Dragueur est une référence ! L'ennui c'est qu'il s'agit d'une référence dans l'art de tromper et de se moquer de son monde.
Voilà un bel exemple de « littérature commerciale » : écrire (pour être gentil) dans un domaine qui fait vendre (les relations hommes-femmes), en brassant du vent sous couvert d'apporter du neuf, tout en jouissant d'une certaine publicité. Voir un éditeur publier à si vil prix (près de 19€) quelques deux cents pages avec si peu de texte, mérite que l'on se penche sur ce petit phénomène pour en comprendre la possibilité en ces temps si difficiles.
Vous l'aurez compris, il s'agit du seul intérêt de se livre. Si l'humour au second degré ne vous tente pas, passez votre chemin car vous n'apprendrez rien ici. Dans les faits,
Karine Jaillardon se permet de radoter en compilant généralités et principes fumeux sans étoffer son argumentaire ni l'illustrer. le meilleur argument d'autorité déployé, restera un petit commentaire de Maryline Monroe élevé au rang de principe!
A défaut de texte (quelques lignes par pages) tout cela est vite lu. La première partie n'en demeure pas longue, la seconde (dite la plus importante) n'apporte rien et les annexes sont pour le moins superfétatoires. La bonne humeur et les traits d'humour ne sauveront donc pas ce machin.