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EAN : 9782367340623
Au Vent des Iles (01/02/2014)
4.1/5   10 notes
Résumé :
La femme de Parihaka, c’est d’abord l’histoire d’un grand amour qui nous fait traverser la Nouvelle-Zélande à la fin du 19e siècle. Mais quand les amoureux sont maoris et résistent contre la spoliation de leurs terres, le romantisme se teinte de politique. Et quand l’héroïne doit tout transcender pour retrouver son homme, elle devient un de ces formidables personnages de la littérature, inoubliable, plus grand que nature. Avec un prof d’histoire à la retraite, point... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (7) Voir plus Ajouter une critique
Une référence éditoriale !
C'est en voulant faire « une longue nouvelle, Erenora » que l'auteur Witi Ihimaera a poursuivi son travail d'écriture (époustouflant), jusqu'à « La femme de Parihata » qui oscille entre la biographie, la fiction et l'Histoire de cette terre la Nouvelle-Zélande.
Ce roman est empreint de musique et plus particulièrement d'opéra. À savoir, « Fidelio » de Beethoven. Erenora étant « la translittération » de Léonore.
Tout le livre est ainsi. le perfectionnisme exaltant. Comprendre que cette lecture est habitée par une plume immense et une traduction brillante de l'anglais (Nouvelle-Zélande) par Mireille Vignol. D'un homme, pétri d'amour pour Parihaka. Lorsqu'il lit le journal de son aïeule « Erenora » qu'elle a écrit au XIXe, le récit prend place. le chef-d'oeuvre vient de naître.
Le peuple du Taranaki est la sève de ce roman d'une richesse immense. Parihaka, localité de cette province dans le comté d'Egmont. Plus qu'une montagne, Taranaki est l'âme d'un peuple, les Maoris massacrés par les Pakena (les blancs, les colonisateurs ).
Erenora transcrit la mémoire des siens. Waera était un village paisible, avec ses habitus, ses croyances. L'autarcie comme la mer le matin pâle. Les enfants insouciants et fébriles de grandir. S'émanciper, tous pour un et un pour tous. Les hommes, des pêcheurs ou des cueilleurs, férus de croyances et de rites. Les femmes éprises de beauté et de sérénité.
En 1860, si près de nous encore, les Maoris qui défendent leur terre pacifiquement, inlassablement. Jusqu'au jour où les armes des Pakena ont tué, un à un les hommes aux yeux sombres, l'océan au bord des lèvres.
On écoute Erenora. On déambule entre l'épistolaire et le récit de Witi Ihimaera.
« Erenora frissonnait, pas à cause de l'éclipse soudaine du jour, mais parce qu'elle savait que son destin était sur le point de changer ».
« Quel est notre kaupapa ? S'interrogeaient-ils. Quel est notre dessein ? C'est de protéger notre terre et notre peuple et de préserver nos coutumes pour les générations futures ».
Les géomètres comme des vautours. Avancer d'un pas, puis d'un autre. Les barbelés comme des frontières. Briser les ailes des Maoris. Mais la résistance est à hauteur des Maoris. La malice et la ténacité face aux armes. Jusqu'au jour où tous les Maoris seront emprisonnés. Même l'emblématique mari d'Erenora : Horitana. Il sera le bouc émissaire, celui qui sera exilé. Torturé et jeté en pâture dans une grotte sur une île lointaine. Celui qui est désigné comme ennemi par le pire des colonisateurs. Erenora n'aura de cesse de le chercher. Deux ans de quête, de marche et de bravoure. Couper ses longs cheveux noirs. Devenir un homme, pour se glisser plus habilement entre les mailles des pièges tendus. Retrouver son amour, l'homme-symbole. Elle, qui collecte la parole des siens pour l'infini.
Horitana, presque aveugle et pour cause, qui rejoindra avec Erenora le Taranaki en 1884.
Le roman est un outil de mémoire. Un kaléidoscope, celui d'un peuple meurtri par les guerres anglaises et plus encore. Une extermination presque silencieuse et consentie.
L'épopée est une chevelure longue et tissée. Soyeuse et résistante, sublime et touchante, elle en devient prodigieuse.
Ici, s'élève l'écriture mémorielle. L'Histoire véritable et la romance qui redore le journal d'Erenora.
Prenez soin de l'épilogue et des notes de chapitres. Vous comprendrez alors combien ce livre est essentiel et érudit.  « La proie des milans et des corbeaux » de G.W. Rusden. Et « l'intention tout comme dans l'interpolation de l'aria de « Samson et Dalila », est de comparer les Maoris aux enfants d'Israël, opprimés par les Pakena (les Égyptiens)... ».
Ce livre est terriblement humain. La pulsion inouïe de la littérature. Grandiose, tragique, un adage : celui de Tariana Turia lors de la seconde lecture du décret sur les revendications foncières Ngati Tama.
« Ceux qui ont ployé sous le vent ».
Magistral, poignant, un entrelacs inoubliable. « Va, pensée »...Le coeur des esclaves hébreux dans Nabucco de Giuseppe Verdi. Ce livre est incontournable, tant l'héroïne décrite en quatrième de couverture comme shakespearienne est la preuve des résistances et des tragédies. Publié par les majeures Éditions Au vent des îles.
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C'est à un voyage en Nouvelle-Zélande que je vous convie aujourd'hui, grâce à ce roman gracieusement offert par les Éditions Au vent des îles.

De la Nouvelle-Zélande, je connaissais les lieux de tournage du Seigneur des anneaux (je rêve d'ailleurs depuis des années d'y aller juste pour cette raison...), le haka des All Black (ma connaissance du rugby ne va pas plus loin ;) ) et le kiwi. Ça fait très cliché, je sais... Ah non! Je savais aussi que son nom maori signifie "le pays du long nuage blanc", appellation qui m'a tout de suite fait rêver. Mais j'admets que mes connaissances se limitaient plus ou moins à cela, ce qui est très peu. J'ai donc sauté à pieds joints sur l'offre qui m'était faite d'en découvrir davantage.

Erenora se sent chez elle à Parihaka, paisible campement de la région de Taranaki. Mais lorsque son monde est menacé par la guerre qui oppose les tribus maories aux forces coloniales britanniques, elle doit trouver le courage et l'ingéniosité de protéger ceux qu'elle aime.

Ma lecture fut, dans un premier temps du moins, assez ardue. Pour plusieurs raisons.
Le vocabulaire maori dont est parsemé le roman, tout d'abord, nécessitant à plusieurs reprises un recours au lexique proposé en début d'ouvrage. Tous les termes n'y figurent d'ailleurs pas, mais leur sens est clairement identifiable grâce au contexte; la lecture en est simplement un peu ralentie.
La structure du récit a également constitué un frein momentané. En effet, le récit du narrateur (professeur à la retraite) alterne avec des extraits du journal de son aïeule Erenora, ainsi que de courts extraits historiques. La fiction, l'histoire, la politique se mêlent ainsi au fil des pages, ce qui demande d'une part un moment d'adaptation, et d'autre part un minimum d'attention si on veut éviter de se perdre sur le plan historique.

Nous suivons donc la vie d'Erenora, jeune maorie confrontée, durant les années 1870/80, à la colonisation de la Nouvelle-Zélande par les Anglais, alors que les tribus maories se voient spoliées de leurs terres. Une de ces tribus fonde une nouvelle communauté au pied d'une montagne appelée Taranaki et, afin de défendre leurs terres, ses chefs professent une résistance passive face à l'occupation anglaise. Mais le gouvernement colonial, bien décidé à s'imposer et à faire main basse sur tout le territoire, procède, outre des frappes pas vraiment chirurgicales, à des arrestations et emprisonnements arbitraires en grand nombre, décimant les villages maoris. Erenora, dotée d'un très fort caractère, prend alors la route, à travers les deux îles de la Nouvelle-Zélande, afin de retrouver la trace de son mari emprisonné.

Comme je le disais, Witi Ihimaera nous conte ces événements à la lumière -historique- des grands mouvements de contestations maoris, ce qui nous permet d'apprendre énormément de choses sur cette période troublée. Il y insère en outre des références à d'autres oeuvres, telles que L'homme au masque de fer, jetant ainsi des ponts avec notre culture occidentale.
C'est donc un roman très riche, très travaillé et fouillé, et par là très intéressant. J'ai personnellement eu du mal à y entrer, notamment parce que le début est très historique, et que j'étais perdue au milieu des chefs maoris aux noms -pour moi- imprononçables, menant batailles dans des lieux aux noms tout aussi imprononçables. Mais ceci est le point de vue personnel d'une lectrice dont l'histoire non-européenne et les langues étrangères ne sont pas vraiment le point fort. le récit m'a semblé devenir par la suite plus linéaire, à moins que je ne me sois habituée aux paragraphes historico-politiques, et à partir de là ma lecture fut nettement plus aisée et donc plus agréable. J'ai alors pu m'attacher davantage à ce sacré bout de femme qu'est Erenora, malgré les différences culturelles nous séparant.

En conclusion, j'ai trouvé ce roman très intéressant, me permettant de découvrir tout un pan de l'histoire de la Nouvelle-Zélande et de sa population, même si un aspect plus exclusivement romancé m'aurait sans doute davantage séduite, en facilitant ma lecture.
Lien : http://margueritelit.canalbl..
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Avec La femme de Parihaka, son douzième roman, l'auteur néo-zélandais Witi Ihimaera offre une quête romanesque émouvante où la fiction se fond à la douloureuse histoire coloniale du "pays du long nuage blanc" au XIXe siècle, alors que les terres maories sont violemment spoliées par les colons et les troupes anglaises, au pied de l'imposante montagne Taranaki dans l'île du Nord. Quand l'histoire d'un peuple se confond avec la quête à peine romancée d'un couple prêt à tout transcender pour se retrouver — par-delà les affrontements et les rébellions ; contre vents, neiges et marées —, le talent littéraire de Witi Ihimaera se révèle sous un angle d'autant plus personnel qu'il en devient intime et glorifie ainsi l'Amour d'un peuple envers ses terres et celui d'un couple à la destinée hors du commun. le tout à la frontière entre mythes et traditions, à une époque troublée…

C'est ainsi qu'Erenora, jeune orpheline suite au pilonnage de son village en 1881 par les Pakeha (tant militaires que colons), occupe désormais une place de meneuse au sein de la communauté maorie insoumise établie à Parihaka, au pied de la "montagne qui brille", le Taranaki. Alors que les spoliations de terres maories par les Pakehas sont toujours plus virulentes, Horitana, lui aussi orphelin, rejoint les insurgés et s'illustre au combat auprès du grand guerrier Titokowaru, jusqu'au jour où sa tête est mise à prix… Après maints combats et démonstrations de bravoure, ce fin stratège finit pourtant prisonnier d'un bourreau perfide et d'un geôlier sans scrupule, à une époque où arrestations et emprisonnements abusifs sont monnaie courante. Pourtant, Erenora ne renonce à rien pour le retrouver, bravant les dangers et parcourant pendant deux ans le territoire du nord au sud, des sommets enneigés jusqu'aux îles les plus isolées. Une véritable ode "à la nature insatiable de l'amour et à l'invincibilité de l'esprit humain, incarnées par Erenora", confie l'auteur.

L'écrivain signe ici une épopée des plus singulières, où les protagonistes principaux sont en fait ses propres ancêtres. le récit est ponctué d'évènements bel et bien ancrés dans l'histoire coloniale de la Nouvelle-Zélande (tant politique et militaire que religieuse), le tout entremêlé de chassé-croisé avec le présent. Et pour cause, à 80 ans passés, Erenora consigna son histoire dans un manuscrit inédit, rédigé en maori et traduit par Witi Ihimaera. Ce manuscrit est précieusement conservé "dans les archives de l'église anglicane du Collège théologique St John d'Auckland" . À travers le témoignage d'Erenora, c'est bien un message universel et intergénérationnel que délivre cette épopée tirée de faits réels.
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Parihaka, situé à l'autre bout du monde, symbole de résistance non-violente pour les Maoris, bien avant Gandhi, est un village fondé par deux leaders religieux pour résister à la pression foncière exercée par les colons anglais, soutenus par le gouvernement. L'auteur retrace l'histoire de cette communauté à travers l'itinéraire de Eorana, orpheline maori, recueillie toute jeune par les habitants de Parikaha. Par amour, elle traverse toute la Nouvelle-Zélande à la recherche de son mari, arrêté avec des centaines d'autres, à la suite des démonstrations pacifiques organisées par les deux prophètes maoris contre l'empiètement des colons. L'auteur s'inspire des grandes tragédies classiques, Fidelio, le Masque de Fer et la Bible, pour insuffler force et ampleur à son épopée. Quelques citations historiques et des phrases en maori ponctuent adroitement le récit pour donner du poids aux évènements tragiques vécus par les habitants de Parihaka. « Pleurez pour l'âme du peuple maori, pleurez. La lumière est masquée par les ombres, plus ténébreuses que la plus sombre des nuits ».
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Un pan de l'histoire des maoris, de la colonisation en Nouvelle-Zélande, dans un roman épique et musical. Witi Ihimaera alterne deux récits, celle du récitant-écrivain et celle de d'Erenora, cette femme de Parihaka qui refuse de plier et d'abandonner celui qu'elle aime, disparu-emprisonné par les Pakeha, ces blancs colonisateurs.

L'auteur déploie sa narration, remodelant des mythes littéraires et musicaux, Eleonore et Florestan du Fidelio de Ludwig van Beethoven, l'homme au masque de fer, mokomokoi…

Taranaki. « Naturellement, Taranaki est bien plus qu'une montagne. C'est un tipuna, un ancêtre, né dans un passé mythique. A l'époque où les montagnes étaient capables de se déplacer, Taranaki avait essuyé une déception amoureuse avec Pihanga, un autre volcan, et s'était éloigné à l'ouest pour s'en remettre ; le fleuve Whanganui coule aujourd'hui dans le profond canal creusé par le trajet du Taranaki ».

Contrairement aux inventions européennes, les colonisateurs durent affronter souvent à des rebellions armées. Et les futurs colonisés surent déployer une science militaire qui leur permit de vaincre momentanément l'envahisseur. Ici le génie militaire fut Titokowaru.

« Erenora avait senti l'ombre de l'étranger sur la lumière de son chemin ». Erenora et Horitana. « Et maintenant, laisse-moi natter et tisser les brins de chanvre de notre désir pour unir nos coeurs et resserrer le tukutuku pour que jamais il ne puisse se briser ».

Quête de l'autre aimé, révolte et insoumission contre l'injustice, des femmes et des hommes vivent sans renoncer. Récit et humour, comme cette narration de la saga des clotures ;

Une histoire, des histoires. « C'est le problème avec l'histoire. On croit qu'il n'y a qu'une seule version, mais la plupart du temps, il en existe trois, quatre ou plus emmêlées et noués comme les brins d'une corde ».

Violence, autodéfense, viols, déportations…

Erenora devient Eruera et prends le chemin avec ses soeurs. Retrouver les maris. Trois soeurs sur les routes. Plein sud, toujours plein sud.

Le rédacteur interroge son écriture, sa relation avec les personnages. « Est-ce que je dois traiter Erenora et son récit comme si elle était simplement une personne qui traversait l'histoire ? Comme si l'histoire même était un livre ? C'est impossible ! L'histoire est un paysage vivant et Erenora a existé pour de vrai ».

Une histoire aussi du bout du monde. Rocco, Marzelline, la langue allemande, le phare, la grotte…

Un récit enrichi d'autres récits. Surgissement des temps anciens, des rencontres…

Ouvrez cet ouvrage et vous plongerez dans un univers littéraire d'aventures. Romantisme et politique. Un auteur nous/vous entraîne au pays de la femme de Parihaka. Un livre difficile à lâcher. Une puissante écriture, un univers romanesque émouvant. Et une femme…
Lien : https://entreleslignesentrel..
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Citations et extraits (10) Voir plus Ajouter une citation
Taare Waitara prononça l'éloge funèbre : "Que ce soit bien clair dans l'esprit de tous les Maoris, Pakeha et membres d'autres nations. La plume blanche est signe d'harmonie pour toutes les nations du monde ; les noirs, les rouges et tous les autres qui répondent au nom d'êtres humains. Cette plume sera le signe de l'unité, de la prospérité, de la paix et de la bonne volonté."
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C’est le problème avec l’histoire. On croit qu’il n’y a qu’une seule version, mais la plupart du temps, il en existe trois, quatre ou plus emmêlées et noués comme les brins d’une corde
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Naturellement, Taranaki est bien plus qu’une montagne. C’est un tipuna, un ancêtre, né dans un passé mythique. A l’époque où les montagnes étaient capables de se déplacer, Taranaki avait essuyé une déception amoureuse avec Pihanga, un autre volcan, et s’était éloigné à l’ouest pour s’en remettre ; le fleuve Whanganui coule aujourd’hui dans le profond canal creusé par le trajet du Taranaki
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Naturellement, Taranaki est bien plus qu’une montagne. C’est un tipuna, un ancêtre, né dans un passé mythique. A l’époque où les montagnes étaient capables de se déplacer, Taranaki avait essuyé une déception amoureuse avec Pihanga, un autre volcan, et s’était éloigné à l’ouest pour s’en remettre ; le fleuve Whanganui coule aujourd’hui dans le profond canal creusé par le trajet du Taranaki.
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Pleurez pour l'âme du peuple maori, pleurez. La lumière est masquée par les ombres, plus ténébreuses que la plus sombre des nuits.
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Video de Witi Ihimaera (1) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Witi Ihimaera
À l'occasion de leur venue à la librairie Dialogues pour une rencontre autour de leur livre, "Escale en Polynésie" publié aux éditions Au vent des îles, Titouan et Zoé Lamazou nous ont confié plusieurs conseils de lecture !
La femme de Parihaka de Witi Ihimaera : hhttps://www.librairiedialogues.fr/livre/6737338-la-femme-de-parihaka-witi-ihimaera-au-vent-des-iles le baiser de la mangue d'Albert Wendt : https://www.librairiedialogues.fr/livre/702160-le-baiser-de-la-mangue-albert-wendt-au-vent-des-iles Diadorim de Doão Guimarães Rosa : https://www.librairiedialogues.fr/livre/999016-diadorim-joao-guimaraes-rosa-editions-10-18 Pina de Titaua Peu : https://www.librairiedialogues.fr/livre/20130193-pina-titaua-peu-au-vent-des-iles Au temps des requins et des sauveurs de Kawai Strong Washburn : https://www.librairiedialogues.fr/livre/18956184-au-temps-des-requins-et-des-sauveurs-roman-kawai-strong-washburn-gallimard Manières d'être vivant de Baptiste Morizot : https://www.librairiedialogues.fr/livre/16090590-mondes-sauvages-actes-sud-manieres-d-etre-vi--baptiste-morizot-actes-sud Calanques, Les entrevues de l'Aiglet de Karin Huet : https://www.librairiedialogues.fr/livre/16651719-calanques-les-entrevues-de-l-aigle-karin-huet-parc-national-des-calanques-glenat-livres
Belles découvertes !
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