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Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Jim Qwilleran s'habitue à cette nouvelle situation d'homme très riche, en compagnie de ses deux chats et de sa charmante gouvernante.

Le fil conducteur de ce titre est l'attente de la grande tempête. Chaque chapitre s'ouvre sur des prévisions météorologiques pas forcément fiables allant dans ce sens. La tempête se fait attendre, mais pas la mort…toujours au rendez-vous dans ces livres qui paraissent pourtant si légers.
Une mort par accident (hum !), deux incendies, une veuve pas très éplorée, deux morts par élan (véridique !) , Qwill est là pour résoudre le mystère !
Il prend les choses en main, fait appel à ses connaissances du pays d'en Bas, mais on ne peut rien contre certains esprits étroits.
Dans ce titre, pas de véritable enquête, seulement une moustache qui frémit, et une interprétation par Qwill des actes de Koko. Ceux-là sont un peu tirés par les cheveux, encore plus que d'habitude. Comment Koko, aussi intelligent fut-il, peut-il connaitre le contenu de l'oeuvre complète de Shakespeare, et faire le lien avec les événements qui se produisent dans cette histoire ?

Malgré ces quelques incohérences, c'est une série qui est pour moi reposante entre mes livres bien plus sérieux, et je profite donc de l'été pour mettre à jour les critiques de tous les titres de Lilian Jackon Braun, qui n'est malheureusement plus là pour nous régaler de ces chats qui… n'en loupent pas une.
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Dans cet opus, il n'y a pas d'enquête proprement dite. Qwil prend ses marques dans sa nouvelle vie à la campagne et les chats dans leurs nouveaux territoires. Petit à petit une intrigue se forme et se dénoue simplement au fil des pages, sans grandes investigations.
J'ai apprécié ce tome. Il change un peu des autres et de plus on apprend à connaître Qwil en tant qu'homme, le côté journaliste d'investigation est un peu mis de côté. de plus, les autres personnages sont aussi plus présent, l'histoire ne tourne pas uniquelent autour de Qwil et de Koko. Malheureusement je trouve que Yom Yom est un peu oubliée, j'espère qu'elle aura un jour un rôle un peu plus important que celui, assez effacé, qu'elle joue pour le moment dans les histoires.
Lien : http://jenta3.blogs.dhnet.be..
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Cette nouvelle enquête de Qwilleran et de son chat Koko (ou de Koko et de son humain Qwilleran) débute en plein mois de novembre, alors que la radio locale n'en finit pas d'annoncer en vain la première chute de neige qui doit isoler la ville de Pickax du reste du monde pour de longs mois. Qwilleran s'est installé dans la petite ville à 600 kms au nord de partout depuis un an et demi et s'habitue lentement à sa nouvelle existence de millionnaire oisif. C'est dans ce contexte que Senior Goodwinter, propriétaire du journal local, le Pickax Picayune, trouve la mort dans des circonstances apparemment banales : un accident de voiture sur un vieux pont de bois. Mais des détails troublants, des frémissements dans la moustache et l'obstination de Koko à vérifier les lois de la gravité sur de vieux volumes de Shakespeare vont peu à peu inciter Qwilleran à se poser des questions : est-ce vraiment un accident ? pourquoi les locaux du journal sont-ils partis en fumée si peu de temps après la mort de leur propriétaire ? pourquoi la veuve met-elle tant de hâte et d'indélicatesse à vendre ce qui appartenait à son défunt mari ? qui est cet étranger qui rôde dans le pays ? qu'y aura-t-il dans les sandwiches servis à la vente aux enchères ?

La série des le chat qui... n'est certainement pas écrite pour ceux qui aiment les enquêtes menées tambour battant, le suspens insoutenable et les énigmes tordues. Dans le chat qui connaissait Shakespeare, il n'y a même pas de crime avéré pendant une bonne partie de l'histoire. Par contre, ceux qui aiment l'univers feutré de Lilian Jackson Braun auront plaisir à retrouver la nonchalance de Qwilleran, l'intelligence caractérielle de Koko et tous les personnages secondaires si bien caractérisés qui donnent tout leur sel à ces histoires. le chat qui connaissait Shakespeare nous offre une enquête certes lente mais pas si facile à démêler et pleine d'imprévus. de plus, cette nouvelle histoire se déroule à un moment plutôt charnière de la série puisque Qwilleran, installé depuis peu à Pickax, commence à peine à y faire sa place. Il commence à fréquenter Polly Duncan, la bibliothécaire et à faire venir petit à petit quelques-uns de ses amis du Pays d'En-Bas auprès de lui. On en apprend aussi un peu plus sur l'incontournable famille Goodwinter dont le dernier rejeton, Junior, est un personnage récurrent des tomes suivants.
J'ai toujours plaisir à retrouver le style si caractéristique de Lilian Jackson Braun, fait de discussions bizarres, d'ironie, de petits détails charmants. Comme à chaque fois, la traduction française me laisse un sentiment de frustration avec l'impression de ne pas saisir toutes les subtilités et de buter parfois sur des formulations qui ne passent pas toutes seules en français. C'est mon seul regret car, pour le reste, c'est toujours un plaisir de lire un petit le chat qui... de temps à autre...

En résumé : Une enquête bien léchée, qui avance à pattes de velours et prend place à un moment-clé de l'histoire de Qwilleran à Pickax.
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J'ai apprécié retrouver Jim et ses deux compagnons félins. Koko a une sacrée personnalité et un certain don pour révéler que quelque chose ne va pas.

Comme dans le chat qui avait un don, tout se déroule avec une certaine lenteur et il n'y a pas vraiment d'enquête. Il menace de neiger pendant presque tout le roman et puis les révélations tombent comme des flocons de neige.

Un moment de lecture agréable, grâce à son ambiance sympathique.
Lien : http://www.lelivroblog.fr/ar..
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Il faut savoir miauler à temps !

Très rapidement, Jim Qwilleran se rend compte que son véritable travail consiste à contrebalancer celui d'un féroce critique d'art, attaché au même journal et détesté de tout le monde. Il possède aussi un chat siamois aristocratique, Kao K'o Kung - Koko pour Qwilleran - qui apprécie les vieux maîtres et sait lire les manchettes de journaux.

Le chat qui lisait à l'envers
Le chat qui flairait l'embrouille
Le chat qui avait un don

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