qui m'énerve. Une fois, il se trouve que j'ai parlé de ça dans une salle d'embarquement avec un artiste musical connu.

Tu connais ce type de mécanismes par coeur pour éviter de faire toi-même du mal de la sorte, tu n'oses pas le soupçonner chez l'autre parce que tu crois qu'il fait pareil que toi "nan mais c'est pas vrai, il peut être en train de faire ça à son âge, être assez con pour me prendre pour un con" puis tu vois bien que oui, et là tu dois résister à la tentation de le prendre à ce petit jeu que t'as limite inventé.
On nous appris que les gens n'étaient pas tout méchant et ou tout gentil, il y a des dégradés de gris mais au final on s'aperçoit qu'il y a un gris très clair pour quatre gris très foncés. Les pauvres, ils font ce qu'il peuvent même quand il te veulent du bien, ils te font du mal sans faire exprès.

J'ai déjà entendu un ex me dire: " en fait, elle me plaisait, je jouais franc jeu et je m'apercevais qu'elle me prenait pour un con avec ses "suis-moi, je te fuis" feindre l'indifférence... et je me suis dit t'inquiète toi, je vais t'en faire baver"

Bref des Rob y en a partout, le plus dur c'est de résister à la tentation de leur en faire baver. Je suis tombée sur la vidéo de CR7 qui a fait chuter l'action coca cola en préconisant de boire de l'eau et une autre vidéo sur Nicholas Winton qui a sauvé des centaines d'enfants Juifs et j'ai décidé d'arrêter cette lecture et d'essayer de niveler par le haut pour incarner le changement. Bye Rob!
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Les péripéties de ce londonien ayant quitté le monde adolescent depuis longtemps mais pas encore adulte nous sont racontées avec un sens de l'humour so british. On sourit, on rit , lecture qui fait beaucoup de bien. Auteur que j'aime beaucoup.
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Rob à 30 ans et il un peu – beaucoup – paumé dans sa vie, c'est un grand enfant, incapable de prendre des décisions, qui se retrouve célibataire à 35 ans et se pose beaucoup de question sur le sens de sa vie. On suit ses pérénigrations avec une certaine tendresse, lui qui refuse clairement de grandir, qui vit dans ses disques et ne comprend rien aux filles.

On s'attache à Rob et on l'apprécie avec tous ses défauts et ses gaffes. À presque 36 ans, Rob jette un regard attendri sur une jeunesse disparue bien silencieusement. le seul contrôle qu'il semble avoir sur la vie, ce sont les TOP 5 qu'il établit à propos de tout et n'importe quoi : dans une liste à cinq entrées, il pense pouvoir organiser sa vie avec plus de facilité.

En bref, c'est que du bonheur que nous apporte Nick Horby, avec un regard désabusé sur l'amour et le mal être avec une pointe d'humour tout ça sur fond pop rock. Une lecture drôle et rafraichissante.
Lien : http://petitpingouinvert.com..
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Rob, 35 ans, est, encore, en pleine rupture sentimentale.
Il fait la liste de celles qui l'ont quitté par le passé et décide de les rencontrer pour comprendre ce qui entraîne cet abandon systématique. Il s'inquiète de se voir vieillir et aimerait endiguer ce qu'il prend pour une fatalité.
Rob adore jouer les victimes même si un élan d'honnêteté l'amène parfois à avouer l'ange qu'il n'a pas toujours été.
La grande force de ce roman est que le narrateur s'adresse au lecteur. Il l'apostrophe pour attirer son empathie sur son piètre parcours sentimental. Il s'apitoie en rejetant le plus souvent la faute sur les autres : ses parents, l'austère petite ville où il a grandi, les filles qui ne le comprennent pas, le manque de chance de façon générale. Mais Rob n'est pas arrogant, il montre combien il est susceptible mais aussi généreux. C'est sa mauvaise foi qui le rend terriblement attachant.
Autre approche originale : tous les états d'âme de Rob sont décrits à travers la musique. le lecteur voyage dans un tourbillon de morceaux pop rock des années 70 aux années 90. Et se régale !
Il est propriétaire d'un magasin de disques dans une rue perdue de Londres et exprime à la fois toute son exigence et sa paresse à travers cette passion à laquelle il fait sans arrêt référence.
L'extrait suivant est emblématique du roman :
« Est-ce que je me suis mis à écouter de la musique parce que j'étais malheureux ? Ou étais-je malheureux parce que j'écoutais de la musique ? (…) Les gens s'inquiètent de voir les gosses jouer avec des pistolets, les ados regarder des films violents (…). Personne ne s'inquiète d'entendre les gosses écouter des milliers de chansons qui parlent de coeurs brisés, de trahison, de douleur, de malheur et de perte. »
Beaucoup d'intelligence dans ce roman, beaucoup d'humour et finalement beaucoup d'entre nous qui nous posons les questions existentielles sur ce qui maintient un couple.
La musique au service du sentimentalisme enrobée d'un humour décapant. Un roman à découvrir et un film à (re)voir.
Les rencontres parisiennes – Mai 2017
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De quel genre de haute fidélité sera-t-il question dans ce roman ? de matériel hi-fi, de musique, de disques, de chansons ? Ou bien d'histoires d'amour, de relations, d'adultère, de ruptures, de flirts ? Eh bien, des deux. Quasiment que de ça, d'ailleurs. de ça et de la crise de la trentaine, bientôt quarantaine, du manque d'ambition, d'optimisme, d'espoir dans l'avenir...

Somme toute, c'est un livre tout ce qu'il y a de plus banal, sûrement l'histoire de la vie de plein d'hommes de trente-cinq ans qui se demandent encore ce qu'ils ont fait aux femmes pour que ça ne marche jamais, tout en sachant que c'est quand même principalement dû au fait que beaucoup d'entre eux ne savent pas se comporter correctement. Un peu dur à avaler pour toutes les femmes qui liront ce livre et qui sont un tant soit peu touchées par la grâce du féminisme, mais peut-être n'est-ce qu'un étalage de caricatures et de lamentations exagérées pour justement mettre le doigt où ça fait mal. Peut-être.

Mais l'intérêt principal du livre, c'est peut-être bien ce parallèle musical, ces listes des meilleurs albums - ou bien des pires, toutes ces compiles, ces CD rares, ces playlists pour quand on tombe amoureux et celles de quand on se fait jeter. Les listes des meilleurs films. Des meilleurs épisodes de séries. Bref, un concentré de pop culture vacillant entre les années 50 et les années 90, globalement, de bonnes références si l'on en croit l'auteur. En tout cas, cela donne drôlement envie de s'arrêter à chaque fois pour s'intéresser aux titres et mettre la musique à fond.

Et, qu'on se le dise, c'est - malgré le côté largement pathétique - vraiment un roman assez drôle, plutôt bien écrit et honnête. A faire lire à ses ex, ses présent(e)s et ses futur(e)s si on a un message à faire passer. Ou à ceux qui aiment la musique.

(voir la critique intégrale sur le blog)
Lien : http://lecombatoculaire.blog..
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Nick Hornby était, jusqu'à cette lecture et celles qui vont suivre, un parfait inconnu pour moi… Mais j'ai accepté de participer à un défi-lecture autour de cet auteur anglais ; je commence ma découverte par Haute fidélité.

Le titre est bâti sur un jeu de mots : il s'agit à la foi de fidélité amoureuse et de musique… le narrateur, trente-cinq ans, disquaire et londonien nous raconte à la première personne ses états d'âmes et ses goûts musicaux.
La quatrième de couverture annonce « un roman hilarant »… Personnellement j'ai pleuré d'ennui !
Le début était pourtant plutôt original avec cinq courts récits autour des premières ruptures sentimentales de la vie du narrateur, depuis l'âge de douze ans jusqu'à une trentaine d'année. Ces souvenirs mettaient en évidences des souffrances et des humiliations stylisées et exacerbées ; c'était plutôt bien rythmé et prometteur. Les extraits de conversation de la fin étaient un peu dans le même esprit, sortes de morceaux choisis…
Et puis, le récit s'est englué dans une logorrhée répétitive, un discours d'éternel perdant, servi par une bande son qui a eu sur moi un effet « catalogue » plus que musical ; ma culture pop a eu un peu de mal à suivre et, surtout, je n'ai pas toujours saisi le bien fondé de cet étalage, souvent sous forme de listes. Et j'ai ressenti la même chose pour les références cinématographiques ou littéraires, malgré mon intérêt pour tout ce qui touche à l'intertextualité.
Parfois, j'ai pu relever quelques belles trouvailles, des formules (« je me sens comme une glace cuite ») et des situations intéressantes mais trop vite engluées dans l'ensemble du récit : une certaine lucidité, une autodérision évidente, des contradictions savoureuses, des clichés revisités, des petits sketchs (la femme de Wood Green qui veut brader la collection de disques de son mari infidèle, ou encore la discussion sur le sens du mot « encore », par exemple), des moments où le narrateur interpelle le lecteur (« alors, le sale connard, c'est qui ? »)… le dénouement n'est pas surprenant, annoncé depuis la fin du premier tiers du roman à peu de choses près (« donc, on a une chance de se retrouver ensemble »).
À mon corps défendant, j'ai développé une certaine antipathie pour ce héros qui a peur de vivre sa vie.

Ce roman de Nick Hornby a vraiment été une lecture laborieuse pour moi. Ce défi littéraire s'annonce mal mais je vais persévérer en espérant que les autres livres que j'ai sélectionnés vont davantage me plaire et me toucher.
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