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120 petites pages et une histoire banale. 120 grandes pages et une histoire qui marque l'esprit.

Court récit sur la maltraitance psychologique qui peut faire le quotidien d'un couple, « La maison » n'est pas anodin dans son traitement. Plutôt que d'en faire des caisses, Nicolas Jaillet a décidé de faire sobre, d'éviter tout ornement artificiel, parfois jusqu'à l'épure.

Qu'on ne s'y trompe pas, c'est un exercice difficile, chaque mot est pesé, réfléchi, rien n'est de trop, tout est là, suggéré.

Cette histoire de fuite du foyer conjugal, par son traitement et grâce à la plume de l'auteur, touche au coeur et aux tripes. le malaise est latent et pourtant patent, les choses sont insinuées, presque aucune scène n'est frontalement violente. Oui, mais le malaise est là, bien là.


Jaillet a eu la très bonne idée de prendre comme narrateur le fils du couple qui, comme souvent, n'a rien vu, imagine et extrapole.

Un petit livre qui prouve qu'il n'est pas besoin de s'étaler pour nous plonger dans un drame psychologique, quand on a du talent comme Jaillet.

La preuve ultime de cette réussite ? Une préface dithyrambique de Marcus Malte qui pose de belles bases à la lecture qui suivra (ça tombe bien, on est, avec ce récit, assez proche de l'époustouflant « Cannisses » du même Malte).
Lien : http://gruznamur.wordpress.c..
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Un court roman mais d'une puissance incroyable, un thriller psychologique qui vous attrape et vous enferme dans ce huis-clos à l'ambiance pesante où la souffrance est muette comme toutes ces femmes qui vivent avec des tyrans, des gens qui n'ont pas d'humanité.
La maison, celle où vit Martine avec son époux et son jeune fils. Elle a épousé Jean, sans l'aimer, mais elle est enceinte de lui et à cette époque, c'est ce que l'on fait. Ils auraient pu vivre heureux malgré tout, seulement, Jean est un bourreau qui tyrannise Martine. Comme de nombreuses femmes, elle se tait, fait le dos rond et reste forte pour son fils. Sa seule liberté est un cagibi, la pièce à Martine, celle où l'on n'entre pas, mais dans laquelle, elle construit un avenir.
Nicolas Jaillet avec une plume très douce, nous décrit ce tableau, successions de scènes de vie d'une violence froide. Il nous fait réfléchir à ses femmes qui parfois peuvent être dans notre entourage et qui vivent une fois la porte fermée de leur logement un enfer que l'on n'imagine pas. Ce court roman, accompagné dans cette publication de Bragelonne de deux nouvelles, nous permet de découvrir à travers cette porte, le courage et la patience de Martine. Un roman qui vous marquera.

Lien : https://imaginoire.fr/2020/1..
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Voilà un roman court, mais qui est pourtant lourd de sens, de peur et de volonté.

On retrouve Martine le jour de son mariage, enceinte, et qui réalise qu'elle n'aime pas l'homme avec qui elle vivre le reste de sa vie. Cet homme ivre qui veut se battre aujourd'hui avec son « meilleur » ami. Ce soir là, lors de sa nuit de noces, elle se promet d'accomplir une chose ! Une seule quelque soit le temps que cela lui prendra.

Elle sait qu'il ne va pas forcer la porte. Il ne va pas crier. Ici, on ne crie pas. Tout se fait à mi-voix.
Martine se tait, et attend. Elle attendra jusqu'à ce que la voix de Jean s'éteigne, et au-delà. Pour se calmer, elle pense à son projet. Elle le peaufine. Elle s'endormira sans s'en apercevoir, la tête appuyée sur le mur.
Oh dans ce livre vous ne trouverez pas de sang, de passage hard ou encore d'angoisse à vous faire sursauter et pourtant il y a une violence sourde, puissante, lancinante. Elle s'immisce dans le quotidien, elle est psychologique essentiellement, mais par moment dépassent ces barrières pour casser et faire mal. Comment pouvoir la vivre? Comment la supporter ?

L'auteur reste pourtant simple dans ses choix de mots, rien de torturé pour rajouter à cette douleur, cette maltraitance. Non il n'en a pas besoin, ce n'est pas du voyeurisme ou un étalage morbide. Tout est épuré, limite froid et cela rend à ce texte un réalisme et une détermination, dans le personnage de Martine, incroyable. Une fuite maîtrisée qui pourtant vous prend aux tripes.

A la fin de ce roman, vous retrouvez deux nouvelles : La robe et La bague ..Dans la même lignée que La maison, tout est subjectif dans ces histoires. Beaucoup de questions restent en suspens..Mais comme entendu dans une pièce de théâtre vu dernièrement : « Certains cherchent à savoir, certains savent et d'autres ne veulent pas savoir » ..Ici également, laissez vous emporter par la magie des mots de Nicolas Jaillet.
Lien : https://lesciblesdunelectric..
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Parue pour la première fois en 2013 aux éditions Rue du départ, est réédité cette année dans la collection Milady Thriller, agrémenté de deux autres nouvelles.

Les femmes plus âgées, celles qui ont la bague au doigt, ont gardé leurs distances. Elles ne gémissent pas, elles. Elles savent."
Tout tourne autour de Martine, infirmière, Jean, professeur de gymnastique et leur fils, qui raconte ce dont il se souvient et ce qu'il imagine. Notamment le mariage de sa mère, jeune fille enceinte de deux mois, avec cet homme qui devient querelleur et violent quand il a bu.

Martine réalise très vite qu'elle fait une erreur qu'elle va payer cher, des êtres qui se trompe de chemin de vie...

Martine est une battante qui ne veut pas se contenter d'une vie médiocre, malgré une atmosphère familiale lourde. le narrateur, enfant vit le quotidien de ce couple tellement mal assorti.

Ce père "un homme normal qui, quand on le mettait en colère..." et une mère victime résignée...

Même le père et le fils n'arrivent pas à communiquer, tout est fait pour éviter le pire.

Le père tellement insatisfait, irritable devient violent.

L'enfant va peu à peu se mettre à épier ses parents à guetter les signes qui précèdent la crise.

La mère passe pour une drôle de personne, elle stock tout ce qu'elle peut récupérer dans "sa pièce" dont elle est la seule à détenir la clé.

C'est cette pièce qui aide la mère à ne pas sombrer dans une folie douce, elle accepte tout sans jamais se rebeller... Avec indifférence ... Je me suis demandée si c'était pour se protéger ou protéger son fils. Cette pièce résonne comme le coeur de cette maison. La joie de cette femme.

Finalement on ne laisse voir que ce que l'on a envie de laisser voir ! On est jamais réellement ce que l'on est.

La mère ne déroge pas à cette règle, jusqu'au 16ème anniversaire de son fils...

Tout est sous-jacent dans ce livre, la tension est palpable ainsi que les blessures intériorisées, la peur est très présente une bonne partie de cette histoire terrible. Tous est suggéré avec distance.

A chaque instant tout peut exploser et nous avec et pourtant on ne sombre pas, rien ne sombre...

Les détails sont tellement bien construits, que le lecteur se trouve enfermé, piégé dans cette maison, dans chaque pièce, derrière chaque fenêtre, nous sommes logés à la même enseigne que ces personnages !

La Robe :

Une construction magistrale de la déchéance d'une vie de couple qui se vit à travers une robe. La flamme dans un couple doit s'entretenir et quoi de mieux pour le faire que de mettre tous les ans cette magnifique robe de mariée portée le plus beau jour de sa vie ?

Au début, c'était un jeu. Une suite d'événements qui se passait de commentaire et qui les avait séduit par son évidence. Les années suivantes ils avaient reproduit à peu près les mêmes gestes. D'anniversaire en anniversaire, le jeu était devenu un rite. Un rendez-vous d'amoureux. Un test. Un bilan."

Comment réagirais - je face à l'homme que je pense être celui de ma vie, si je constatais peu à peu la perte de son amour ?

Je ferais tout pour le reconquérir... Cette robe dans laquelle je suis toujours aussi belle est un symbole de notre amour... Elle est un symbole d'union à la vie à la mort...

Nicolas Jaillet manie avec art les sentiments les plus nobles comme les plus vils ! L'être humain est magistralement beau dans sa haine, sa cruauté, son amour qui peut devenir possessif donc destructeur.

Il explore les tréfonds de l'être humain dans ce qu'il a de plus vil et de plus manipulateur. L'homme est une machine aux sentiments complexes et parfois tordus et Nicolas Jaillet le prouve avec des mots simples directs et sans fioritures.

La Bague :

Parfois au gré de nos balades notre esprit divague et se plaît à se créer une histoire. Notre esprit en pleine digression se penche sur ce que pourrait être une vie, une personne. Comment cette personne vit ce qu'elle aime, qui elle aime ? Mais soyons réalistes sauf si nous avons un don de divination on passe à côté de la vérité qui est souvent tout autre...

Sobres, bouleversantes, ces 3 histoires ont en commun l'être humain et ses faiblesses, l'être humain et sa force, mais surtout nous démontre que Nicolas Jaillet est un sublime auteur qui sait manier avec art et grand savoir l'homme dans tout ce qu'il a de merveilleux.

Gros coup de coeur !
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Un livre magique.Je m'explique : dès les premiers mots j'ai été happée par l'histoire et n'eus de cesse d'en connaître le déroulement et l'issu.
Non, il n'est pas question ici d'aventures extraordinaires mais du récit minutieux et sensible d'un huis clos familial - père, mère et fils - raconté par le fils, témoin impuissant, avec une précision quasi chirurgicale.
Le talent de Nicolas Jaillet est de témoigner des faits qu'il a vécus intimement et d'essayer de leur donner sens, de nous suggérer la violence du père, la souffrance de la mère sans jamais juger ni justifier les actions de l'un ou de l'autre.
Au fur et à mesure du récit l'atmosphère se densifie jusqu'à devenir oppressante. La maison se trouve en quelque sorte incarnée par le drame qui s'y est joué, elle est à la fois le symbole de l'enfermement et l'instrument de la délivrance. Lisez et vous me comprendrez !
L'histoire est construite pierre à pierre, pièce par pièce , mot après mot.
Un conseil : ne lisez la préface (très belle) qu'après avoir lu le livre.


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La réédition de la maison, de Nicolas Jaillet, chez Milady, a été agrémentée deux autres textes, La robe et La bague. le tout reste tout de même très court, cent cinquante pages à peu près, et se lit donc très vite...

En refermant ce recueil, je suis restée dubitative... les deux derniers textes sont trop brefs pour qu'une quelconque alchimie ait le temps de se créer. Reste "l'analyse" quelque peu distanciée qui s'effectue après coup... par contre le premier, et également le plus long, est captivant et angoissant!

3 textes: la maison, la robe, la bague...
En sens inverse du cours classique d'une rencontre amoureuse: on se fiance, on se marie, on achète une maison.
3 textes, 3 couples différents, 3 destins tout aussi différents...

La maison... cocon de la famille, chaleureuse, gaie et vivante... mais qui peut être également juste une façade de convenances aux couleurs ternes, le réceptacle de douleurs et de violences, une coquille vide quand son pilier n'est pas: la mère.
Martine sait depuis le départ qu'elle n'aime pas Jean. Mais Martine attend un enfant, alors le jour de son mariage est le 1er jour de sa peine qui va durer 16 ans, le 1er jour pour nourrir sa "libération". 16 ans à donner vie à cette maison, à élever son fils, à être présente aux côtés de ce mari violent et aigri, 16 ans de silence et de peur.
Un mariage de raison qui tient la route dans un climat oppressant et menaçant, un mariage dénué d'amour, de joie et surtout de vie. Martine a accompli son devoir, elle s'est placée entre parenthèses pour n'être qu'une épouse et une mère, elle a tout subi sans broncher... Et un jour, elle existe enfin...
C'est un récit dur, doux-amer et triste, raconté par ce fils qui n'aura rien vu venir... Un récit dénué de passion qui percute d'autant plus violemment qu'il traduit une mort lente et silencieuse d'une femme sous le couvert d'un mariage banal, d'une prison socialement "acceptable".
J'ai admiré le courage de Martine dans ses 16 ans de patience, de devoir, d'abnégation mais j'ai déploré la distance et le manque d'affection entre elle et son fils... Car au final, elle n'a rien gagné de ses 16 ans de sacrifice... la liberté valait-elle autant si elle ne connaît même pas l'amour maternel?
La robe marque l'usure d'un couple dans une valse d'habitudes et de rituels devenus automatiques et sans surprise. La robe est celle que Sandra revêt, année après année, malgré les enfants, malgré l'alcool, pour célébrer leur anniversaire de mariage. Une soirée essentiellement pour Marc et Sandra, un cadeau, la robe, une nuit d'ébats... Mais les apparences sont trompeuses, l'image semble tout aussi idyllique qu'au premier jour aux yeux de tous... Mais Marc et Sandra, eux, savent bien que tout n'est plus qu'illusions et mensonges par omission... Ou quand le quotidien étouffe les sentiments jusqu'à ce que les coutures craquent...
Un récit sobre et un final... aveuglant!

La bague est un récit du souvenir que laissera un couple à une de ses filles, raconté en quelques mots à un inconnu dans un train. Un couple qui s'est aimé, réellement, a traversé les années dans le bonheur et a, a priori, transmis à cette femme, un de leurs cinq enfants, cette notion de l'amour vrai, profond et sain... suffisamment pour qu'elle le vive à son tour.
Leur bague de fiançailles est le symbole que le couple peut être quelque chose de beau et de durable...
Une histoire finale pour adoucir l'amertume d'une robe qui craque et d'une maison vide, certainement...

La plume de Nicolas Jaillet est simple, dépouillée, directe... et humaine. Il nous parle d'amour: de son absence, de son usure et de celui dont on rêve tous: l'éternel... Au final, l'amour, est-ce la règle... ou l'exception?

Trois textes qui suggèrent seulement et laissent le lecteur face à ses réflexions sur le couple, mais une certaine froideur de ton m'aura empêchée d'être totalement sous le charme.

Je remercie les Éditions Milady et Lilas Seewald pour leur confiance.
Lien : http://livrenvieblackkatsblo..
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Je connaissais Nicolas Jaillet pour avoir lu un de ses précédents romans "Sansalina" et j'avais acheté cette histoire lors du salon du livre de Saint Maur en 2014, il était temps de le sortir de ma PAL.
Dans ce roman, Nicolas Jaillet nous parle du quotidien d'une famille où personne n'est en fait heureux.
Dès le jour de son mariage Martine sait qu'elle n'aime pas vraiment Jean. Elle voit passer sa vie sans saveur, elle subit, elle supporte, elle serre les dents, car elle sait qu'un jour, un jour…
L'auteur nous offre dans ce cours roman une tranche de vie tout en pudeur et en retenue comme le sont les personnages.

On suit Martine dans ses choix, dans les raisons qui la pousse à vouloir changer de vie sans pour autant la juger car au final on comprend qu'elle n'avait pas vraiment le choix.

Cette courte histoire est vraiment passionnante et l'auteur nous offre un oeuvre complète en à peine 120 pages. Il n'en fallait pas davantage et c'est un vrai gage de talent que d'être capable de nous tenir autant en haleine sur un roman court.
Lien : http://delcyfaro.blogspot.fr..
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Ils sont trois. Un couple marié par obligation et le fils, le narrateur. Il y a aussi d'autres personnages: la rancoeur, la peur, la haine qui ne peut pas se dire, le secret. La violence contenue du père est ordinaire. Terriblement ordinaire. Jean se sent piégé avec cette femme et cet enfant, il les supporte, mais mal, très mal. de temps cela explose sourdement, installant une menace permanente dans la maison. Martine, elle a pris sa décision il y a longtemps, depuis des années. Elle a appris à encaisser, à supporter cette peur à laquelle on ne s'habitue jamais, quoi qu'en disent les autres.

Le narrateur grandit dans ce silence où les cris et les coups sont rares, mais d'autant plus terribles. Violence ordinaire d'une famille repliée sur elle-même et sur ses non-dits.

En un court récit d'une sobriété rare, Nicolas Jaillet nous fait entrer dans la maison, à travers quelques mots, quelques gestes, il nous donne à voir ce qui se joue en sourdine, mezzo voce mais ostinato, sans possibilité d'échapper. Chacun finira peut-être par sortir de cette maison de mauvais rêve si ordinaire, si banale et insupportable.

Une écriture qui évite tout pathos et qui touche l'essentiel sans ostentation et sait nous révéler ce que nous savons souvent ne pas voir, ne pas entendre.
Lien : http://filsdelectures.over-b..
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D'abord, j'ai constaté que le livre était court : 120 pages. Mais vous le savez bien, la quantité n'est en rien proportionnelle à la qualité de l'oeuvre.
Dès les premières lignes, j'ai été saisi par le style d'écriture. Simple, direct et incroyablement rythmé.
« Il y a des souvenirs imaginaires. Nous en avons tous ; parfois sans le savoir. Des images que nous gardons gravées dans notre esprit. Par leur précision, elles dépassent souvent nos vrais souvenirs »
L'auteur nous décrit le quotidien d'une famille où personne n'est vraiment heureux. Martine est mariée à Jean, mais ne l'aime pas vraiment. Sa vie est triste, Martine subie, elle supporte, elle serre les dents, car un jour, oui un jour…
Cette tranche de vie est racontée avec beaucoup de pudeur et de non-dit, à l'image de ce que sont les personnages.
Le livre se lit très rapidement. de toute manière, une fois ouvert vous ne le fermerez plus, du moins pas avant avoir terminé la dernière page.
Lien : http://dubruitdanslesoreille..
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L'histoire de Martine est des plus banale : enceinte avant d'être mariée de force au père de son enfant. Ce mari qui est alcoolique et deviendra violent. C'est d'ailleurs dès la réception du mariage que les choses dégénèrent et que Martine prend une décision qui va lui demander du temps, de la patience et de l'organisation.

Elle semble être un personnage fragile qui se laisse atteindre mais son plan l'aide à tenir debout. J'ai eu, le long du récit, du mal à comprendre sa relation avec son fils qui, selon mon ressenti, ne me paraît pas très maternelle.
J'aime que le fils raconte selon son point de vue ou ce qu'il connait de l'histoire de sa mère et "l'après". Ses réactions, son instinct, sa déchéance et ses rencontres.
Le récit est mêlé de mélancolie, de suspense et de psychologie.
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