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Après avoir lu le 4e tome pour une masse critique j'ai eu envie de découvrir les tomes antérieurs malgré mon avis mitigé et j'ai déniché le 2e tome. Malheureusement les défauts restent les mêmes. Si l'ambiance des années folles est retranscrite de manière incroyable (l'argot, les expressions, l'atmosphère de la ville) l'enquête manque d'un réel squelette solide et part dans tous les sens, avec une résolution décevante. le tout formé un ensemble très brouillon qui fatigue à la lecture par cette impression de frénésie sans but.
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Je ne suis pas une spécialiste des années folles mais c'est une période que j'aime bien. Couplée à l'intrigue ce roman me semblait parfait.
Côté description et vie durant ces années je n'ai pas été déçue mais côté intrigue c'est l'inverse. J'ai trouvé que c'était décousu et au final tiré par les cheveux.
C'est dommage car on plonge bien dans l'univers parisien où se côtoient "joyeusement" l'aristocratie, le monde du spectacle et les moins riches avec les nouveautés que sont le cinéma et le jazz.
Peut-être qu'à l'occasion je lirai une nouvelle aventure de Jeremy mais ce sera plus pour l'ambiance que pour le polar.
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Alembique
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Cette suite de la série débutée avec le pas du renard entraîne notre jeune héros pianiste Jeremy et le jeune Sammy (dont le personnage prend de l'ampleur) dans une nouvelle affaire de meurtres en série, compliquée à souhait.
Si l'on prend toujours autant de plaisir à lire les descriptions pittoresques du Paris des années 20, on peine à suivre l'intrigue qui fourmille de personnages, tous suspects potentiels. Il m'est fréquemment arrivé de débuter un chapitre avec un personnage déjà entrevu 4 ou 5 chapitres avant mais qu'il m'était difficile de resituer, m'obligeant à feuilleter le livre en arrière pour retrouver le passage concerné et donc l'identité du personnage.

Plus agréable à suivre est la quête familiale de Jeremy, quête qui s'accélère brusquement dans ce tome et y trouve son dénouement, nous procurant la double satisfaction de pouvoir compléter son arbre généalogique et de faire le pont avec la série des libraires de la rue des Saints-Pères.
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Où l'on retrouve avec plaisir le nouvel héros des soeurs Liliane et Laurence, écrivant à quatre mains sous le pseudonyme de Claude Izner : Jeremy Nelson, jeune pianiste de jazz arrivé de New York à la recherche de ses racines familiales européennes.
Il commence par Londres et, oh ! surprise, voici que nous retrouvons aussi la famille des libraires de la série des enquêtes de Victor Legris mais avec vingt années de plus : Victor, Kenji Mori, Tasha Kherson ….
Nous voici à l'automne 1921. Jeremy court le cachet comme pianiste dans les restaurants et cafés-concerts où se trémoussent les rescapés de la Grande Guerre, les peintres de Montmartre et de Montparnasse, les dadaïstes, les nouveaux-riches. de la rue Bergère au carrefour Vavin, des petits logements miteux où on s'héberge quand on est dans la mouise aux appartements cossus les vedettes, Paris se parcourt aisément en métro.
Comme toujours, des personnages foisonnants : un vendeur de faux-cols en celluloïd collectionneur de cartes postales reproduisant les tableaux de maîtres, un cordonnier, un jeune fou de cinéma qui joue les détectives occasionnels, et des artistes de music-hall pas très nets. La solidarité sans faille de la communauté juive venue d'Ukraine, leur travail acharné, des références musicales et littéraires sans doute difficiles à décoder pour les plus jeunes lecteurs, la référence constante à l'actualité de l'époque comme l'affaire Landru … les amateurs de la série des Victor Legris ne seront pas dépaysés, mais ce n'est pas le meilleur opus de la collection.
L'intrigue policière – un mystérieux tueur en série qui, tel Arsène Lupin, dépose une carte postale de la belle Simonetta Vespucci auprès de ses victimes – est totalement invraisemblable et dénuée de tout détective, hormis le jeune et sympathique héros Jérémy. La chute m'est apparue cousue de fil blanc. Mais qu'importe, l'important c'est le cadre du Paris des années folles et la verve de l'auteur … Et donc, j'ai déjà précommandé le prochain épisode à paraître dans quelques semaines.
Lien : http://www.bigmammy.fr/archi..
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Je me suis retrouvée dans le Paris des années 20 comme je l'avais souhaité en choisissant ce livre.
Un roman policier dont l'intrigue m'a parfois égaré mais dont j'avais tout de même très envie de connaître la fin.
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On retrouve Nelson et d'autres protagonistes du premier opus dans de nouvelles aventures dans le Paris d'après guerre (la première) avec en toile de fond le monde du spectacle qu'il soit du théâtre, cinéma, musique ou cirque. Beaucoup de tours et de détours qui alourdissent la trame et parfois on s'y perd.
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- Polar mal ficelé assez ennuyeux, dont la seule raison d'être est de brosser un tableau de l'époque ce qu'il fait de manière poussive. Emmêlé dans une intrigue où les morts se succèdent sur fond de carte postale de Botticelli, le personnage manque de consistance. La narration est mal maîtrisée, on se perd à moins que ce soient les auteurs qui se soient perdus dans l'opacité des situations. - -
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Signé Renaissance

Le prologue se déroule pendant la Renaissance à Florence, période faste de l'art italien. Un peintre réalise le portrait de Simonetta, une femme déjà morte avant la réalisation du tableau. Puis nous rejoignons l'année 1921. Jérémy Nelson, pianiste de profession, est à Londres pour intégrer un jazz band mais cela ne se fait pas. Il se rend ensuite dans une librairie de Charing Cross Road afin de rencontrer le libraire auprès de qui il cherche des informations sur son père mais la boutique est fermée. Puis on le suit de retour à Paris où il réside. On se trouve ainsi dans l'ambiance du Paris de l'immédiat après-guerre, du début des années 20. Lors du remplacement d'un « collègue » pianiste, on transmet à Jérémy un portrait de dame du style de la Renaissance florentine (Simonetta Vespucci) représentée avec un serpent. Cette carte commence à le hanter. Il retrouve ensuite son ami et collègue mort d'une crise cardiaque. Mais il a des doutes sur les causes réelles de cette mort accidentelle.
On découvre au fur et à mesure du roman les personnages et les éléments de l'intrigue en suivant le protagoniste dans son enquête.
Ce roman est le fruit d'un duo de soeurs, toutes deux en lien avec le monde du spectacle, de l'art et des livres. Il s'agit du deuxième opus de leur nouvelle série de romans dans le Paris des années folles, il s'agit donc de la suite du Pas du Renard.
J'ai trouvé plutôt divertissante la lecture de ce roman situé au coeur de Paris mais faisant apparaître la Florence de la Renaissance et mêlant différentes sortes d'art : la musique, la peinture et les arts du spectacle et des représentations. Même s'il ne laisse pas un souvenir impérissable, j'ai passé un bon moment de lecture.
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Je n'ai pas tellement apprécié ce titre, mettant en scène Victor Legris vieilli – et tous les autres personnages des premières enquêtes aussi. Je trouve qu'il n'a pas très bien vieilli, justement, même si je comprends que les fans soient heureux de le retrouver. Moi aussi, je l'aurai apprécié, s'il avait eu l'esprit moins tordu. Je n'en dirai pas plus, pas même sur le dénouement, parce que je ne veux pas gâcher le plaisir de lecture à ceux qui le découvriraient (comment ça, c'est déjà presque fait ?).
Pour l'enquête, qui, finalement, est presque secondaire, je dirai qu'elle m'a rappelé les précédentes enquêtes de Victor Legris, comme le petit homme de l'Opéra, sans que rien ne retienne vraiment mon attention. Il est question de music-hall, de ses coulisses, de ses artistes qui percent difficilement et de ses producteurs qui ont déjà la dent très dure. Il est question de peinture, de Renaissance italienne sans que cette thématique me semble suffisamment exploitée. Il est question, aussi, de la première guerre mondiale, et des conséquences sur le destin de certains personnages. Sur ce thème, j'ai largement préféré les romans de Guillaume Prévost tel La valse des gueules cassées ou le quadrille des maudits.
J'ai presque oublié de parler de Jeremy Nelson, pianiste de son état, courant le cachet comme beaucoup dans son cas et qui enquête de son mieux, entouré par quelques personnages tout aussi bigarrés que ceux qui côtoyaient en leur temps la librairie de Kenji, Victor et Joseph. Finalement, Sammy, son ami et quasi-auxiliaire attitré, a plus de personnalité et est plus attachant que lui – mais cela n'engage que moi.

La femme au serpent, un roman à réserver aux fans.
Lien : https://deslivresetsharon.wo..
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